Canicule mentale : les écolos-gauchistes rêvent de notre disparition, mais s’indignent qu’on puisse mourir [L’Agora]

On les voit, on les entend, on les subit. En boucle, depuis des années, les sirènes du climat hurlent dans nos oreilles : « Il fait chaud, on va tous mourir ! » après le « il fait froid, c’est un signe que ça se réchauffe et qu’on va tous mourir » et le « il pleut, c’est lié au réchauffement climatique on va tous mourir ». Les thermomètres s’affolent, les journalistes transpirent, les médecins de plateau paniquent, les écolos twittent en nage. C’est le réchauffement climatique, ma brave dame, l’Apocalypse éco-responsable. Fermez les volets, arrêtez les barbecues, coupez les moteurs thermiques et hydratez-vous — de l’eau du robinet, bien sûr, surtout pas un Coca dans une bouteille plastique, assassin de tortue marine. Encore moins de la climatisation dans les écoles, et si vous allez sous les 26 degrés dans les commerces, on envoie la police de l’écologie vous mettre à l’amende.

Mais permettez-moi une question simple : pourquoi diable ces gens s’émeuvent-ils autant à l’idée de la disparition de l’humanité, alors que c’est précisément ce qu’ils promeuvent toute l’année ?

Ils détestent l’homme, mais redoutent sa fin

C’est une contradiction aussi hilarante qu’abyssale : ces militants du néant, ces prédicateurs de l’extinction douce, geignent à l’idée que l’humanité puisse s’éteindre… alors même qu’ils passent leur vie à prôner son effacement. Car enfin, qui martèle à longueur de colonnes, de podcasts et de tribunes que faire des enfants est un acte écocidaire, que chaque naissance est un fardeau carbone, que l’avortement est un droit sacré, que le suicide assisté est un progrès, et que l’espèce humaine (enfin surtout l’homme blanc) est un virus sur la planète ?

Qui, sinon eux ?

Les mêmes qui célèbrent la stérilité comme un acte militant, la solitude comme une victoire, l’utérus comme un champ de bataille à neutraliser. Les mêmes qui transforment chaque revendication LGBT en nouveau modèle anthropologique, et qui considèrent le transhumanisme, la PMA pour toutes, l’auto-identification sexuelle et le polyamour asexué comme l’horizon d’une humanité enfin déconstruite.

Et les voilà, pourtant, à pleurnicher à l’idée que “la planète ne nous survivra pas”, comme si cela les attristait.

Le culte de Gaïa contre la vie

Ne vous y trompez pas : ce ne sont pas des défenseurs de la nature, ce sont des partisans d’un ordre moral totalitaire, masqué sous un vernis verdâtre. Ils n’aiment ni les arbres ni les animaux ; ils haïssent simplement les hommes — surtout ceux qui sont blancs, ont des enfants, un barbecue, un 4×4, et un avis divergent.

Leur écologie n’est pas une science, c’est une théologie punitive. Elle ne cherche pas à protéger la création, mais à justifier la destruction de notre civilisation. Il faut expier. Se taire. S’excuser d’exister. Et surtout, ne pas se reproduire.

Mais alors, qu’est-ce qui les dérange tant dans le réchauffement ? Si l’humanité est un fléau, ne devraient-ils pas se réjouir qu’une canicule en finisse avec quelques boomers climato-sceptiques ? Ne serait-ce pas là une épuration naturelle, dans leur logique ? Pourquoi cette panique, si l’effacement de l’espèce est leur Graal ?

Parce qu’au fond, ils ne veulent pas mourir. Ils veulent que vousnousles autres, mourions à leur place.

Le véritable réchauffement, ce n’est pas celui du climat, c’est celui du délire idéologique. La température des cerveaux a dépassé les 42° dans les bureaux de Bruxelles, dans les salles de rédaction, et sur les bancs de la gauche morale. C’est une canicule mentale, un incendie de la raison.

Ceux qui rêvent de mondes “dégenrés”, “décarbonés” et “posthumains” nous expliquent avec des trémolos dans la voix que la planète va mal parce qu’il y a encore des gens vivants dessus. Et ils s’affolent quand le thermomètre grimpe. Incohérence ? Non. Hypocrisie.

Oui, il fait chaud. Et alors ?

Le climat change ? Sans doute. Il a toujours changé. L’homme s’adapte — ou il disparaît. Mais il ne supplie pas Gaïa à genoux en récitant des mantras inclusifs.

L’avenir n’appartient pas aux sectaires suicidaires en tongs biodégradables. Il appartient aux peuples enracinés, féconds, conscients d’eux-mêmes et debout. Pas aux effacés de l’histoire qui célèbrent leur propre extinction entre deux shots de soja tiède.

Alors oui, il fait chaud. Qu’ils transpirent. Nous, on construit.

Julien Dir

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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7 réponses à “Canicule mentale : les écolos-gauchistes rêvent de notre disparition, mais s’indignent qu’on puisse mourir [L’Agora]”

  1. Gaï de Ropraz dit :

    Bonne, et même Tres Bonne Analyse Dear Julien !
    Vous avez raison : NOUS, on va de l’avant ! BRAVO !

  2. Ronan dit :

    Demat Julien merci de cet article : ce que nous vivons là en Bretagne n’est pas de la canicule car ceci serait véridique au bout de trois jours avec des températures égales le jour et la nuit ; je n’ai plus d’eau de pluie pour arroser mes plantes en pleine effervescence de CO2 mais ce n’est pas grave. Cet éco-anxiété est à combattre. Donc, respirons profondément l’air pur en aspirant l’oxygène puis en expirant le CO2 le plus profondément possible et ce, pendant quelques minutes et vous verrez qu’on a besoin de cet air et que cela nous fait le plus grand bien en santé. C’est du Rika ZARAI, notre célèbre chanteuse qui préconise cette recette dans son livre « Ma médecine naturelle ». « Ce soir, nous irons danser sans chemise sans pantalon » est un de ses tubes les plus célèbres à fredonner pour aller de l’avant avant que la Sacem et non l’Arcom nous l’interdise en espace public. Kenavo

  3. ALREN dit :

    Excellent pamphlet satirique. Texte inspirant pour décrire et ridiculiser la réalité de la connerie humaine d’un certain monde médiatique et politique.

  4. Dédou dit :

    Toujours les mêmes discours lors des canicules et il faut bien trouver des responsables….et si la nature était la seule responsable ? Alors devant ce danger incroyable, on fait venir des médecins sur les plateaux télé pour nous dire qu’il faut boire ! Etant du sud, on ferme les volets, on ouvre la nuit et on continue de vivre sans se plaindre en pleurnichant contre la  » méchante » chaleur !

  5. Franck dit :

    Encore des gens qui s’étonnent qu’il fasse froid en hiver et chaud en ète. en 2002 et 2016 il y a déjà eu des pics de chaleur, il y en aura sans doute d’autres. Je me fiche de l’état de Gaïa dans cent ans, comme dit plus haut, tu t’adaptes ou tu disparais. Gaïa a vu passer les dinosaures, des espèces et des civilisations qui ont disparu et elle est toujours la. Qu’on nous fiche la paix.

  6. M. The dit :

    Un peu d’humour, vu sur internet :
    – Heureusement que les « journalistes » météo nous répètent qu’il fait chaud, sans eux on serait assez cons pour sortir en doudoune avec un bonnet sur la tête !
    – Il fait chaud certes, mais ça pourrait être pire. Il pourrait neiger ! Et déneiger par cette chaleur ça serait très pénible !

    On se demande si les chaines « d’informations » savent que nous sommes au mois de Juillet .

  7. Hadrien Lemur dit :

    Ça fait du bien de rire un peu des abrutis qui nous soûlent à longueur de JT et de bulletin « météo climat ».

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