Certains Français, même avec un couteau sous la gorge, trouveraient encore des excuses à leurs futurs assassins. Un peu comme Zoë dans le roman Guérilla de Laurent Obertone. On se souvient tous de cet imbécile heureux, au lendemain des massacres islamistes du Bataclan, proclamant à la population « Vous n’aurez pas ma haine », alors qu’il venait de perdre sa femme.
J’espère que ses enfants le renieront, ce lâche qui pas un seul instant n’a eu l’once de courage lui indiquant de venger sa femme.
Tout comme j’espère que tous ceux qui trouvent en permanence des excuses à leurs agresseurs, à leurs violeurs, et à ceux qui jour après jour font de la France et de l’Europe de l’Ouest une zone où la violence gratuite explose, se verront eux aussi reniés par les enfants qu’ils auront tout de même fait naître, les livrant au sang, à la barbarie, aux guerres ethniques et à la haine, eux qui ont vécu les années de plein emploi, de prospérité, d’allégresse et de réel « vivre ensemble ».
Ils me font vomir tous ces donneurs de leçon, qui vous traitent de « raciste » parce que vous avez le malheur d’évoquer l’augmentation de l’immigration, et, en parallèle, de la violence issue de l’immigration. Ils me donnent la nausée ces sociologues et ces « chercheurs » qui vous expliquent avec des chiffres que seuls des rats de laboratoires manipulés peuvent croire, qu’il n’y a pas plus de violence aujourd’hui qu’il y a quelques décennies, ou encore qu’il n’y a pas plus d’immigration qu’avant, que la population française ne change pas.
Les chiffres, la rhétorique, une armée de Clément Viktorovitch sur nos écrans, dans nos vies, dont on finit par rêver qu’ils soient envoyés de force à passer quelques jours et quelques nuits dans quelques cités perdues de Roubaix ou de La Courneuve… juste pour voir.
Ils m’écœurent également ces politiques, lâches, incapables d’appeler un chat un chat… Incapables de rétorquer à ces menteurs, voleurs, et tricheurs, qu’il suffit d’aller dans les rues de Nantes, de Rennes, de Paris, de Marseille, et de comparer à il y a un siècle pour se rendre compte qu’il n’y a plus la même population. Incapables d’émettre des vérités par peur du juge et du lynchage médiatique, tout en prétendant ensuite vouloir gouverner nos destinées…
Oui, nos villes sont désormais pleines d’extra-Européens. Qu’ils aient des papiers français, belges, camerounais ou chinois n’y change rien. Ils sont extra-Européens, leurs ancêtres ne vivaient pas avec les nôtres, et leurs enfants ne sont pas destinés non plus à vivre avec les nôtres si ce n’est de manière imposée, dans le sang, les tensions, et la haine.
« Et alors, on en parle des pédophiles dans l’Église et des violeurs bien blancs ? »
Quel rapport avec la violence me demanderez-vous alors ? Je ne sais pas, la pêche aux huîtres peut-être ? Ou le cinéma russe ? On se croirait sur un forum dédié aux agressions à Nantes, sur lequel dès que les origines des agresseurs et des violeurs sont révélées, certains appelleraient presque à la vendetta, non pas contre le délinquant, mais contre celui qui aurait le malheur d’évoquer leur origine. Aujourd’hui en France, l’individu soupçonné de « racisme » est perçu comme un monstre qui ferait passer Marc Dutroux et Youssouf Fofana pour des interlocuteurs dignes d’être invités sur les plateaux TV.
Il ne faut pourtant pas avoir fait l’ENA pour comprendre que personne n’a jamais dit que les extra-Européens représentaient, tous, du premier jusqu’au dernier, un problème, et étaient tous des délinquants en puissance.
Simplement, la population autochtone a des droits, notamment à la sécurité. Et ses autorités de compétence ont des devoirs. Et cette sécurité, avant de passer par des privations de liberté, des contrôles de caméra à chaque coin de rue, ou de devoir montrer ses pieds nus (et pourquoi pas son sexe ?) à chaque contrôle aérien, passe par la restriction de la menace en fonction de la criminalité potentielle de certains groupes ethniques organisés.
Vous rendez-vous compte qu’il y a des gens dans ce pays qui trouvent scandaleux qu’on expulse un migrant qui vient de violer ou d’agresser une jeune femme, tout en réclamant des caméras de vidéosurveillance pour nos rues ?
Vous évoquez les viols massifs commis par des Pakistanais au Royaume-Uni (et cachés par les autorités) et des idiots vous rétorquent, les yeux plein de haine pour le raciste supposé que vous êtes : « et alors, on en parle des pédophiles dans l’Église et des violeurs bien blancs ? ». En gros, tolérons les viols par des extra-Européens, puisque des Européens bien blancs se livrent eux aussi à des saloperies. Une rhétorique digne d’un Titeuf, mais qui fait mouche une époque où 90 % d’une classe d’âge possède un baccalauréat, une télé, et un abonnement chez Hanouna, avant d’échouer en faculté…
Finissez-en avec le tabou des statistiques ethniques
Non, les Afghans ne sont pas tous des violeurs et des pédophiles. Par contre, eu égard à la forte proportion d’Afghans s’étant livrés, dans les rues de nos villes (en Europe) à des exactions, il serait normal et légitime que nous nous évitions d’en accueillir encore et encore, qu’ils soient réfugiés, demandeurs d’asile ou immigrés clandestins, et cela pour la simple raison que le devoir de notre gouvernement, des garants de notre État et de notre Constitution, est de nous protéger, avant toute chose, envers et contre tous.
Non, les Arabes et les Noirs ne sont pas tous des dealers, des délinquants ou des islamistes en puissance parce que des gangs appartenant à ces communautés sévissent dans les rues de certaines villes. Personne n’a d’ailleurs jamais dit cela.
Par contre, la population française autochtone est en droit de réclamer des chiffres précis. Combien sommes-nous réellement en France ? Comment se répartissent géographiquement et statistiquement les ethnies et communautés en France ? Quelles sont les statistiques de la délinquance par communauté ? Y a-t-il des communautés ou des ethnies en France, proportionnellement plus criminogènes que d’autres, et qui donc nécessiteraient d’être régulées aux frontières, pour la sécurité de tous ?
« La République ne reconnaît qu’une seule communauté, blablabla » rétorqueront ceux qui ont fait d’une puissance mondiale un bidonville à ciel ouvert, au bord de la crise économique et sociale, et de la guerre civile, et cela en quelques décennies.
Soyez honnêtes, Messieurs et Mesdames les décideurs, une fois dans votre vie, avec vous, comme avec votre peuple. Finissez-en avec le tabou des statistiques ethniques. Laissez-nous voir l’état de notre pays. Et décider avec qui nous voulons vivre demain, et avec qui nous ne voulons pas vivre, c’est notre droit le plus sacré.
Mettez en place ces statistiques. Pour vous conforter dans votre idée que l’immigration n’a rien à voir avec la délinquance, ni avec l’explosion de la violence gratuite en France. Pour vous donner raison sur le fait que la Bretagne, région qui comporte sans doute le moins d’immigrés extra-européens en France (avec la Creuse peut-être ?) n’est pas plus attractive pour les touristes comme pour les autochtones d’Europe que la Seine-Saint-Denis ou Vénissieux.
Pour que la population se rende compte à quel points les communautés extra-européennes souffrent de discriminations abominables dans ce pays rappelant les heures les plus sombres de notre histoire… Pour adouber enfin ces chercheurs et ces décodeurs anti-fake news, qui nous expliquent qu’une femme en mini-jupe ne courrait pas moins de risque dans les années 30 gare du Nord à Paris qu’aujourd’hui…
Ou tout simplement pour éviter que les choses finissent mal entre nous tous.
Et que le séparatisme qu’évoquait Emmanuel Macron encore récemment sans oser parler d’islamisme bien entendu (le courage étant en supplément chez ces gens-là), ne finisse pas par nous apparaître à nous aussi, nous les autochtones, comme une doctrine séduisante, protectrice des nôtres vis-à-vis des autres. La frontière. La clôture. Les fenêtres. La porte. Le jardin. Le foyer. La maison. La défense. Nous. Nous-mêmes (Sinn Féin). Ici. Eux. Les autres. Ailleurs.
Quand aux imbéciles, aux naïfs qui pensez toujours que « l’immigration n’est pas la question », alors que votre fils vient de se faire larder de coups de couteau en sortie de boîte de nuit ou alors que votre fille se fait frotter les fesses par une « chance pour la France » exhibant son sexe dans le métro parisien, nous ne pouvons plus faire grand chose pour vous.
« Une armée de zombies, déjà morts, et qui ne le savent pas encore ».
Julien Dir
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