Bretagne éternelle : pour que la Bretagne reste la Bretagne ! Tel est le titre du 52ème numéro de la revue nationaliste bretonne War Raok.
Voici ci-dessous l’éditorial ainsi que le sommaire.
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SOMMAIRE War Raok n° 52.
Buhezegezh vreizh page 2
Editorial page 3
Buan ha Buan page 4
Europe
La Bosnie nouveau pays de passage pour migrants ? page 12
Société
Ils ne reposeront plus en paix… page 13
Tribune libre
Communistes et Histoire de Bretagne page 16
Billet d’humeur
La France… une dictature totalitaire ! page 18
Hent an Dazont
Votre cahier de 4 pages en breton page 19
Histoire de Bretagne
Le colonel Armand, marquis de la Rouërie page 23
Politique
Le grand remplacement, il est aussi près de chez vous… page 27
Environnement
La loi littoral page30
Civilisation bretonne
Qu’est-ce que la Déesse-mère, le principe féminin ? page 31
Nature
Leurs corolles s’ouvraient… page 35
Lip-e-bav
Endives farcies aux légumes page 37
Keleier ar Vro
Fin ar Bed page 38
Bretagne sacrée
Pardons en Bretagne page 39
Pour que la Bretagne reste la Bretagne.
Que la Bretagne reste la Bretagne, que l’Europe reste l’Europe… ils ne supportent pas ! Ils, ce sont les adversaires des peuples qui composent les véritables patries charnelles en Europe : Basques, Ecossais, Bretons, Catalans, Gallois, Flamands, Corses, Irlandais… etc., peuples enracinés luttant pour rester eux-mêmes, vivre et conserver leur culture spécifique, leurs traditions, leur religion, leur langue. Ces adversaires (pourquoi ne pas tout simplement parler d’ennemis) dont la stratégie consiste uniquement à diaboliser sont adeptes du remplacement des valeurs qui passe par le remplacement des populations. Cette pratique cynique porte un nom : génocide par substitution. Leur souhait, que la Bretagne, terre celtique, devienne une terre multiculturelle et métissée. Pour imposer cet objectif ils usent d’une arme de destruction massive : le changement de peuple et de civilisation.
On ne peut plus déporter les peuples comme savaient si bien le faire les régimes totalitaires communistes. Les époques ont changé, les méthodes également mais le résultat reste le même. L’arme employée aujourd’hui est une arme non létale, un procédé plus habile, plus subtil mais tout aussi efficace. On se sert de la crise migratoire actuelle, on organise ainsi une substitution ethnique dont on se demande si l’objectif final n’est pas le remplacement pur et simple d’une population, d’un peuple. Cette submersion migratoire en Bretagne, nouvel outil de colonisation de l’Etat français, risque, à terme, de dissoudre le caractère spécifique breton de sa population historique. Nous devons nous opposer à toute assimilation des peuples par colonisation et substitution planifiée des populations. En Bretagne, l’immigration colonisatrice, la désintégration de la société bretonne… la perte de notre identité sont des poisons mortels qui doivent être combattus par tous les moyens, en privilégiant le principe du droit du sang, ultime garantie et barrière juridique avant la mort programmée du peuple breton.
Notre position sur l’immigration de populations non-européennes, avec leur religion, leurs cultures inassimilables, se nourrit de notre expérience de nationalités en lutte pour leur survie et la reconquête de leur caractère-propre. Elle est donc choisie sereinement et avec rigueur. Nous sommes opposés à l’immigration extra-européenne comme au néo-colonialisme économique et culturel qui l’accompagne ordinairement, ainsi qu’à la dépersonnalisation et au déracinement des peuples. Nous refusons bien évidemment le mondialisme et son projet de métissage universel et nous prônons la relance de la démographie de nos peuples.
Nous rejetons le misérabilisme, nous refusons de gémir sur des maux nés en partie de notre faiblesse, car nous savons que notre action prend place dans une longue suite de renaissances. Nous affirmons que la plus haute forme de la politique et de l’accomplissement de soi c’est de servir la nature de son peuple, de lutter sans cesse pour la défendre, l’améliorer, en promouvoir les valeurs. C’est, dans un combat qui n’aura pas de fin, d’en transmettre la garde aux générations de demain.
Ce que nous refusons pour les ethnies d’Europe, nous le refusons aussi pour les peuples du monde.
Pour conclure, ce danger mortel qui consiste à remplacer les populations, à détruire les peuples et les ethnies, n’est ni une peur irraisonnée ni un fantasme. C’est une réalité, il suffit pour s’en rendre compte de se promener dans les rues de Rennes, de Nantes, de Brest ou de Lorient.
Padrig MONTAUZIER.
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