Un Algérien de 32 ans, Kamel Younes, a été condamné ce 1er octobre à 10 ans de réclusion criminelle pour agressions sexuelles sur deux jeunes femmes fin 2017 à Nantes. L’avocat général avait requis 12 ans. Le héraut de l’enrichissement culturel sera aussi interdit de territoire français à sa sortie – après avoir été logé, nourri et éclairé des années durant aux frais du contribuable sans avoir à travailler.
Ce procès était aussi, à Nantes, la première expérience des cours criminelles, constituées de cinq magistrats professionnels. Destinées à accélérer le jugement des affaires accumulées aux Assises – preuve d’un vivre-ensemble tranquille et d’une quasi-disparition de la délinquance en France, ce qui permet au gouvernement de se concentrer sur le non-port du masque – elles sont dénuées de jurés et ne pourront pas juger meurtres et homicides passibles des plus lourdes peines.
Ces cours devraient aussi permettre de mettre fin à la correctionnalisation : il y a en effet tellement de viols que les juridictions ne suivent plus. Alors, pour que les victimes n’attendent pas de longues années la condamnation de leur agresseur, les faits sont requalifiés en “agression sexuelle” et le prévenu jugé en correctionnelle – où il écope d’une peine bien plus légère. Il n’est guère étonnant dans ces conditions que les délinquants soient encouragés dans le vice, du fait d’un système judiciaire embouteillé et parfois démissionnaire.
Autre preuve de l’apport hautement positif de l’immigration de masse : un homme en état d’ivresse qui avait tabassé un malvoyant -qui hébergeait la compagne du prévenu – en novembre dernier a été condamné à six mois de prison avec sursis. En fuite, le prévenu est retourné dans son pays d’origine. Et n’indemnisera probablement jamais sa victime, dont il a aggravé le handicap.
Louis Moulin
Illustrations : DR
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