Encore une affaire judiciaire qui scandalise à Saint-Brieuc : un homme de 58 ans, réfugié politique originaire de Syrie, vient d’être condamné à une peine de prison… intégralement assortie de sursis. Reconnu coupable d’agression sexuelle sur un adolescent, il pourra continuer de résider sur le territoire français.
Le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) a jugé jeudi 16 octobre un homme de nationalité syrienne, âgé de 58 ans, réfugié politique en France depuis quelques années. Arrivé à Damas, cet homme se présente comme un ancien secrétaire d’un parti d’opposition et “auteur de plusieurs livres”, des éléments que la justice n’a pas pu, ni manifestement souhaité, vérifier.
Installé dans un appartement de la région briochine depuis 2023, il affirmait vivre seul et mal maîtriser la langue française. C’est dans ce contexte qu’il a fait la connaissance de trois adolescents du voisinage, à qui il offrait des cigarettes pour obtenir de l’aide dans son emménagement. Mais un jour, l’un de ces jeunes s’est retrouvé seul avec lui. Selon les faits rapportés, l’homme l’aurait embrassé sur la joue et dans le cou, aurait tenté de l’embrasser sur la bouche, et lui aurait touché le sexe à travers son pantalon.
Des images pédopornographiques découvertes, puis écartées
Lors de l’enquête, sept images à caractère pédopornographique ont été retrouvées sur son téléphone portable. Le prévenu a reconnu les avoir reçues “sans savoir de qui”, ni les avoir supprimées. “Ce n’était pas sexuel”, a-t-il affirmé à la barre, niant toute attirance pour les garçons.
Son avocate a contesté la qualification des faits, estimant que “la minorité des personnes figurant sur ces images n’était pas établie”. Le tribunal a finalement relaxé le Syrien de ce chef d’accusation, considérant les preuves insuffisantes.
Pour l’agression sexuelle, en revanche, le tribunal a retenu la culpabilité de l’accusé.
Il a été condamné à 15 mois de prison avec sursis probatoire, assortis d’une interdiction définitive d’exercer toute activité en lien avec des mineurs et d’une inscription au fichier des délinquants sexuels. Aucune peine ferme n’a été prononcée : l’homme, reconnu coupable d’un acte à caractère sexuel sur un mineur, ne fera donc pas un seul jour de prison et ne sera pas expulsé du territoire français, son statut de réfugié politique le protégeant d’un éloignement.
Ce jugement, une fois de plus, illustre la faiblesse de la réponse pénale française face à la délinquance étrangère. Alors que les faits impliquent un réfugié reconnu coupable d’agression sexuelle sur un adolescent, le tribunal a choisi la clémence : pas d’incarcération, pas d’expulsion, et un maintien sur le sol français.
Combien de “réfugiés politiques” condamnés peuvent encore bénéficier de la protection de l’État français, même après des infractions graves ?
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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Une réponse à “Saint-Brieuc : un « réfugié politique » syrien condamné avec sursis pour agression sexuelle sur un mineur…mais autorisé par la « Justice » à rester en France”
Sa place est en Syrie vu que bachar assad est parti.