La justice tyrannique a tendance à s’étendre en France, les différentes affaires judiciaires du moment le montrent. A Rennes, un jeune militant de l’Oriflamme, mouvement nationaliste, a été condamné à quatre mois de prison ferme.
Son « crime » ? Avoir déployé une banderole à l’occasion d’une manifestation non déclarée afin de s’opposer à un atelier lecture, par des drag queens, dans une bibliothèque où se trouvaient des enfants.
Le prévenu a également écopé de 500 euros d’amende et devra verser 800 euros à chacune des trois parties civiles, c’est à dire..les trois drag-queens qui se sont estimées violentées par la simple présence d’une contre manifestation. Lunaire.
Le tribunal l’a reconnu coupable d’organisation d’une manifestation non déclarée, de provocation à la haine en raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre, mais l’a relaxé du chef d’injure publique. Il n’a pas eu de mandat de dépôt et devrait faire appel d’une condamnation qui étonne, notamment lorsque l’on sait que tous les jours, à Rennes, des individus, dont des migrants, sont remis en liberté après des faits de délinquance réelle, du vol au trafic de drogue, en passant par des agressions en tout genre.
Le 13 mai, une vingtaine de membres de « L’Oriflamme Rennes », avaient manifesté devant la médiathèque de Saint-Senoux (Ille-et-Vilaine) avec banderole et fumigène. La mairie y organisait une lecture par trois artistes drag queens – habillés respectivement en robot, princesse et escargot –, destinée à des enfants de trois à six ans.
Protéger ses enfants est en passe de devenir un crime en République français. A bon entendeur.
Ah mais on est en France, n’est-ce pas. Si on ne veut pas d’ennuis avec la justice, il faut proposer le viol de sa fille, certainement pas déployer une banderole et “perturber” une lecture de drag-queens. https://t.co/FfqBBnLrMb
— Laurent Obertone (@LaurentObertone) October 10, 2023
Une cagnotte pour la famille du prévenu a été mise en place ici face aux difficultés financières qu’elle va rencontrer du fait de la condamnation.
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2 réponses à “Tyrannie judiciaire à Rennes. 4 mois de prison ferme…pour s’être opposé pacifiquement à un atelier Drag Queens pour enfants”
La cagnotte est-elle déjà censurée ou le lien est-il mort ?
Une fois de plus des juges s’illustrent par un comportement et une décision dignes des pire déviances dogmatiques . Cette caste issue des loges de toutes obédiences ne devrait pas sous-estimer le principe du retour de bâton qui sera inévitable et salutaire .