L’inoubliable CSPSP35, organisation rennaise qui organise des manifestations pour plus d’immigration dans les rues de Rennes était le 18 juin dernier, jour de commémoration de l’appel du Général de Gaulle à lutter contre l’envahisseur, à la gare de Rennes pour une manifestation pro-migrants intitulée comme telle : « contre les rafles massives dans les gares ferroviaires et routières » décidées par le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau. Le but de ces opérations étant de lutter timidement contre l’invasion migratoire et le Grand Remplacement.
Le compte-rendu de cette action publié sur les réseaux sociaux est éloquent (l’écriture inclusive est d’origine) :
« Tout d’abord l’action n’aurait pas pu avoir la même ampleur si nous n’avions pas été rejoint.es par des individu.es issu.es de divers horizons politiques (syndicats, partis, collectifs …). Nous nous sommes donc retrouvé à une 30aine.«
« Une trentaine de personnes », l’expression regroupe ici :
– Des individus
– Des syndicats (le S est mentionné)
– Des partis (le S est mentionné)
– Des collectifs (idem)
S’il y avait au moins 2 syndicat, deux partis et deux collectifs représentés à cette manifestation, plus les militants CSPSP, plus des « individu-e-s », cela fait une moyenne de 5 manifestants par entité en considérant que le terme « trentaine » désigne, fourchette haute, 39 personnes.
La Gauche se targue de « tenir la rue », apparemment, la mobilisation est à l’image des effectifs actuels des partis du camp du bien.
Après cela, les militants pro-immigration ont goûté à la terrible violence policière systémique d’essence fasciste qui gangrène ce pays :
« Nous nous sommes regroupés devant la gare afin de se rappeler ensemble les modalités de l’action et notamment se mettre d’accord sur le fait d’entrer dans le hall. Avant même que nous ne nous décidions à nous diriger vers la gare, 4 policiers en civil sont venus vers nous pour nous demander si nous étions là pour « la manif des migrants » et « à quelle heure nous partirons ». Après leur avoir répondu que nous étions là pour dénoncer la chasse aux étrangers organisée par la police et que nous n’étions pas pressés, nous nous sommes rendu.es dans le hall du bas où nous avons déployé la banderole, affiché des copies de l’article de presse et distribué des tracts pour la manif du 28 juin.
Nous avons échangé avec les usagés sur l’organisation de cette rafle nationale « en lien avec les services de la SNCF ». Puis afin d’informer le plus grand nombre de personnes possibles et n’ayant pas accès au micro d’information de la gare, une camarade s’est chargée de diffuser l’information par mégaphone. Patientes jusque-là « les Forces de sécurité intérieure (FSI) » sont intervenues pour nous faire sortir.
Après avoir un peu tracté sur le parvis, des camarades ont proposé de nous diriger vers la gare routière où nous avons continué à discuter avec les voyageureuses pendant quelques minutes avant que nous ne nous dispersions. »
Pourtant, les militants de Gauche décrivent une Bretagne et une France où la « police tue », « protège les fachos » et « pourchasse les antifas et les immigrés » afin de les « parquer dans des camps ». A la gare ce 18 juin, ce n’est visiblement pas ce qui s’est passé.
La Gauche en ferait-elle des tonnes afin qu’on s’intéresse un peu à elle ?
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Une réponse à “Rennes : manifestation pro-migrants à la gare”
30 couillons qui hélas n’ont pas été agressés volé ou violée par cette diversité qu’ils adorent .
Curieusement, on ne les entends pas quand .
Une femme se fait agressé par un africain