Il fallait oser. Une pétition, soutenue par plus de 12 000 signataires, réclame désormais la création de wagons réservés aux femmes et aux enfants dans les transports d’Île-de-France. La mesure, « inspirée du Japon », serait censée protéger les passagères du harcèlement et des agressions sexuelles. Autrement dit : séparer les femmes des hommes. Mais sans jamais oser nommer les véritables responsables.
Car le problème n’est pas le sexe masculin. Il est ailleurs. Il a un visage, une origine, une statistique. Et il saute aux yeux de quiconque a déjà pris le métro parisien après 21h.
Le mensonge d’État : tous coupables, donc personne
La France de 2025 ne veut plus voir. Ni entendre. Ni nommer.
Le déni est devenu doctrine d’État. Plutôt que d’affronter la réalité — celle d’une insécurité importée, d’une délinquance étrangère massivement surreprésentée dans les agressions, les viols et les vols —, on préfère inventer des rustines sociétales, des gadgets progressistes pour éviter la honte d’avoir à dire la vérité.
Alors, on fait diversion : on parle « d’éducation à la mixité », on installe des caméras, on parle d’élargie les trottoirs, on lance des campagnes contre « le harcèlement des Gaulois », ces affiches grotesques où l’agresseur a le visage d’un trentenaire barbu et blanc, alors que 93 % des vols et 63 % des agressions sexuelles dans les transports franciliens sont commis par des étrangers.
Ces chiffres ne viennent pas d’un tract d’extrême droite, mais du ministère de l’Intérieur. Et pourtant, silence. Pas un mot dans les grands médias, pas un reportage d’indignation sur ce que devient la France.
Les wagons roses : symbole d’une capitulation civilisationnelle
Créer des wagons réservés aux femmes, c’est institutionnaliser la peur, sanctuariser la fuite. C’est reconnaître que les transports publics français ne sont plus sûrs, et qu’au lieu d’en expulser les prédateurs, on préfère déplacer les victimes.
Autrefois, on chassait les fauteurs de trouble. Aujourd’hui, on déplace les honnêtes gens.
Le raisonnement est d’une lâcheté abyssale : puisqu’on ne veut pas « stigmatiser », on préfère segreguer. On repeint la soumission en pastel.
Les wagons roses, ce sont les burqas de demain : la version « laïque » du voile, au nom de la sécurité.
On nous dit que créer des compartiments protégés coûterait des millions. Soit. Mais les billets d’avion pour le retour des délinquants étrangers coûtent infiniment moins cher.
Encore faudrait-il avoir le courage politique de les acheter.
Chaque viol, chaque agression, chaque meurtre commis par un multirécidiviste en situation irrégulière est la conséquence directe d’une non-expulsion. Chaque ministre de l’Intérieur qui promet de « faire le nécessaire » tout en laissant sur le territoire des milliers de délinquants connus de la police est complice.
On ne manque pas de lois, on manque de nerf et de couilles. Le problème de la France n’est pas juridique, il est moral. C’est celui d’une société qui préfère détourner le regard plutôt que d’affronter sa propre faillite.
Le même aveuglement partout
À Londres, après l’attaque au couteau de ce week-end, les médias britanniques s’interrogent : « Pourquoi ? Quelle dérive psychologique ? Quel malaise social ? » Jamais : « Qui ? D’où vient-il ? Pourquoi est-il encore là bien que né sur le territoire ? »
En France, c’est pareil : au lieu de s’attaquer aux auteurs, on s’en prend aux outils. Un attentat au couteau ? On parle d’interdire les couteaux. Des agressions dans le métro ? On parle de séparer les sexes. Des émeutes de banlieue ? On parle d’éducation civique et de « lien social ».
Le réel hurle, et les élites répondent avec des slogans creux.
Le plus terrible, c’est cette inversion systématique des rôles : l’homme blanc devient le suspect par défaut, le bouc émissaire idéal.
Les affiches de prévention montrent des “harceleurs gaulois”, jamais les profils réels, pourtant connus de la police et de la justice. La culpabilité collective a remplacé la responsabilité individuelle.
On déteste le réel parce qu’il contredit l’idéologie. Et dans cette schizophrénie morale, la société se fissure. Les honnêtes citoyens se taisent, les femmes s’enferment, les prédateurs prospèrent.
Cette tribune n’est pas un cri de colère, c’est un constat.
Le système préfère repeindre les murs du wagon plutôt que de nettoyer les wagons eux-mêmes. On “inclus”, on “sensibilise”, on “éduque”, pendant que les agressions explosent : +86 % en dix ans dans les transports franciliens.
L’illusion égalitaire et la lâcheté politique nous conduisent droit vers une société éclatée, où chacun vivra derrière des grilles, des codes, des zones réservées. Les wagons pour femmes ne sont que le début : demain, ce seront des trains pour riches, des trains pour “safe zones”, des trains pour fuir ce que ce pays dirigé par des lâches ne veut plus affronter.
Il est temps de redevenir adultes.
De dire les choses, de nommer les faits, de protéger les innocents et d’expulser les coupables. La civilisation ne tient pas à des slogans, mais à une hiérarchie : celle qui distingue le bien du mal, le citoyen du délinquant, l’hôte de l’envahisseur.
Les wagons pour femmes ne sauveront personne. Ils signent seulement la reddition d’un pays qui n’ose plus défendre ses filles.
YV
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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Une réponse à “Pétition pour des Wagons pour femmes dans les transports en commun : le cache-sexe d’une lâcheté nationale [L’Agora]”
» la réédition d’un pays qui n’ose plus défendre ses filles » On en est là. « On nous oblige à changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus » récit vertigineux et troublant « les corps indécents ». Et ce n’est qu’un début. Notre jeunesse n’a qu’un avenir : quitter la France au plus vite à l’image des deux jeunes gens de ce récit afin d’échapper au pire, afin d’échapper au risque toujours plus grand de perdre la tête au coin d’une rue. Rien d’étonnant à ce que les touristes étrangers commencent à bouder la France.