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Le coronavirus, un virus pour guérir l’Occident malade ? [L’Agora]

Si vous n’avez pas vu l’excellent film 24h avant la nuit, c’est le moment de le visionner. Et surtout de visionner cette tirade, majeure dans le cinéma de ces vingt dernières années, une tirade qui illustre parfaitement le monde que nous sommes en train de façonner pour demain, de laisser à nos enfants. Un monde, et surtout un monde occidental, qui prend de plus en plus les traits d’un asile psychiatrique doublé d’une décharge à ciel ouvert.

Dans notre pays, le maillage territorial est malade. La ruralité, c’est à dire ceux qui produisent (pas ceux qui font de la communication ou qui brassent de l’air), est abandonnée petit à petit et remplacée en tant que manque d’intérêt de nos dirigeants par des nouveaux habitants, néo-colons concentrés dans les banlieues de métropoles qui pullulent dans toute la France. Des métropoles hideuses, façonnées par une petite caste de vampires qui entendent régner en maître sur un territoire, tout en faisant de leurs villes des laboratoires où toutes les folies sont permises.

Voyez à Nantes, « Petit Paris », ces travaux dans toutes les rues, ces embouteillages permanents, ce bruit insupportable, ces regards enfouis dans les smartphones pour oublier la laideur de la ville que l’on parcourt au quotidien, ces migrants qui errent comme des zombies tandis que d’autres de leurs congénères droguent activement la population autochtone avant de la dépouiller .

Et ces élus, qui veulent imposer à tous le vélo, tout en construisant sans arrêt pour faire venir plus de monde, comme s’il y avait la moindre logique écologique à entasser les gens pire que dans un poulailler en élevage intensif, tout en leur demandant de manger bio et de rouler à vélo….

La nausée. Toujours la nausée.

On nous parle sans arrêt de lien social, de « vivre ensemble », mais on voit des familles se déchirer parce que des gamins ne sont plus capables de tenir une discussion avec leurs parents sans jeter un coup d’œil sur le téléphone. Parce que les familles sont éclatées. Parce que les publicités qui matraquent les esprits sont des incitations permanentes à la tromperie, au divorce, à l’éclatement des cellules de base. On veut parler et s’ouvrir au monde entier, en oubliant de s’occuper avant tout de sa famille, de ses voisins, de ses proches. Il n y a aucun « vivre ensemble », il y a juste un mourir côte à côte. On baisse la tête quand le voisin se fait dépouiller dans le tramway, espérant juste que ça ne tombera pas sur nous. On ne veut pas voir le mal qui est profondément ancré dans la cité, puisque l’on sait que par sa propre inaction quotidienne, on en porte la responsabilité.

Nos élus, ceux qui dirigent la cité aujourd’hui, auraient sans doute pour la plupart terminé sous la guillotine il y a quelques siècles, ou dans des oubliettes, tant ces gens sont dans des rôles qui ne leur correspondent absolument pas. Ils n’ont accompli ni prouesses, ni actes héroïques. Ils n’ont pas sauvé des enfants de la noyade, ni fait la guerre pour protéger leur peuple, ni même inventé un vaccin, ou le remède contre une maladie, ou encore la façon de produire de l’électricité moins chère pour leurs citoyens.

Non, ils sont là parce que des chargés de communication doublés d’influents lobbys (il y en a pour tous les goûts, de la défense des nains poilus et homosexuels non binaires à celle des femmes contre le patriarcat et pour la castration des hommes, blancs de préférence) et de journalistes eux mêmes esclaves de ces lobbys, les ont fait roi. On donne au peuple l’illusion d’élire – une illusion qui tient de moins en moins vu le taux d’abstention.

Certains élus osent même la provocation en instaurant des « démocraties participatives locales » (« Votez pour mon projet consistant à récolter l’eau de pluie pour que les grenouilles sautent dedans ». « Votez pour mon projet consistant à tisser des dreads locks le samedi soir pour faire des balais écologiques »…)

La nausée, encore la nausée, et puis la rage.

Ces gens sont en train de fabriquer de la haine à revendre chez un peuple qui n’a pas le droit à la parole. Qui doit se taire, consommer, et éventuellement s’engager pour une des causes que le système lui propose si il est un petit peu jeune, pseudo rebelle, ou pire encore, un boomer, c’est à dire celui qui guide, transforme et encourage les zombies. Agissez pour le climat ! Nous disent-ils, tout en encourageant la surpopulation mondiale et les déplacements de masse à travers le monde. Tout en fermant des centrales nucléaires, pourtant l’industrie la moins polluante (d’autant plus que tous les espoirs sont permis concernant le traitement des déchets) et en encourageant des modes de fonctionnement (voiture électrique) dont l’impact environnemental pourrait s’avérer désastreux…

Des déplacements de masse dans le monde qui conduisent, couplés à l’abrutissement généralisé permis par la télévision de masse et l’abandon de nos enfants par l’Education nationale, nouvelle fabrique de crétins lobotomisés, à une société de plus en plus violente, de plus en plus anarchique.

La moindre petite frappe estime aujourd’hui avoir « le droit à » et les plus violentes de ces petites frappes, élevés sans le moindre recul aux jeux vidéos et aux films violents et ne connaissant le mot médiathèque au mieux que parce qu’ils l’ont incendiée la veille, se comportent alors comme les soudards du Moyen-Age. Sauf qu’à l’époque, les soudards ne trouvaient pas d’avocats, d’associations, et même d’élus, pour aller pleurer parce qu’ils s’étaient fait dessoudés par des paysans exaspérés, ou par un seigneur conscient de son devoir de protection de sa population.

Mais regardez les, ces espèces de zombies, manifester pour tout, sauf, pour l’essentiel, et en plus avoir l’impression qu’ils vont changer le monde. Ils sont déjà morts, mais ils ne le savent pas encore.

Ils œuvrent d’ailleurs déjà pour leur disparition, eux qui veulent donner aux animaux les mêmes « droits » qu’aux hommes (il faudra tout de même en finir avec le patriarcat des boucs et des béliers, qui ne sont pas vraiment respectueux des chèvres et des brebis en chaleur), eux qui, appellent à ne plus faire d’enfants pour sauver la planète alors que les Blancs qu’ils sont ne constituent pas une menace en terme de surpopulation. Eux qui applaudissent des deux mains et qui ouvrent grand la bouche quand d’autres ethnies ont décidé « pour se venger du colonialisme » de leur uriner dessus.

Ils veulent mourir, ceux qui invitent à transformer petit à petit l’homme en femme, ou plutôt à « indifférencier » les sexes (gender) et les races (par le métissage) pour faire au final une armée de zombies, sans couilles, sans identité, sans origine, armée prête à servir les intérêts d’une petite caste qui elle, aura su se protéger des lubies qu’elle aura implantées ou laisser implanter dans la tête de la population.

Nos sociétés occidentales sont des asiles à ciel ouvert, des grandes décharges dans laquelle les imbéciles heureux sont destinés à mourir en zombies, tandis que les personnes conscientes à minima de la profonde transformation qui s’opère sont condamnées à être pestiférées, traquées, et pourquoi pas dans une prochaine étape, éliminées ou tout du moins totalement mises de côté ( les lynchages médiatiques, les morts professionnelles, les mises au ban politique, existent déjà aujourd’hui et sont amenés à s’accroître).

Ils veulent mourir, alors finalement, à quoi bon vouloir les sauver ? Et si le Coronavirus n’était finalement qu’un remède offert par la Chine pour guérir l’Occident malade ? Après tout, les moins de 39 ans sont statistiquement moins exposés… Ok Boomer ?

Julien Dir

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Photo : DR
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