1er mai : l’immigration n’enrichit que les patrons… et l’extrême gauche les sert à genoux

Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.

Car voilà la vérité brutale qu’aucun syndicaliste à moustache, aucun député d’extrême gauche en écharpe rouge ne veut affronter : l’immigration de masse n’enrichit que les patrons. Elle précarise les autochtones, ruine les solidarités naturelles, fait exploser les loyers, et permet de maintenir les salaires au plus bas. Et les militants d’extrême gauche en sont les auxiliaires dociles, croyant combattre le fascisme alors qu’ils font tourner la machine capitaliste à plein régime.

La gauche a trahi les travailleurs, encore

Rappelons-nous : la fête du Travail naît d’une Internationale socialiste qui défendait les travailleurs européens, exigeait des salaires décents, la limitation de la journée de travail, la reconnaissance de la dignité ouvrière. Aujourd’hui, elle est dévoyée par des groupuscules décérébrés réclamant toujours plus de droits pour des masses sans fin venues de pays où le SMIC paraît un luxe et où l’État-providence est un mythe.

Dans les rues de Nantes, Rennes ou Paris, ce 1er mai, les antifas ne défileront pas pour les ouvriers agricoles bretons écrasés par la concurrence internationale. Ils ne crieront pas contre les restaurateurs qui payent au lance-pierre des serveurs invisibles et épuisés. Ils ne s’attaqueront pas aux DRH de l’agroalimentaire, qui préfèrent embaucher par bus entiers des travailleurs détachés plutôt que d’augmenter les salaires. Non. Ils casseront des vitrines, hurleront “mort au fascisme”, et distribueront des tracts pro-migrants. Tristesse. Trahison.

Le patronat en rit : la gauche fait le sale boulot

Que réclament-ils, au fond ? Une ouverture totale des frontières, l’accueil inconditionnel de tous ceux qui, n’ayant pas réussi chez eux, viennent tenter leur chance ici. Le problème ? Ici, ce sont nos jeunes qui paient le prix. Pas les patrons de la FNSEA, pas les donneurs d’ordres du CAC 40. Ce sont les fils d’ouvriers, les jeunes Bretons, les apprentis électriciens, les aides-soignants, les serveurs, les chauffeurs, les caissiers, qui voient leurs métiers devenir invivables.

Qui veut encore faire la plonge dans un restaurant à 1 300 euros net, sans horaires, avec des clients impolis, pour financer la retraite d’un baby-boomer qui a connu le plein emploi et les congés payés ? Qui veut ramasser des fraises à genoux en juin sous 30 degrés pour un salaire de misère, pendant que des élus font la morale sur “l’ouverture au monde” ? Qui veut, pour survivre, sacrifier sa jeunesse, sa santé, ses enfants ?

La gauche ose alors répondre : “Ils font les boulots que les Français ne veulent pas faire.” Mais c’est faux ! Les jeunes autochtones veulent bien travailler – encore faut-il que le travail paye, qu’il soit digne, qu’il ne soit pas un esclavage moderne.

Pour un vrai 1er mai : hausse des salaires, fin de l’immigration de masse

Un Premier Mai digne de ce nom, aujourd’hui, ce serait des revendications comme :

  • L’augmentation massive des salaires dans tous les secteurs (et éventuellement, l’instauration d’un salaire maximum, qui n’empêcherait nullement bénéfices et avantages des dirigeants)
  • La suppression des charges étouffantes qui pénalisent les TPE-PME françaises,
  • Le remplacement des aides sociales à l’importation humaine par des politiques de formation, de logement et de natalité en faveur des jeunes Français,
  • Le retour de la préférence nationale à l’embauche, dans les logements sociaux, dans les aides.

Ce 1er mai, la jeunesse européenne et identitaire devrait le revendiquer, et refuser de devenir l’esclave du patronat mondialisé. Oui, elle ne doit plus accepter de trimer pour une bouchée de pain, pendant que d’autres engrangent les profits sur son dos. Ce n’est pas de paresse qu’il s’agit : c’est de lucidité. La jeunesse ne veut plus survivre, elle veut vivre. Et pour cela, il faut briser l’alliance infernale entre le capital et la gauche cosmopolite.

Il faut reprendre le contrôle. Fermer les frontières. Rétablir l’autorité. Interdire l’emploi de travailleurs sans titre de séjour. Exiger un salaire minimum augmenté, mais réservé aux nationaux. Simplifier radicalement la bureaucratie soviétique qui étouffe les employeurs honnêtes. Et surtout : expulser, en masse, tous ceux qui ne sont pas ici pour construire, mais pour profiter.

La droite molle n’osera pas le dire. La gauche ne le dira jamais. L’extrême gauche l’empêchera par la violence. Alors nous devons le dire haut et fort.

Ce 1er mai, il ne faut pas défiler pour les “droits des migrants”. Il faut marcher pour les droits des nôtres, avant les autres. Choisis ton camp, camarade !

Julien Dir.

Crédit photo : DR
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5 réponses à “1er mai : l’immigration n’enrichit que les patrons… et l’extrême gauche les sert à genoux”

  1. Lionel Baland dit :

    100 % vrai. De plus, cette situation engendre la dénatalité.

  2. yeti59 dit :

    Toujours ces attaques contre les baby-boomers….donc toujours rappeler qu’ils sont nés ou ont vécu dans des logements insalubres (sans WC sans salle de bains voire sans eau courante ou en terre battue: vous connaissez en Bretagne !,voire dans des baraquements pour les villes rasées), qu’ils ont travaillé 48 h par semaine ou plus (et ont eu deux fois moins de vacances/RTT qu’aujourd’hui) . Rappeler que 30 glorieuses cela signifie juste « croissance ininterrompue » , le niveau de vie des jeunes aujourd’hui n’a rien à voir avec le niveau de vie de leurs parents. Et c’est bien à leurs parents qu’il le doivent.
    Ce qu’il faut leur reprocher « globalement » c’est d’avoir arrêté de faire des enfants à partir de la diffusion de la pilule et la mise en place de l’IVG. Dans le passé (et ailleurs dans le monde) avoir des enfants c’était une assurance pour ses vieux jours. L’état a socialisé cette aide intergénérationnelle avec des cotisations…ça ne marche pas !

  3. guillemot dit :

    Entièrement d’accord avec cette analyse.L’importation d’une main d’oeuvre étrangère exploitée à toujours fait le bonheur du patronat et surtout permis d’empêcher l’augmentation de salaire de l ouvrier français. Les leaders syndicalistes , grassement rémunérés,marchent dans le sens où on leurs dit de marcher

  4. François Arondel dit :

    Il faut certes refuser la domination du patronat « mondialisé » mais aussi celle du patronat qui ne le serait pas, s’il existe ?
    Les militants de gauche sont les idiots utiles du patronat libéral mais le vrai problème c’est l’hégémonie néolibérale qui sert à justifier les politiques mondialistes. L’idéologie libérale est le problème principal parce que les idéologies socialistes sont marginales dans les pays occidentaux; La quasi totalité des gouvernements occidentaux adhèrent à l’idéologie libérale, y compris les socialistes qui se sont alignés sur le néolibéralisme depuis plusieurs décennies.

  5. Bertrand dit :

    Ça rappelle les autocollants du mouvement Jeune Bretagne.
    Malheureusement seul groupe identitaire a avoir a l’époque a avoir tenté de mettre en avant la lutte sociale et la lettre écologique tout en menant une lutte identitaire.
    A part ‘ égalité et réconciliation, et éventuellement auprès de lecteurs de la revue réfléchir et agir et la revue rébellion il n’y a malheureusement plus de ligne sociale identitaire en Bretagne.
    La fameuse union des droites c’est juste comment faire accepter le libéralisme y compris au mouvement social patriote et populiste

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