Une nouvelle enquête d’opinion nationale a révélé que près d’un citoyen finlandais sur deux souhaiterait que le pays suspende l’accueil de tous les réfugiés et demandeurs d’asile, ce qui montre clairement un ras le bol y compris pour l’immigration dite humanitaire.
L’enquête, réalisée par l’agence d’études de marché Taloustutkimus pour le compte du groupe de réflexion finlandais Suomen Perusta Foundation, a montré que 46 % des Finlandais soutiennent une politique qui mettrait fin à la réinstallation des demandeurs d’asile en Finlande et souhaiteraient plutôt apporter un soutien aux demandeurs d’asile dans les camps de réfugiés à l’étranger.
Il a été demandé aux personnes interrogées si elles étaient favorables ou opposées à l’idée suivante : La Finlande cesse d’accepter les demandeurs d’asile et les réfugiés des quotas et alloue les fonds libérés pour aider les réfugiés dans les camps de réfugiés en dehors de la Finlande. 46 % des personnes interrogées étaient favorables à cette idée, 41 % s’y opposaient et 13 % étaient indécises ou n’ont pas souhaité donner leur avis.
Comme c’est toujours le cas dans les sondages portant sur des questions brûlantes telles que la migration, une nette différence de sentiment a été observée entre les électeurs finlandais de centre-droit et les électeurs de gauche.
Parmi les personnes interrogées qui se sont identifiées comme des partisans du parti national-conservateur finlandais (Perussuomalaiset), 84 % soutiennent l’idée de cesser complètement l’accueil des demandeurs d’asile. Par ailleurs, 59% et 55% des partisans du Parti de la coalition nationale de centre-droit (Kokoomus) et des démocrates-chrétiens, respectivement, soutiennent également cette idée.
La moitié des électeurs du parti libéral-agraire Center Party et 43 % des partisans du parti centriste Movement Now approuve l’idée. Les électeurs de gauche sont, sans surprise, moins enthousiastes, avec 36 % des sociaux-démocrates, 27 % des électeurs du Parti populaire suédois, 22 % des Verts et 21 % des électeurs de l’Alliance de gauche qui soutiennent l’idée.
S’adressant au journal The European Conservative, Simo Grönroos, directeur de Suomen Perusta, a fait la lumière sur les facteurs culturels et économiques sous-jacents qui contribuent au sentiment généralisé exprimé dans l’enquête. Pour Simo Grönroos, le lien entre l’immigration et l’érosion du système éducatif finlandais, du système de protection sociale, de la confiance sociale élevée et de la société à faible criminalité est central.
« Traditionnellement, la Finlande est l’un des pays les plus sûrs au monde. Le politologue et sociologue américain Robert Putnam s’est rendu en Finlande pendant la crise migratoire de 2015 et a prédit que la confiance sociale élevée en Finlande – rendue possible par l’homogénéité culturelle et l’inégalité des revenus – diminuerait à l’avenir en raison de l’immigration. Malheureusement, les prédictions de M. Putnam se sont avérées exactes et les problèmes liés à l’immigration se sont aggravés d’année en année »
Selon M. Grönroos, la presse finlandaise n’a commencé que récemment à parler de la violence des gangs liée à l’immigration dans les grandes villes, parce que le problème est devenu trop répandu pour être caché. Toutefois, le problème croissant ne se limite plus aux villes.
Le nombre élevé de crimes sexuels liés aux immigrants est bien documenté par les autorités finlandaises. Les problèmes se concentrent dans les villes où il y a beaucoup d’immigrés mais, par exemple, cette semaine, un enfant de 13 ans a été violé à l’école en pleine journée dans une petite communauté de Laponie et même la presse grand public a rapporté que l’accusé était un immigré qui avait quelques années de plus que la victime – les problèmes ne se posent donc plus seulement dans les villes.
L’immigration affecte également les systèmes d’éducation et de protection sociale en Finlande, comme ailleurs en Europe. Selon lui, l’immigration accroît la pression sur les contribuables et les finances publiques, car les immigrés ont tendance à utiliser plus de services publics qu’ils n’en financent par leurs contributions fiscales.
“À l’instar de la sécurité et de la confiance sociale dont nous étions fiers, la Finlande était également fière de son système éducatif. Nous avons souvent été parmi les meilleurs au monde dans les scores internationaux Pisa qui classent les systèmes éducatifs des différents pays“, a déclaré M. Grönroos. “Ce score a baissé d’année en année, et il y a tout juste une semaine, les derniers chiffres ont été publiés et ils ont à nouveau chuté, et le nombre croissant d’enfants d’immigrés est bien sûr l’une des raisons de ce phénomène, mais pas la seule.
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7 réponses à “Finlande. Près de la moitié des Finlandais interrogés veulent mettre un terme à l’immigration humanitaire”
Pauvres Finlandais, ils n’ont pas fini d’en baver maintenant qu’ils intègrent L’OTAN !
amusant de voir des européens découvrant le niveau social des cannibales qu’ils acceuillent !😆
Ils n’ont que ce qu’ils méritent. Fallait pas ouvrir les vannes… Et c’est valable pour tous les pays d’Europe, en particulier la France. Bref, il est trop tard pour pleurnicher. Quant à renverser la vapeur, cela ne va pas être facile, sinon même, à mon sens, totalement impossible.
La seule solution, utiliser les mêmes techniques qu’ils appliqués pour dégager les blancs des quartiers.
Leur pourrir la vie jusqu’à qu’ils dégagent.
Et au prochain acte anti blanc il faut arriver en nombre et déterminer.
Trois jours après l’assassinat de Thomas un algérien irrégulier multi récidiviste sous OQTF a agressé une personne au couteau à un arrêt de tramway a Brest ou sont les Brestois ? Il ne faut rien attendre d’eux , ça fait des années qu’ils votent pour les collabos de envahissement les personnes qui sont atteint par la gauchiase.
Le populisme, le nationalisme et le régionalisme va devoir prendre les choses en main . Ce sera une guerre d’indépendance.
Moins une société est homogène , plus elle est dangereuse et nous en sommes là .
L’huile et l’eau ne se mélange pas .
Je suis sidéré de voir tous ces peuples occidentaux ouvrir maintenant les yeux après des décennies d’aveuglement. Est-ce trop tardivement ? Prions que non .