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Cinéma. 7 films à voir ou à revoir sur l’Argentine

Breizh-info vous propose désormais régulièrement une chronique intitulée« 7 films à voir ou à revoir » et réalisée par Virgile pour le Cercle Non Conforme, qui nous a donné son accord pour reproduire le texte.

Cette semaine, 7 films à voir ou à revoir sur le thème de l’Argentine

L’Argentine… La Patagonie, Terre de Feu, Ushuaia… Des images de terres mystérieuses défient immédiatement l’imaginaire. Mais que savons-nous en réalité de l’Argentine ? Que saurions-nous plutôt sans l’apport de Saint-Loup et de Jean Raspail, à qui il nous faudra éternellement savoir gré d’avoir initié le lecteur européen à cette glorieuse Nation, tout au moins, sa partie la plus méridionale ? Le pays est également familier de Corto Maltese. Voyez qu’on y est en agréable compagnie ! L’Argentine est ainsi ce pays conique long de 3.700 km depuis les plaines sèches du Gran Chaco au Nord jusqu’aux steppes de landes désertiques du pays patagon, si bien chantées par l’un des plus grands écrivains-guerriers européens et le plus grand écrivain français encore vivant.

Pays sulfureux à l’Histoire chaotique qui voit se succéder onze militaires sur les seize Présidents qui gouvernèrent depuis Buenos Aires de 1930 à 1983. Pays frère de l’Europe à en juger par l’expérience péroniste dont le régime nationaliste établit une synthèse originale unissant les forces vives de la Nation par une salvatrice redistribution des richesses nationales, fédérant ainsi une classe ouvrière hostile au communisme. La bourgeoise, toujours prompte à trahir, œuvrait de noirs desseins pour provoquer la chute de Juan Domingo Perón. La mort prématurée d’Evita, en 1952, est le coup de grâce. Eva Perón ne sera plus là pour galvaniser le peuple par son verbe et sa beauté ; elle qui ne craignait pas d’assurer que “La violence aux mains du peuple n’est pas la violence, mais la justice.

Les militaires rodent bientôt autour de la présidence. Trois ans plus tard, un coup d’Etat chasse Perón du pouvoir. La main américaine n’est pas très loin. Les juntes réactionnaires mettent le pays en coupe réglée et accentuent la répression. Nombreux sont les morts ou les desaparecidos dont on ne retrouvera jamais la trace. La lente dépression économique accompagne une longue période d’instabilité politique. L’Argentine boit le calice jusqu’à la lie lorsqu’elle est plongée dans un conflit contre la Grande-Bretagne en vue de rasseoir sa souveraineté sur les Îles Malouines. Guerre mal préparée dont le Premier Ministre anglais James Callaghan sort bien évidemment vainqueur. Mais puisqu’il n’y a pas de petite revanche, c’est sur une pelouse mexicaine que Diego Armando Maradona humilie la Perfide Albion, en éliminant l’Angleterre en quart de finale de la Coupe du Monde, grâce à deux buts dont l’un marqué de la main. La Main de Dieu a frappé ! L’Argentine vengée ! Si la victoire footballistique de 1986 aura masqué la défaite militaire de 1982, l’Argentine dérive néanmoins progressivement vers une crise économique et financière sans précédent avant de s’effondrer totalement en 2001.

Nouvelle page sombre pour des peuples qui ne craignent pas la révolte devant l’injustice, que ce soient les autochtones ou les descendants des Conquistadors. L’Argentine, pays de grande culture, dont le cinéma et les lettres ont bien du mal à pénétrer l’univers français, à l’exception notable de Jorge Luis Borges, pour qui ne fait pas la démarche de s’y intéresser. Aussi, le cinéma argentin est-il quasi-inconnu en France, si ce n’est quelques films bénéficiant d’une faible distribution. Il mérite pourtant d’être vu. Commençons par le lire…

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EL AMOR ES UNA MUJER GORDA

Film argentino-néerlandais d’Alejandro Agresti (1987)

A Buenos Aires, José, la trentaine, est un journaliste enclin au stress qui a sombré dans la mélancolie. Désespérément, il tente de trouver sa place dans la société argentine post-dictatoriale. En vain ! Ses articles sont jugés trop critiques et en opposition avec la ligne éditorial du quotidien dans lequel il publie. Chargé de rédiger un papier sur le tournage d’un documentaire sur la pauvreté dans le pays, José comprend que l’équipe de tournage américaine maquille la réalité afin qu’elle paraisse plus dramatique. Le journaliste motive son refus. Son patron motive son licenciement. Embrassant lui-même la précarité, José est contraint de déménager de pension à plusieurs reprises. Il erre en ville en proie à de nombreuses interrogations. En réalité, c’est l’amour que José cherche ; plus particulièrement celui de Claudia, avec qui il a eu une aventure et dont il n’a plus aucune nouvelle depuis leur séparation à la sortie d’un concert de rock…

Si la jeunesse n’adhérait pas au régime des juntes, l’écroulement du pouvoir militaire laissa la jeunesse argentine dans un grand désarroi. Dans ce film désenchanté, Agresti montre avec brio le désespoir de cette jeunesse. Le réalisateur livre un film pessimiste dont le discours intransigeant et sceptique montre les blessures irréversibles de l’héritage du régime autoritaire et les craintes de l’avènement d’une nouvelle société néo-libérale qui ne nourrit guère plus d’espoirs. Le choix du noir et blanc renforce la désespérance de l’œuvre tandis que les cadrages et la mise en scène schizophrénique, alternant plongées et contre-plongées de la caméra, invitent le spectateur à mieux perdre ses repères visuels et s’immerger plus dans cette période de tensions. Emigré aux Pays-Bas à 26 ans, Agresti en profite pour glisser quelques envolées sur le rôle sociopolitique du Septième art qui paraîtront parfois absconses. Inédit en France, le titre peut se traduire par L’Amour est une grosse femme.

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LA CIENAGA

Film argentino-hispano-français de Lucrecia Martel (2001)

La Ciénaga est une petite ville du Nord Ouest de l’Argentine, à proximité de laquelle se situe la Mandragora, une propriété rurale entourée de fétides et dangereux marécages. C’est l’été sur l’hémisphère Sud en ce mois de février. Dans la maison décrépite, Mecha, la cinquantaine, y passe ses vacances avec ses quatre enfants et son mari aussi infidèle qu’inexistant. Les vacances dans la maison sont moroses, à l’image du dehors. L’eau de la piscine est pestilentielle et une vache ne cesse d’agoniser, engluée qu’elle est dans le marécage. Pour tromper l’ennui, Mecha s’alcoolise de vin plus que de raison. La boisson, la chaleur suffocante et moite accompagnée de pluies torrentielles provoquent l’accident. Mecha se blesse gravement en chutant sur le béton de la terrasse tandis qu’elle ramasse des verres vides dont des tessons pénètrent sa poitrine et sa gorge. L’accident, au sein d’une famille qui ne communique plus, recueille l’indifférence de tous. Tali, cousine de Mecha, arrive au chevet de la blessée, accompagnée elle-même de ses quatre enfants…

La Ciénaga est traduisible par marécage. L’image colle parfaitement à cette vie de famille bourgeoise déclassée, embourbée dans le néant délétère du suprême ennui ; l’alcool tenant lieu d’évasion. Une famille dont les liens partent à vau-l’eau ; métaphore de l’Argentine de l’après-crise économique de 2001. Une Nation argentine à genoux et semblant incapable de se relever. Etouffante, oppressante, à l’image du climat tropical et des faune et flore en putréfaction, l’atmosphère du film de Martel procure un profond malaise. Malaise sublimé par ces deux fratries de cousins, livrés à eux-mêmes, qui développent des penchants incestueux. La force de l’œuvre est de les suggérer plus que les offrir au regard, renforçant ainsi la tension. Le temps semble suspendu dans cette œuvre brute concernant laquelle on a rarement rendu l’ennui aussi captivant. Un film splendide que tout le monde n’aimera pas car peu accessible aux profanes du cinéma d’art et essai.

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EL CINCO

Titre original : El 5 de Talleres

Film argentin-uruguayo-néerlando-germano-français d’Adrián Biniez

Patón Bonniassolle a 35 ans. Selon, lui, le bon âge pour mettre un terme à sa carrière de libéro et capitaine du club de football de Talleres de Escalada, modeste club professionnel évoluant en Division C. Et ce, à plus forte raison après que le bouillant joueur ait écopé d’un carton rouge accompagné d’une sanction de huit matchs de suspension, à quelques journées de la fin du championnat. Son épouse, Ale, est emplie d’enthousiasme à l’idée qu’il raccroche les crampons. Beaucoup moins le père qui vit la carrière du fiston par procuration. L’entraîneur également qui voit en Patón l’âme de son équipe. Capitaine dévoué et respecté, le numéro 5 tente de planifier sa nouvelle vie. C’est l’inconnu qui le terrorise après une vie vouée au ballon rond, celle d’un bon joueur d’un petit club qui termine sa carrière sans argent et dont la gloire de ne dépasse guère les frontières des tribunes des ultras. La reconversion s’avère plus difficile à assumer que prévu…

C’est réussi ! Biniez livre un regard tendre et drôle sur la vie d’un footballeur qui pense l’après-pelouse. Joueur désabusé mais honnête, Patón est à des années lumières des cancres des championnats européens. L’incertitude de la reconversion poursuit ce libéro attachant et lui fait toujours repousser l’inéluctable. Le réalisateur présente, avec une exquise délicatesse, les doutes existentiels de ce sportif qui a sacrifié ses études pour sa passion. Aussi, apprenons-nous qu’un footballeur a des doutes existentiels et c’est déjà pas mal ! Les difficultés de tourner la page et de se reconstruire ont inévitablement des conséquences sur ce couple fou amoureux dont la vie à deux oscille entre fougue passionnée et disputes orageuses. Le 5 n’est pas qu’un film sur le football. Loin de là. Julieta Zylberberg est sexy en diable ! Curiosité : la France compte parmi les pays producteurs du film sans que celui-ci ne semble sortir dans les salles hexagonales. Les secrets du cinéma sont parfois aussi impénétrables que les voies du Seigneur….

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L’HISTOIRE OFFICIELLE

Titre original : La Historia oficial

Film argentin de Luis Puenzo (1984)

Buenos Aires en mars 1983, dans les derniers mois de la junte militaire agonisante du Général Videla. La contestation publique est de plus en plus manifeste après la Guerre des Malouines qui vient de consacrer la victoire britannique. Alicia, la quarantaine est professeur d’Histoire dans un lycée. Ses cours sont récusés par ses élèves qui critiquent l’enseignement officiel de l’Histoire contemporaine. Alicia mène néanmoins une vie heureuse et bourgeoise auprès de son mari Roberto, gros industriel proche du pouvoir et qui use parfois de l’illégalité dans son domaine professionnel. A cause de sa stérilité, Alicia a adopté Gaby, adorable fillette de cinq ans. Tout va donc pour le mieux pour elle jusqu’à ce que sa meilleure amie d’enfance, rentrant d’un long exil, vienne lui rendre visite. Car Alicia entend, par la bouche de son amie ce qu’elle ne voulait pas voir ni entendre. La prison, la torture, les viols… Et surtout, les adoptions illégales pratiquées contre la volonté des mères emprisonnées. Le témoignage bouleverse l’existence d’Alicia. Elle n’a plus qu’un but désormais : mener l’enquête pour connaître la vérité sur l’origine de sa fille et retrouver ses géniteurs…

Réalisé à chaud moins d’une année après la chute de la dernière junte militaire, l’œuvre de Puenzo est la première à traiter du sujet des desaparecidos ; ces 30.000 personnes arrêtées et portées disparues sous le régime des juntes successives. Dès 1977, les Mères et grands-mères de la Place de Mai fondent une organisation dont le but est de retrouver les bébés des femmes disparues qui se virent confiés à des familles argentines proches du pouvoir et de remettre les enfants aux familles légitimes. Ce sujet central est effleuré à travers l’histoire de la mère et le récit qui lui est donné par son amie. Puenzo dresse un beau portrait de femme dont les certitudes sont progressivement ébranlées. La prise de conscience d’Alicia, compromise avec le régime militaire, par le biais de son mari, fait suite à des réactions affectives plus qu’à une véritable réflexion sur la nature de la junte. Film sans gros défaut bien qu’il joue peut-être trop sur le pathos et dont la réalisation pourra paraître trop académique et manichéenne.

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ILUMINADOS POR EL FUEGO

Film argentin de Tristán Bauer (2005)

En 2002, la Guerre des Malouines est terminée depuis vingt ans. Aujourd’hui la quarantaine, Esteban Leguizamón est un ancien conscrit qui a connu la guerre à 18 ans. Il a depuis fondé une famille et travaille comme journaliste à la télévision. Le lointain souvenir des combats se rappelle à lui lorsque le téléphone lui annonce que son ancien camarade de régiment, Alberto Vargas, est dans un état comatique après qu’il ait tenté de se suicider à l’aide d’une forte absorption de drogue et d’alcool. Leguizamón visite son ami à l’hôpital. Les souvenirs des combats lorsqu’il était plongé dans des conditions extrêmes, supportant le froid et la faim, ne manquent de raviver sa mémoire. Rencontrant la mère de Vargas au chevet de l’alité, l’ancien combattant se rend compte qui si, lui, a pu occulter ces souvenirs, son camarade n’était jamais parvenu à quitter les Malouines et n’avait connu que la dépression à la suite de sa démobilisation…

La Guerre des Malouines constitue une cicatrice de l’Histoire argentine dont la plaie est toujours à vif. Buenos Aires a toujours revendiqué ses droits sur ces archipels concernant lesquels les Nations Unies ne sont pas encore parvenues à déterminer la souveraineté entre les belligérants. Historiquement argentines mais sous domination britannique depuis la première moitié du 19ème siècle, les troupes argentines débarquent en avril 1982. Le conflit consacre la victoire de la Couronne trois mois plus tard et causa la mort de 874 soldats dont 649 de nationalité argentine. Le conflit est d’autant moins bien perçu par la jeunesse argentine que cette guerre apparut perdue d’avance et comme un baroud d’honneur de la junte militaire agonisante. Le film fait s’alterner agréablement flashbacks de scènes de combat, excellemment restituées d’ailleurs, et scènes contemporaines sur le devenir du héros deux décennies plus tard. Malheureusement inédit en France.

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LA MAISON DE L’ANGE

Titre original : La Casa del angel

Film argentin de Leopoldo Torre Nilsson (1957)

La capitale argentine dans les années 1920. Troisième et cadette d’une famille aristocrate, Ana est une adolescente de quatorze ans, élevée dans la plus stricte éducation catholique par une mère puritaine. Ana étouffe autant que ses frustrations grandissent. Soumise à un enfermement voulu par sa mère, l’éducation de l’adolescente est confiée à une institutrice dont le soin est de contrôler la jeune fille afin qu’elle conserve une pudeur la plus stricte. Le père, lui, est très régulièrement absent. Cadre d’un parti politique, il est acoquiné avec le jeune député Pablo Aguirre qui tente d’étouffer un scandale financier dans lequel le père d’Ana pourrait être impliqué lorsqu’il était ministre. Souvent présent dans la demeure bourgeoise, le charismatique député Aguirre sème le trouble dans l’esprit de la jeune fille. Bénéficiant d’un blanc-seing de confiance au sein de toute la famille, Aguirre parvient à violer la jeune fille sans soulever aucune suspicion…

Le film fit connaître Nilsson au monde entier. Et on le comprend ! Le réalisateur campe à la perfection le personnage d’Ana en jeune fille naïve et déjà désabusée du conformisme bourgeois. Ana suffoque entre le carcan d’une mère bigote qui incarcère la jeune fille dans une prison dorée à l’intérieur de laquelle les statues nues sont voilées et toute nudité proscrite, même lorsqu’il s’agit de prendre le bain, et de l’autre côté, un père lointain et corrompu. La pénétration de l’adolescente dans l’âge adulte se fait ainsi par le truchement d’un député corrompu et corrupteur qui vainc facilement une trop grande candeur héritée de l’éducation maternelle et rigoriste de la religion. L’emploi du noir et blanc est, en outre, remarquable et la réalisation très esthétisante dans ses cadrages. La jeune Elsa Daniel est parfaite dans sa prestation d’adolescente. A voir !

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UN LIEU DANS LE MONDE

Titre original : Un Lugar en el mundo

Film argentin d’Adolfo Aristarain (1992)

Jeune homme un peu paumé, Ernesto a vingt ans lorsqu’il vient passer une journée sur les lieux de son enfance à Valle Bermejo, petit village perdu dans les montagnes argentines. Reviennent les souvenirs heureux de son enfance. Ernesto se souvient surtout de Luciana, son premier amour, fille du contremaître Andrada, plus gros propriétaire terrien du coin. Engagés activement dans le péronisme, les parents de l’adolescent avaient mené la lutte contre Andrada en prenant fait et cause pour la coopérative administrée par les bergers de la vallée. Le renversement de Perón avait obligé les parents du jeune garçon à s’exiler en Espagne pendant huit années. Ernesto était né en Espagne durant cet exil. Revenus en Argentine, Ana, la mère médecin, et Mario, le père instituteur, avaient souhaité refonder la coopérative d’éleveurs constituée uniquement des petits producteurs. Au cours de cette journée mémorielle, Ernest rencontre Hans, ingénieur géologue à la recherche de pétrole. Homme sage, Hans enseigne à Ernesto que, lui aussi, trouvera un jour son lieu dans le monde. Le jeune homme réalise à quel point le militantisme parental a influé sur sa vie…

Aristarain interroge les notions d’existence et de liberté en confrontant les souvenirs et les aspirations du protagoniste. Le film, dont la structure est un long flashback évoque le passage de l’adolescence à l’âge adulte d’un homme qui effectue un retour aux sources de son enfance pour trouver les réponses à ses questions sur le sens de sa vie et son futur de la plus longue mémoire. C’est dans cette vallée perdue qu’il relie son présent à son enfance et son devenir. Ernesto comprend désormais les raisons pour lesquelles il a toujours admiré ses parents malgré l’échec de leur lutte et la contrainte d’un exil de plusieurs années. Son enfance aura finalement été heureuse bien qu’il n’ait pas encore trouvé sa place dans la société. Le réalisateur filme avec douceur l’âpreté de la lutte et la sensibilité des relations humaines, les doutes, l’échec de l’idéal, les tensions familiales engendrées par la lutte aussi. Agréable !

Virgile / C.N.C.

Photo : DR

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