Un événement historique s’est joué à l’Hippodrome de la capitale croate, ignoré ou méprisé, ou pire, diabolisé par les élites occidentales : plus de 500 000 personnes ont assisté au plus grand concert payant jamais organisé en Europe, celui de Marko Perković, dit Thompson, chanteur croate patriote adulé dans les Balkans et diabolisé ailleurs.
Une marée humaine pour un artiste enraciné
Ils étaient des centaines de milliers. Jeunes et vieux, familles entières, anciens combattants et enfants en chemises blanches : tout un peuple réuni autour d’un homme, d’une voix, d’un message. Thompson, 58 ans, ancien soldat de la guerre d’indépendance croate, devenu figure musicale et spirituelle, a livré à Zagreb un concert d’anthologie mêlant rock, symphonic metal, prières et drapeaux croates flottants.
Alors que les médias occidentaux dégainent sans réfléchir les qualificatifs de « néo-nazi » ou de « fasciste » à son sujet, le peuple croate, lui, ne s’y trompe pas. Il ne vient pas acclamer la haine, mais la mémoire. Il ne célèbre pas un agitateur, mais un homme qui chante l’Histoire, les racines, la foi et la famille. Et cela suffit à faire hurler les salons parisiens.
Une logistique d’État pour un peuple debout
À l’image de l’événement, l’organisation fut titanesque : 14 000 agents mobilisés, 6 000 policiers, un centre de secours de 400 lits, et des dizaines d’ambulances mobilisées. L’Hippodrome de Zagreb transformé en forteresse pacifique, sécurisée et vibrante, où 504 000 billets furent écoulés – un record mondial. Même le Maracanã de McCartney ou les stades de Tina Turner n’avaient jamais vu cela.
Sur scène : une production digne des plus grandes cérémonies mondiales. 2 150 m² de LED, une scène de 133 mètres, 700 enceintes réparties pour un son parfait jusqu’au dernier rang. Et pour couronner le tout, un show de 1 000 drones dessinant dans le ciel nocturne la Vierge, le blason croate, des croix, des anges, des soldats tombés. Le tout au rythme des chansons les plus emblématiques de Thompson, de Bojna Čavoglave à Lijepa li si.
La presse bien-pensante, notamment française, n’a évidemment pas manqué de recracher ses réflexes pavloviens : « extrême droite », « nostalgie oustachie », « dérive fascisante ». Et pourtant, jamais elle ne s’émeut lorsqu’un rappeur crache sur la France ou qu’un chanteur islamo-révolutionnaire appelle au djihad en Palestine. Ou quand les festivals français multiplient les rappeurs Borborygme sur les estrades, abrutissant toujours un peu plus une partie de la jeunesse.
Là où Thompson parle d’amour filial, de fidélité à la terre natale, de combat pour la liberté, ses détracteurs ne voient que le spectre de la haine. Mais il suffit de lire les paroles, de voir l’homme s’adresser à son fils en larmes avant d’interpréter Sine moj, pour comprendre que ce qui se joue ici dépasse la caricature.
Le salut controversé « Za dom spremni » ? Diabolisé en France, il est en réalité bien antérieur à la Seconde Guerre mondiale et figure dans la tradition croate depuis des siècles. La mémoire croate n’a pas à s’effacer parce qu’elle dérange les obsédés de l’antifascisme hors-sol.
Une gifle au mondialisme culturel
Marko Perković n’est pas un produit calibré des majors. Il ne chante ni pour Spotify ni pour les festivals LGBT subventionnés. Il chante pour un peuple. Et c’est précisément ce que l’Occident médiatique ne tolère plus : un Européen fier, catholique, enraciné, qui parle de la nation sans rougir, qui pleure ses morts et exhorte sa jeunesse à « reprendre la Croatie en main ».
C’est un anti-Star Académy, un anti-Eurovision, un cri vivant dans une Europe endormie. Et s’il réveille les consciences croates, il réveille aussi nos lâchetés à l’Ouest. Car voir un demi-million de personnes chanter leur foi, leur langue, leur terre, sans se flageller, sans se soumettre, sans avoir honte de leur passé… cela, pour les donneurs de leçons de Bruxelles à Paris, c’est insupportable.
« Vous êtes meilleurs que nous, plus forts, plus dignes. Reprenez la Croatie et faites-en un rêve vivant », a lancé Thompson aux jeunes à la fin du concert. Ce n’est pas un appel à la haine, c’est un testament patriotique. Une passation de mémoire entre générations, comme la France n’ose plus en faire. Chez nous, les idoles enseignent la haine de soi. Là-bas, elles rappellent que la liberté s’arrache, que la terre se défend, et que les morts ont un nom.
Le concert de Marko Perković Thompson restera comme un événement mondial ignoré par les médias occidentaux, car il détonne avec le discours dominant. Il célèbre ce qu’ils veulent voir disparaître : la foi, la famille, le peuple, la nation. À Zagreb, il y avait un peuple vivant. À Paris, il ne reste souvent qu’une intelligentsia morte.
Les Croates ont Marko Perković, les Français ont Maitre Gims, Nekfeu et Jul. A chacun sa civilisation et son avenir.
Et ce contraste, plus encore que la musique, est peut-être ce que ce concert a le mieux révélé.
YV
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Une réponse à “Croatie. Marko Perković Thompson donne un concert historique à Zagreb : un demi-million de spectateurs pour la patrie, la foi et la mémoire [Vidéo du concert intégral]”
Il chante comment les Serbes sont égorgés dans les boucheries et leurs corps sont jetés dans la rivière. Quelle perversion que l’UE et le monde ne réagissent pas ! Les Croates ont dirigé l’un des camps de concentration les plus brutaux de la Seconde Guerre mondiale pour les Serbes, les Juifs et les Roms. Et pour les enfants.