Dans une vidéo récemment diffusée, le Dr Paul Marik, médecin réputé et ancien chef de service en soins intensifs, remet en question les fondements mêmes de notre approche médicale du cancer. Un regard à contre-courant, à la fois rigoureux et dérangeant, qui invite à sortir des sentiers battus de l’oncologie conventionnelle.
Ancien professeur à l’université de médecine de Virginie-Est (Eastern Virginia Medical School), le Dr Paul Marik est loin d’être un marginal dans le monde médical. Fort de décennies d’expérience hospitalière, il livre ici une analyse critique du modèle dominant dans la lutte contre le cancer, qu’il juge trop focalisé sur des traitements agressifs — en particulier la chimiothérapie — et aveugle à certaines réalités biologiques fondamentales.
Les cellules souches cancéreuses : l’ennemi oublié
Selon lui, l’un des grands oublis de la cancérologie contemporaine réside dans le rôle central des cellules souches cancéreuses, ces cellules-mères résistantes qui alimentent les récidives. Trop souvent, explique-t-il, la chimiothérapie échoue à cibler ces cellules précisément, se contentant d’attaquer les formes les plus différenciées et donc les plus vulnérables — au prix d’un affaiblissement considérable du système immunitaire.
Le Dr Marik ne prône pas le rejet des traitements conventionnels. Il appelle à une réflexion ouverte, débarrassée des dogmes et des intérêts financiers qui conditionneraient, selon lui, la recherche médicale actuelle. Pour lui, le cancer n’est pas une simple prolifération anarchique de cellules : c’est un déséquilibre complexe, multifactoriel, qui nécessite une approche intégrée et nuancée.
Curcuma, vitamine D, thé vert, ivermectine… Autant de substances naturelles ou controversées, marginalisées dans les circuits officiels, mais dont les propriétés anticancéreuses sont soutenues par une littérature scientifique qu’il invite à considérer sérieusement. Ce n’est pas un appel à la médecine parallèle, mais un plaidoyer pour l’objectivité scientifiqueet l’exploration sans tabou des solutions thérapeutiques.
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3 réponses à “Santé. Et si l’on repensait le cancer ? Le Dr Paul Marik dénonce les angles morts de l’oncologie moderne”
Intéressant
« Quel que soit le père de la maladie, une mauvaise alimentation en est la mère » Voilà le déséquilibre multifactoriel dénoncé dans l’article ! Mais ce « grand » professeur se contente, en bon tenant de la médecine chimique, de s’attaquer aux symptômes en oubliant que « le terrain est tout, le microbe n’est rien » La maladie est une source inépuisable d’études et de finances pour toute l’industrie médicale, source qu’il ne faut surtout pas tarir.
Il y a 40 ans, un vétérinaire avait pensé le cancer autrement en essayant avec succès des thérapies de « revertance » pour reprogrammer les cellules malades au lieu de les détruire….j’avais assisté à une de ses conférences où il indiquait toutes les attaques dont il faisait l’objet…on lui demande pourquoi ? et sa réponse fut terrifiante : » parce que le cancer nourrit plus de monde qu’il n’ en détruit » !!