Alors qu’un touriste américain était violemment poignardé au cou par trois jeunes d’origine maghrébine dans le Milanais et qu’une femme subissait un viol particulièrement brutal par deux Marocains de 19 et 39 ans à Rovigo, FS security publiait des données faisant état d’une importante surreprésentation des étrangers dans les agressions à bord des trains et dans les gares d’Italie.
FS security, la branche entièrement dédiée à la sécurité des trains, des gares, des employés de la compagnie nationale des chemins de fer italienne, a enregistré, du 1er janvier au 5 juillet 2025, plus d’une agression par jour dans le secteur ferroviaire. Et les données confirment « le ressenti » d’un nombre toujours croissant de personnes :
sur les 154 auteurs d’agression arrêtés par les forces de l’ordre, 122 sont étrangers (79%) et 32 ont la nationalité italienne (21%). Les citoyens italiens, de souche ou d’origine immigrée représentent 91% de la population résidant dans la péninsule, quand les étrangers sont 9% de la population. La propension des étrangers à commettre des agressions y est donc 38,6 fois supérieure à celle des Italiens (de souche ou d’origine immigrée), au regard de leur poids dans la population.
Durant la même période, 135 agressions aux opérateurs ferroviaires ont été recensées : 68 étrangers et 18 Italiens ont été identifiés, tandis que 49 responsables restent inconnus ou introuvables. Pour les 132 voyageurs impliqués dans des rixes ou des saccages, 54 étrangers et 14 Italiens ont été arrêtés.
L’argument fallacieux selon lequel le nombre considérablement plus élevé d’étrangers appréhendés par les forces de l’ordre serait dû à un contrôle plus fréquent ou un délit de faciès est réfuté par les autorités. C’est même plutôt l’inverse qui est vrai : le fait que de nombreux agresseurs ayant pénétré le territoire clandestinement soient sans papier ou adresse identifiable, leur confère l’anonymat et donc une certaine impunité.
Un contrôleur poignardé à la gare de Gênes ©Corriere di Roma
Une impunité qui atteint des sommets en matière de règlement des titres de transport. Une donnée difficilement quantifiable tant les contrôleurs renoncent à verbaliser ou à faire descendre du train les fraudeurs, par crainte d’être agressés mais également parce qu’ils savent que la démarche est vaine : les amendes pour absence de titre de transport sont très rarement payées, et ont très peu de probabilité de l’être lorsqu’il s’agit de clandestins.
Face à cette injustice qui croit proportionnellement aux entrées irrégulières, des citoyens s’arment de courage et commencent à réagir. Dans la vidéo ci-dessous, un homme est venu en aide à une jeune contrôleuse de train qui venait de se faire cracher dessus par un fraudeur. Des images qui peuvent paraître anodines, mais qui se multiplient dans toute la péninsule.
Le métier de contrôleur de train consistant à vérifier les titres de transport des voyageurs, mais aussi à assurer leur sécurité à bord des trains et sur les quais attire de moins en moins les femmes et est en passe de se masculiniser. Étonnamment, la parité tant recherchée par les féministes ne suscite pas beaucoup de controverse dans ce secteur, où le silence semble de mise.
On se demande bien pourquoi.
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : capture MilanoToday
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Une réponse à “Agressions dans les trains : 79 % des auteurs identifiés en Italie sont étrangers”
Tant qu’il ne sera pas mis fin définitivement a l’arrivage massif d’immigrés par ces ONG trafiquante d’êtres humain par une saisi des navires et un emprisonnement des équipages, cela continuera.