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Une critique positive du Barzhaz Breizh, chants populaires de Bretagne

05/11/2016 – 07H45 Bretagne (Breizh-info.com) – Hans Abgrall, membre du SOCLE, qui « a pour but de rassembler les tenants de la grande Tradition européenne à travers un travail collectif de critique positive.», nous adresse celle du Barzhaz Breizh, que nous vous proposons ci-dessous :

Le Barzhaz Breizh (Bardit de Bretagne) est une compilation de chants épiques, populaires et religieux du peuple de Basse-Bretagne, c’est-à-dire de la moitié ouest de la péninsule armoricaine, où la langue celtique bretonne s’est établie et conservée. Ce recueil a eu un rôle majeur dans la renaissance de l’identité bretonne, et est donc une source d’inspiration forte pour tous ceux qui agissent en faveur du réveil de la conscience européenne.

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La collecte, la compilation par recoupement des versions, la transcription musicale, la  traduction en français et les commentaires sont l’œuvre du marquis Théodore Hersart de la Villemarqué, aussi nommé Kervarkêr en breton, qui en a publié la version finale en 1845. Les raisons qui le poussent à entreprendre ce travail sont à la fois profondément personnelles et liées au contexte historique de l’époque. D’une part, il a grandi dans le petit château familial de Nizon, où les domestiques parlaient le breton, dont il apprit quelques mots et chants de la part de sa nourrice. D’autre part, la Bretagne se remet de l’écrasement de sa chouannerie, révolte contre l’ingérence religieuse de la République française et contre la négation des droits spécifiques négociés en faveur du peuple breton par Anne de Bretagne en 1499, lors de l’union forcée de son duché à la couronne de France. N’ayant pu faire sécession ou rétablir son autonomie, la Bretagne a alors pour priorité le combat culturel, pour contrer l’influence française qui se diffuse par la bourgeoisie urbaine, libérale, anticléricale et francophile, alliée aux fonctionnaires jacobins.

  Au même moment, le romantisme se répand dans toute l’Europe du nord : en Allemagne, en Angleterre, mais aussi en Scandinavie, en Ecosse, au Pays de Galles, en Irlande. Tous ces peuples cherchent à retrouver et à mettre en valeur leurs racines, contestant l’hégémonie culturelle du classicisme d’inspiration gréco-romaine. Cela passe entres autres par la recherche ou l’écriture d’une épopée nationale, par exemple le Kalevala en Finlande, le cycle d’Ossian en Ecosse, les mythes des Fianna ou de Cù Chulainn en Irlande. Pour donner ses lettres de noblesse à la langue bretonne, alors considérée comme un ensemble hétéroclite de dialectes paysans arriérés et voués à disparaître, le marquis de la Villermarqué entreprend donc une vaste entreprise de collecte. Il tâche à chaque fois de mettre en avant les chants les plus antiques, et de recouper les versions pour produire les textes les plus longs, les plus élaborés, et les moins francisés.

  Cela lui sera reproché avec tant que vigueur à la parution que, blessé dans son orgueil par les accusations d’être un faussaire ayant inventé l’essentiel des textes, il refusera de publier ses carnets de collecte. Ces carnets ont depuis été retrouvés, et une thèse de Donatien Laurent semble clore définitivement le débat en 1974 : malgré ce qu’on avait longtemps cru, les retouches du marquis semblent se  limiter à un travail de compilation et de retouches mineures, ne remettant pas en cause la véracité des textes et mélodies collectées. A part quelques irréductibles franc-maçons, même la gauche française jacobine cesse donc peu à peu de nier en bloc l’authenticité de cet ouvrage, et par-là même un des fondements de l’identité culturelle bretonne.

     1. Chants mythologiques

  Ces chants, quoique parfois teintés par la religion nouvelle, sont des échos du paganisme celtique des Bretons : on y trouve une série d’enseignements druidiques, une prophétie d’un barde aveugle, l’histoire d’un seigneur et d’une fée, une incantation guerrière, et la chasse sauvage du roi Arthur en quête de batailles.

  Le chant des Séries (ar Rannoù) semble être un reliquat d’enseignement druidique. Un professeur répond à son élève en lui citant :

  • la nécessité unique (Ankoù, Tad an Anken, le Trépas, père de l’angoisse (qui fait écho au Dis Pater, figure plutonique citée par César comme père des Gaulois),
  • les deux bœufs qui tirent le navire de l’Être (scène semblable à celle du char à deux chevaux de Platon, dont le cocher est l’âme),
  • les trois vies et trois morts du cycle des renaissances, …
  • … jusqu’aux douze constellations qui marquent dans le ciel le destin des Hommes.

  A noter qu’on trouve aussi une version chrétienne de ces séries, allant de un à douze, du dieu unique aux douze apôtres, attestant de la permanence de cette forme d’enseignement dans le christianisme breton.

La prophétie de Gwenc’hlañ (Diougan Gwenc’hlañ) est celle d’un barde croupissant dans un cachot, les yeux crevés par un seigneur chrétien car il a refusé de se convertir à la nouvelle religion étrangère. Après un énoncé de la doctrine druidique de la transmigration des âmes et des métamorphoses initiatiques, il prédit la mort des oppresseurs sous les coups d’un chef de guerre qu’il encourage vigoureusement, mettant ainsi en valeur la profonde solidarité entre première et deuxième fonction indo-européenne dans le cadre de la souveraineté de la classe aristocratique, les prêtres, savants et poètes désignant, inspirant, et glorifiant les guerriers et dirigeants.

Le Seigneur Nann et la Fée (an Aoutroù Nann) atteste de la permanence de la croyance et du culte envers les esprits des lieux de l’Armorique. L’histoire est analogue à celle qu’on attribue en Scandinavie à Sire Olaf ou de Herr Mannelig : un seigneur part à la chasse, y croise une créature féérique qui le demande en mariage. Il refuse, étant déjà fiancé, et y trouve la mort. Ce thème est également un curieux analogue du thème sibérien de l’apprenti-chaman choisi par la fille de la forêt, qui trouve la mort s’il la refuse.

Le Vin Gaulois (Gwin ar C’hallaoued), dont le groupe « Vae Victis » a fait une sympathique version française, semble relater les raids des Bretons sur la Loire Atlantique encore franque, tels que les relate Grégoire de Tours. Le refrain et les derniers couplets ont un style qui semble particulièrement antique, jouant sur les sonorités pour lier dans une même invocation le feu et le chêne, le chêne et les flots, la terre et l’acier, avant d’honorer le glaive du guerrier et le soleil resplendissant. Le chant fait aussi écho à la très antique attitude indo-européenne selon laquelle il est indigne de faire cracher à la nature ce qu’on peut prendre à de riches étrangers trop faibles pour défendre leur accumulation ; attitude hautement étrangère à la mentalité sémito-bourgeoise, et d’une certaine manière en pointe des mouvements actuels qui promeuvent la décroissance mais peinent à expliquer par quel moyen répartir les richesses.

Enfin, la Marche d’Arthur (Bale Arzhur) fait écho à la croyance, répandue aussi au Pays de Galles, que le Roi Arthur n’est que profondément endormi, et se réveillera un jour de son sommeil, pour mener les Bretons à la victoire contre les envahisseurs et récupérer ainsi leurs terres ancestrales. La troupe spectrale qui vole à sa suite les jours de tempête a une conception assez spécifique de la charité chrétienne, et même de la loi du Talion, lorsque c’est l’étranger qui commet l’agression : main pour doigt, tête pour œil, capitaine pour soldat, voilà la règle. La vie éternelle, elle, ne s’obtient pas en étant aspergé d’eau, mais en se baignant dans son propre sang si on tombe au combat pour sa nation. Comme chez les autres Européens, le paradis, qu’on le nomme Valhöll, Tir nan Og ou Champs Élyséens,  appartient aux héros.

     2. Chants aristocratiques

Cette conclusion nous amène donc naturellement aux chants aristocratiques, et donc à passer du registre du mythe à celui de l’épopée. De Lez Breizh au début du IXe siècle, à une époque où les archives écrites sont inexistantes, au marquis de Pontcalleg au XIXe siècle, ces personnages sont tous transfigurés par leur statut héroïque, bien que les brumes du temps tendent à les rapprocher davantage du rang divin à grands coups de miracles et de magie.

Le cycle de Lez-Breizh, le soutien de la Bretagne, premier chef de guerre à unifier sous sa bannière les Bretons d’Armorique face à l’invasion franque, se rapporte à des événements très anciens, du début du IXe siècle. De ces nombreuses péripéties, on retiendra surtout la protection de Sainte Anne, Grand’mère des Bretons, à laquelle son protégé ne manque pas de prêter serment dans les lieux qui lui sont consacrés, promettant moult offrandes en échange d’une force surnaturelle pour défendre son peuple, exactement comme à une divinité païenne. Les ermites, eux, bien que chrétiens, habitent les mêmes grottes, les mêmes forêts, et procèdent aux mêmes enchantements que les druides.

Le Tribut de Nominoé (Drouk-kinnig Nevenoe) est peut-être une des plus belles pièces du recueil. George Sand la comparera même à l’Iliade. Alors que la Bretagne est sous domination carolingienne, elle doit payer un tribut de trois sacs d’or, portés par un jeune noble. Une année, le dernier sac est trop léger, et l’intendant de la ville de Rennes tranche la tête du porteur pour « faire le poids ». Son père, suffoqué par la nouvelle tel Priam apprenant la mort d’Hector, va voir Nominoé, duc des Bretons et vassal des Carolingiens. Il lui demande s’il y a un dieu au ciel, un chef en Bretagne, et une justice sur terre ; Nominoé lui répond : un dieu au ciel si je le crois, un chef en Bretagne si je le suis, une justice sur terre si je le puis.

Deut omp da c’hout hag hen’z euz reiz;
Doue enn nenv ha tiern e Breiz.
– Doue’z enz ena nenv, a gredann,
Ha tiern e Breiz, ma her gelann.

 

La main encore sanglante de son retour de chasse, il jure sur la tête du sanglier qu’il traîne qu’il ne lavera pas sa main avant que le crime ne soit châtié. Il porte à Rennes le tribut suivant : des pierres dans des sacs bien noués. Quand l’intendant veut en vérifier le contenu, il sort son épée pour couper le nœud, et tranche la tête de l’intendant qui roule à son tour dans la balance. S’enfuyant dans la nuit, Nominoé lance la grande révolte qui marquera la première unification politique des clans d’Armorique en un royaume indépendant, dès l’an 848, dont les frontières bougeront peu par la suite. Il est donc nommé Tad ar Vro en breton, le Père de la Patrie.

Le Cygne de Montfort (an Alarc’h) est bien connu des amateurs de musique bretonne, ayant été repris par de nombreux artistes phares du renouveau culturel breton (Alan Stivell, Gilles Servat, Tri Yann, etc). L’action se situe pendant la guerre de succession du trône ducal, au XIVe siècle, imbriquée dans le contexte de la Guerre de Cent Ans. Jean IV de Montfort, le prétendant le plus en vue, avait été chassé par les Bretons pour avoir pris trop nettement le parti des Anglais et leur avoir livré plusieurs places fortes en échange de leur soutien. Le roi Louis de France y vit là une marque de francophilie de la part des Bretons, déclara la Bretagne annexée au royaume de France et tenta d’y collecter l’impôt. Les Bretons, farouchement jaloux de leur indépendance, rappelèrent à la hâte leur duc exilé en 1394. Celui-ci revient sur un navire blanc, glissant sur les flots tel un cygne d’outre-mer, animal mythique servant de messager entre les mondes, à la manière des bansidh irlandaises. Ses troupes assemblées l’acclament : les loups de Basse-Bretagne hurlent de joie à l’odeur de l’étranger qu’ils s’apprêtent à tailler en pièces pour défendre leur terre et leur souveraineté. On notera au passage que Bertrand du Guesclin, connétable de France, est ici au nombre des treitourien, des traîtres à sa patrie bretonne.

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Nominoé repoussant les Francs (Jeanne Malivel, 1922)

La complainte du marquis de Pontgallec (Gwerz marv Pontkalleg) est le plus tardif de ces chants aristocratiques, évoquant un événement de l’an 1720. Lors d’un passage en force du roi de France, ignorant le privilège breton de ratifier ou non les nouveaux impôts mis en place par la couronne, le jeune marquis de Pontgallec réunit une conspiration de nobles bretons, l’Association Bretonne. Malheureusement, le complot est découvert et le marquis se fond « comme un poisson dans l’eau » dans le peuple dont il est issu. Un mendiant des villes le dénonce, et il est emmené à Nantes pour y être jugé par des bourgeois. Ceux-ci lui demandent ce qu’il a fait, il répond : « j’ai fait mon devoir, faites le vôtre ». Il est condamné à la décapitation sur la place du château, où se trouve à présent une plaque en sa mémoire. Dernier épisode des soulèvements aristocratiques bretons, le chant nous livre aussi une analyse assez marxienne : « Il était l’ami des Bretons, car il avait été élevé parmi eux. Il était l’ami des Bretons : des bourgeois, je ne dis pas. Des bourgeois, je ne dis pas, ils sont comme les Français ». Dans la lutte que les bourgeois des villes, acquis au pouvoir étranger, mènent contre les paysans enracinés et la petite noblesse du terroir, ce qui fait pencher la balance est la trahison du lumpenprolétariatacculturé, à qui toute notion de transcendance a été retirée.

     3. Chants chouans

On trouve ensuite de nombreux chants honorant la lutte des Chouans catholiques contre la République anticléricale. Malgré l’aspect religieux de ce conflit, les Chouans se revendiquent davantage de la défense d’une tradition ancestrale que de la promotion d’une vérité universelle. Le ton et les motifs utilisés sont souvent proches des chants médiévaux, voire antiques.

Le Faucon (ar Falch’un) est le plus ancien des trois, et concerne en fait une jacquerie médiévale plutôt que la Chouannerie à proprement parler. Le duc Geoffroi Ier étant mort en croisade, son épouse exerçait le pouvoir sous l’influence de son frère, duc de Normandie, qui favorisait les étrangers aux postes de collecteurs d’impôt et fermait les yeux sur les prélèvements excessifs à leur profit. Les paysans s’assemblent au solstice d’été autour du feu de joie de la Saint-Jean, le tantad (feu-père). Leur meneur, Kado le Batailleur, jure très païennement sur les braises du feu, sur la lune et les astres, sur le tonnerre et les flots, sur le ciel et la terre, que les étrangers auront querelle et bataille si c’est là ce qu’ils cherchent. Les autres jurent à leur tour. Partis trois-cents de la colline, ils arrivent à plusieurs milliers à la ville de Guérande, où ils mettent à sac l’hôtel des impôts et se vengent des collecteurs. Un édit ducal encadrera ensuite strictement l’activité de collecte, avec perte de la charge pour toute la lignée en cas de manquement constaté.

Le Chant du prêtre exilé (Kanaouenn ar beleg forbannet) conte l’histoire du recteur de Vannes refusant de prêter serment sur la constitution de la République française, comme la nouvelle loi l’y oblige. Quinze ans durant, proscrit sur ses terres, il vit en exil, et chante son désarroi de voir bafouée la coutume et la religion. Apostrophant les oiseaux marins, il leur demande de porter à son peuple un message d’espoir : la certitude que la Tradition reviendra prendre sa place légitime s’ils refusent de l’oublier. Peu de choses, finalement, semblent différencier cette œuvre de ce qu’on imagine être la complainte d’un druide exilé dans les îles britanniques après l’interdiction de leur enseignement dans la Gaule conquise par Rome.

Les Chouans (ar Chouanted) louent les prouesses des paysans bretons engagés dans une féroce guérilla contre les troupes républicaines, coupables de bafouer la coutume et l’autel, et d’envoyer les jeunes à la mort contre le reste de l’Europe pour propager cette folie. Les Chouans, menés par un noble local, remportent la victoire contre trois-mille soldats, à coups de bâton ferré et de chapelet de Sainte Anne, Grand’Mère des Bretons, faisant ainsi le lien avec les miracles de Lez Breizh, et même au-delà avec le culte antique de la mère des Dieux. Dans ce combat inéquitable, on notera aussi la farouche résolution de défendre son pays face à la volonté hégémonique d’un voisin, même bien plus puissant. Ne l’oublions pas, pour éviter à l’avenir de tels conflits fratricides.

     4. Chants populaires et religieux

Après cette longue partie dédiée aux chants historiques, les chants populaires et religieux sont en fait bien moins nombreux. De plus, on les retrouvera aisément dans d’autres ouvrages. Ces échantillons suffisent pourtant à mettre en avant la fonction de ces deux genres musicaux :

  • Les chants populaires rythment les tâches quotidiennes, l’année, les grands moments de la vie. Ils contribuent donc au lien social ainsi qu’à la solidarité naturelle entre membres d’une communauté, dont les étrangers ne connaissant pas les codes sont de fait exclus.
  • Les chants religieux, eux, témoignent, par leur caractère propre et leur raffinement, de la profonde inculturation du christianisme breton, où le génie poétique et musical, allié à la ferveur des anciens Celtes, trouve un écho renouvelé sous le masque d’une autre doctrine. Le culte des saints bretons, en particulier, montre l’attachement des Bretons à leur culture, leur race, et leurs paysages façonnés par ces miracles.

        Conclusion

Le Barzhaz Breizh possède à la fois une portée bretonne et européenne.

D’une part, il atteste de la profonde parenté des cultures, idéologies et mythes des Européens, par les analogies qu’on y trouve avec les sagas scandinaves et les épopées grecques. Cela est flagrant en particulier dans la mentalité aristocratique, l’importance sacrée de la poésie, le respect des forces mystérieuses de la Nature, et le mépris de l’accumulation des richesses par des marchands trop souvent complices de l’étranger.

D’autre part, il sert d’exemple à une échelle plus large, en montrant en filigrane comment des terroirs rivaux, jaloux de leurs particularismes et souvent divisés par des affrontements liés aux ambitions personnelles des dirigeants locaux, prennent acte de ce qui les relie quand ils sont confrontés à une menace étrangère. C’est ainsi que naît une conscience nationale, préalable à toute unité politique effective, ayant pour but d’établir un État souverain. Celui-ci a pour but fondamental, non pas d’aplanir la formidable diversité des traditions ancestrales, mais de les défendre face à un impérialisme qui les anéantirait toutes.

 De la même manière que des familles se sont fédérées pour former les premiers groupements tribaux sous l’autorité d’un chef ayant pour but d’organiser leur subsistance et leur défense, les nations européennes sont aujourd’hui toutes confrontées aux mêmes défis. Le plus urgent est le Grand Remplacement, c’est-à-dire l’invasion migratoire de peuples non-Européens.  Ceux-ci sont radicalement insolubles culturellement et ethniquement, adhérant de plus majoritairement à une secte conquérante, porteuse d’un projet politique universaliste et totalitaire.

Hans Abgrall, pour le SOCLE.

Fondé suite au sacrifice de Dominique Venner, le SOCLE est un cercle de réflexion analysant les œuvres de la Tradition européenne. Portés par la longue mémoire, ses membres réalisent les critiques positives de ces œuvres pour y trouver les idées et l’inspiration qui permettront d’affronter les périls pesant aujourd’hui sur l’Europe. Le SOCLE tente ainsi de répondre à ces questions fondamentales pour tout Européen : « Qu’est ce qui nous porte ? Que voulons-nous défendre ? Et comment ? »

Photo : DR
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