Il est temps de parler franchement. De parler futur. De parler rupture. De parler robocalypse — non pas au sens d’une apocalypse mécanique qui viendrait broyer l’humanité, mais au contraire comme de l’espérance technologique qui sauvera l’Europe et sa jeunesse de la soumission, du labeur stérile, de l’invasion migratoire et de l’hébétude socialo-humanitaire.
La robotisation est là. Inéluctable. Irréversible. Mais loin d’être une menace, c’est la plus formidable opportunité de renaissance pour nos peuples fatigués. La machine ne sera pas notre ennemie. Elle sera notre glaive, notre bras armé contre l’immigrationnisme, la baisse du niveau de vie, l’esclavagisme salarial et le grand remplacement de notre civilisation.
La productivité sans chaînes
Quand une entreprise remplace dix manœuvres par un bras articulé, ce n’est pas une perte d’emplois. C’est une libération. Le robot, lui, ne revendique rien. Il agit. Il bosse, infatigablement, 24 heures sur 24, sans accident du travail ni syndicat à la CGT.
Et que produit-il ? Plus. Mieux. Plus vite. À coût moindre. Résultat : baisse des prix, hausse des marges, hausse des salaires pour ceux qui conçoivent, qui programment, qui supervisent. Bref : l’Europe redevient compétitive. Pas contre le Bangladesh ou l’Érythrée — mais contre la décadence interne qui la ronge depuis cinquante ans.
Pendant des décennies, les élites économiques — les mêmes qui pleurnichent à Davos ou à Matignon — nous ont vendu cette imposture : « sans immigration, l’économie s’effondre ». Le mythe du médecin syrien, du plombier polonais, de la nounou nigériane et du ramasseur de fraises bangladais. Mais la vérité, la voilà : l’immigration de masse n’a jamais été qu’un carburant bon marché pour une économie qui refusait de moderniser ses process. L’uberisation des métiers précaires est le cache-misère de la paresse patronale et du cynisme étatique.
Mais demain ? Demain, les fraises seront cueillies par des bras robots. Demain, le nettoyage sera automatisé. Les chaînes de montage, pilotées par des techniciens qualifiés, sans besoin d’une main d’œuvre analphabète et corvéable à merci. Demain, plus besoin d’ouvrir les frontières : la machine les fermera d’elle-même.
Le retour du travail digne
Car la robotisation, contrairement aux pleurnicheries des marxistes recyclés en écologistes, n’abaisse pas l’homme. Elle le hisse. Elle le libère des tâches ingrates, du travail harassant, des postures brise-reins dans des entrepôts chauffés à 40°C. Elle permet à l’Européen — au Français, au Breton, au jeune de Brest ou de Vitré — de se former, d’apprendre, de monter en compétences. D’inventer. De réparer. De créer.
Le nouveau prolétariat ne sera pas celui des dockers en sueur ou des plongeurs de cuisine…puisqu’il n y aura plus de prolétariat. Les exploités d’aujourd’hui deviendront demain des opérateurs de systèmes, des gestionnaires de lignes, des architectes de flux logistiques. La machine pousse l’homme vers le haut, à condition que l’homme le veuille. Et les râleurs de gauche ? Qu’ils hurlent. Ils s’accrochent à leur rêve tiers-mondiste comme à une bouée dans une mer de silicium. Leur humanisme pathologique sera balayé par la froide logique des puces et des algorithmes.
Oui, la société robotisée sera plus fermée. Et tant mieux. Moins de flux, plus de cohésion. Moins de migrations, plus d’enracinement. Moins de tension ethnique, plus de paix sociale. Car toute immigration massive crée du désordre : culturel, identitaire, économique. Le robot, lui, n’a pas de culture. Il parle le langage du code, pas celui du ressentiment colonial.
Imaginez un pays où les flux migratoires sont ramenés à zéro. Où la population locale vit de ses compétences et de sa production et non de ses aides. Où les salaires montent parce que la rareté des travailleurs les rend précieux. Où les charges sociales baissent car les caisses ne sont plus siphonnées par des ayants-droit venus de l’autre bout du monde.
Un choix de civilisation
Nous avons deux chemins devant nous. L’un, celui de l’utopie gauchiste, mène à une société de métissage forcé, d’effondrement technologique, de conflits ethniques, d’exploitation sociale, d’ubérisation, et de décroissance imposée. L’autre, celui de la robotisation assumée, nous conduit vers une renaissance : une Europe technocentrée, autosuffisante, disciplinée, redressée.
Choisissons la robotisation. Non par fascination aveugle pour les machines, mais par intelligence politique. Pour que nos enfants naissent dans des sociétés où l’on travaille avec sa tête, et non à la chaîne. Où l’on progresse, plutôt que l’on régresse. Où l’on vit libre, sans avoir besoin de se plier à des normes culturelles importées sous prétexte de pénurie de bras.
La machine est là. Elle n’attend que notre courage pour faire ce que nos dirigeants refusent : fermer les frontières, revaloriser le travail digne (pas celui des exploiteurs), et faire renaître notre civilisation.
Julien Dir
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