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Flavia Groșan, pneumologue roumaine : « C’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades ! »

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout. Nos confrères du Visegrad Post ont traduit l’article, disponible ci-dessous.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

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21 réponses à “Flavia Groșan, pneumologue roumaine : « C’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades ! »”

  1. LANKOU RU dit :

    Qu’elle prenne contact avec nos éminents professeurs ( RAOULT / TOUSSAINT / HENRION CAUDE / ENGER / VONNER / etc …..

  2. Pierrey dit :

    C’est une bombe cet article
    Pourquoi breizh vous ne diffusez pas à des pneumologues pour qu’ils réagissent en urgence ??

    • JEAN MARIE LEMARCHAND dit :

      Il est tout a fait certain que les pneumologues ou autres intervenants médicaux sont en contact entre eux et que les publications scientifiques n’ont pas besoin de BREIZ INFO pour diffuser les informations intéressantes.

      • kwAz dit :

        “Tout à fait certain” ?!? Le médecin qui à prescrit “paracétamol et restez chez vous” à mon père qui a choppé le covid à l’hôpital (lieu censé respecter aux mieux tous les gestes barrières) n’avait pas l’air d’être très au courant…
        Je me pose des questions sur l’intérêt et la pertinence de votre commentaire…

    • Andelemiah dit :

      En effet. L’éveil des consciences devrait être intelligemment organisé. Toucher directement les pneumologues permettrait d’en trouver quelques-uns qui (même discrètement), tenteront d’appliquer ce protocole…même « pour voir ». Et puisque ça marchera…Bingo…

  3. louis dit :

    dieu merci il y a encore des medecins honnetes et competants !quel monde pourri !!

  4. emile 2 dit :

    une Raoult roumaine…!!!!
    et elle ne fait pas la une de la messe du 20 heures
    chut !!! enfin ! ça va pas , non ???
    dans les hôpitaux publics , chaque cas en réa rapporte 5800 e/jours…
    pourquoi voudriez vous qu’ils les soignent par un traitement à 2 balles ??
    c’est plus le serment d’Hippocrate qu’ils appliquent , c’est celui du veau d’or du monde marchant
    et puis c’est les ronds de cuir de l’ansm et des ars qui le disent ….hein , les bourrins…..ce qu’il faut faire….

  5. BiENDITDONC dit :

    Que Dieu la garde et la protège…. avec tous ces satans mis sur la route des bons…

  6. Colette mondanel dit :

    Votre article fait froid dans le dos mais comment faire si l’on attrape ce virus pour ne pas tomber dans les mains
    de la machine infernale ? et être soigné selon des méthodes “plus traditionnelles” et surtout ne pas en mourir
    J’espère que vous pourrez continuer à défendre votre thèse et surtout l’exporter

  7. Clotilde Prouvot dit :

    Bonjour – ne vous affolez pas. Malgré les gestes barrières respectés et le masque des les premiers jours, j’ai contracté le covid fin janvier, début février. Maux de tête violents alors que je n’ai jamais mal à la tête, douleurs musculaires et articulaires, le tout soigné à la maison par du dafalgan toutes les 4 heures, et le virus est parti après 4, 5 jours pénibles. Ensuite fatigue, les douleurs revenant en crises mais mon tonus revient.

  8. delaire dit :

    Nous devons chercher dans tous les sens et celui-ci en est un . Nous réussirons à vaincre en ces conditions . Mais on n’aime pas l’indiscipline dans ce qui est établi officiellement ! Merci et félicitations à vous !

  9. Oui Flavia Grossan, bravo à vous ; vous avez mis vos compétences au service de vos malades et vous avez gagné : aucune personne hospitalisée et aucun décès parmi vos patients. En France, on n’en est loin puisque que les hôpitaux ne désemplissent pas, que les décès ce compte en grand nombre, que le personnel soignant est épuisé et de surcroît mal payé. La France n’en finit pas de ce virus. Les Français sont démoralisés ; depuis plus d’un an maintenant, les personnes âgées ont été confinées dans les EHPAD, certains ont dit : « nous sommes en prison ici”. Au niveau économique, les magasins et restaurants ont été fermés plusieurs fois et le sont encore. Les activités sociales et culturelles ont largement réduit, ce qui a pour conséquence de mettre l’économie à mal ; tout cela, parce que la France a fait un mauvais choix dans sa façon de soigner.
    Madame Grossan, a choisi, elle, de traiter la maladie comme une pneumonie atypique,sans hospitalisation aucune, mais simplement avec quelques jours de repos chez les patients en maintenant l’incubation à un niveau minimum et en favorisant l’expectoration,ce qui a pour conséquence d’éviter que la personne s’étouffe.
    Donc,de ce fait, cela a engendré un moindre coût même si elle a utilisé quand même des antibiotiques adéquats.
    On est loin des coûts onéreux de la France : masques obligatoires, tests à répétition, recherche des vaccins en laboratoire, ce qui coûte une fortune, plusieurs confinements obligatoires pour tout le pays entraînant la fermeture des écoles, des activités culturelles et sportives et j’en passe !
    On voit bien que si on compare la France et la Roumanie ne serait-ce qu’au niveau économique , la France a dépensé une fortune quand la Roumanie avec des moyens très simples a réussi à soigner les gens correctement et rapidement temps.
    Je remercie Madame Grossan pour son dévouement et sa compétence. Je remercie aussi le journal BREZ-INFO pour avoir eu le courage de publier l’article de Madame Grossan.
    Enfin, Je souhaite très fortement que la France prenne les bonnes décisions pour changer sa façon de soigner les malades atteints de la COVID afin de les guérir rapidement comme en Roumanie qui utilise des moyens très simples et non onéreux pour y arriver. Merci

  10. LILA CHEBA dit :

    Je suis passée devant le labo hier et j’ai vu une file sur presque cent mètres de gens allant se faire tester. Je n’en peux plus. Je n’ai jamais compris que les gens allaient se faire tester pour savoir si ils sont malades. On marche sur la tête. A cause d’eux, toujours plus de cas car tests faux et confinements à répétition. Sans compte qu’ils contribuent à ruiner la sécu. STOP STOP STOP aux test.

  11. Volante dit :

    Urgent
    Bonjour Docteur,
    Comment fait t’on pour vous joindre par telephone ou email, pour un monsieur hospitalise en rea a paris depuis 6 mois a Paris ? Il a beaucoup de secretions, lie a un poumon malade. Il a pris, la forme, la + grave du covid, et beaucoup de bacteries.. merci

    • Julia dit :

      Bonjour,
      Entrez en recherche google le nom dr flavia grosan et vous aurez ses coordonnées
      Bonne chance et santé.

  12. pierre jambou dit :

    Honneur à ce medecin qui suit la logique du plus simple avec le maximum de résultats.Voila quelqu’un qui mérite largement la Légion d’honneur si elle était en France plutôt que tous ces bons à rien qui l’ont par piston.

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