Chronique d’une justice à bout de souffle… partout en Europe. Cette fois, la nouvelle pour le moins indécente nous vient de Suède – ce pays jadis paisible et civil devenu une véritable jungle multiculturelle – et concerne la sentence d’une cour d’appel qui estime qu’un viol n’a pas duré assez longtemps pour que son auteur, un réfugié érythréen, soit expulsé au terme de sa peine (dérisoire).
En août 2024, Meya Åberg, une étudiante suédoise de 16 ans, rate son bus pour rentrer chez elle et décide de partir à pied. Dans le passage souterrain qu’elle traverse, elle sera agressée et violée par « un jeune homme de type africain », comme elle le déclarera à la police lors de son dépôt de plainte. Après le viol, Meya reste cloîtrée chez elle pendant plusieurs jours. Mais le premier jour de son retour au lycée, elle aperçoit son agresseur dans l’enceinte de l’établissement et décide de ne plus s’y rendre.
Yazied Mohamed, un réfugié de 18 ans originaire d’Érythrée est arrêté, et jugé coupable viol en appel. Il écope d’une peine de trois ans de réclusion, et de 240 000 SEK de dommages et intérêts à verser à Meya Åberg. Le procureur avait exigé son expulsion, mais la Cour d’appel du Haut-Norrland s’y oppose jugeant que le viol d’une adolescente n’est pas un crime suffisamment grave pour justifier l’expulsion, et fait référence, entre autres, à la « durée » du viol dans son arrêt :
« Dans de nombreux cas, le viol est considéré comme une infraction exceptionnellement grave qui pourrait entraîner l’expulsion d’un réfugié, mais une évaluation doit être faite en fonction de toutes les circonstances du cas individuel. Compte tenu de la nature et de la durée de l’infraction en question, la Cour d’appel estime que bien que le crime soit grave, il ne constitue pas une infraction exceptionnellement grave qui justifierait un ordre d’expulsion pour Yazied Mohamed. La demande d’expulsion est donc rejetée.”
Pour expulser un réfugié, la loi suédoise exige en effet que le crime commis constitue une « infraction exceptionnellement grave » et que l’auteur du crime représente « menace sérieuse pour l’ordre public et la sécurité. » Apparemment, le viol d’une fille de 16 ans ne rentre pas dans ce cas de figure.
Par ce verdict, la justice suédoise dit ceci : si un réfugié tente de vous violer, laissez-vous faire et faites en sorte que cela dure car dans le cas contraire, vous pourriez être amenée à croiser son chemin tous les jours après qu’il ait purgé une peine dérisoire.
Une autre vie gâchée par la folie immigrationniste et une justice inique qui a plus d’égards pour les criminels que pour les victimes. Mais qu’est-ce que la sécurité des femmes et des enfants par rapport aux prétendus droits des réfugiés, n’est-ce pas ?
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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