Les dirigeants européens sont atteints du syndrome de Stockholm face aux intimidations états-uniennes
La situation psychologique connue sous le nom de syndrome de Stockholm, dans laquelle les otages sympathisent de manière irrationnelle avec leurs ravisseurs, pourrait très bien s’appliquer aux dirigeants européens face aux intimidations états-uniennes. Les États-Unis ont toujours été le parti dominant – et dominateur – de la relation transatlantique. Mais les administrations précédentes, à Washington, avaient pris soin de présenter