Les exemples de multirécidivistes et autres sujets dangereux capturés par les forces de l’ordre et immédiatement relâchés par les magistrats pullulent en France. Ce que l’on sait moins, c’est qu’en Italie aussi les affaires de ce genre se multiplient. Et il faudra les réseaux sociaux pour lever le voile sur ces injustices crasses qui mettent la vie des honnêtes gens et de leurs enfants en danger. Illustration par quelques « faits-divers » qui ont eu lieu ces dernières semaines dans la péninsule.
À Foggia, chef-lieu de la région des Pouilles, un migrant d’origine africaine a sauvagement et sans motif apparent agressé une jeune femme dans la rue. Capturé par les forces de l’ordre, il était, quelques heures seulement après les faits, aperçu de nouveau en ville. La sœur de la victime, écrit un message sur Instagram avec la photo de l’agresseur, qui est vite relayé :
« Ce matin, cet être a attaqué ma sœur en la tabassant et en la frappant à plusieurs reprises sur la tête, la jetant au sol. Les coups ont généré des vomissements, elle est aux urgences en attente d’un scanner, elle accuse des douleurs et a une perte de vue, tandis que lui, bien qu’il ait été arrêté, est déjà libre, en train de se promener. Il traîne autour de la Viale Ofanto. Puisque la justice ne nous protège pas, essayons au moins d’être prudents . »
La victime raconte quant à elle avoir subi une double agression :
« La première physique et psychologique, la seconde est une véritable farce. Après des heures aux urgences, j’ai été contactée par la police, qui m’a demandé de supprimer ou de rectifier les messages concernant mon agression parce qu’ils avaient déjà arrêté le sujet (…) Je n’ai pas hésité à le faire. Mais c’était une erreur. Dix minutes plus tard, j’ai commencé à recevoir des signalements et des photos de cet individu déjà remis en liberté. Quelques heures après l’agression ce sujet était à nouveau en bas de chez moi ! Comment puis-je dormir sereine ? Comment puis-je sortir à nouveau sans la peur d’être agressée sans raison ? Comment puis-je faire confiance à la loi ? Quelqu’un doit-il mourir pour qu’on fasse quelque chose ? »
Mais la photo du migrant avait déjà fait le tour du net et des habitants mettaient sa tête à prix. Plusieurs d’entre eux le chercheront activement et il sera retrouvé par un groupe de jeunes qui le malmènent en filmant l’agression au son de « ça te plaît de frapper les femmes ? »
À Côme, dans l’après-midi du 14 juillet, une jeune fille était tabassée dans la rue par un clandestin égyptien de 21 ans, lui aussi avec de nombreux antécédents judiciaires : pendant la perquisition, 2.340 euros en espèces et quelques doses de cocaïne et de haschisch seront trouvés sur lui. Les parents de la jeune fille portent plainte, mais il est à ce jour toujours en liberté.
Seule une mobilisation active des citoyens semble pouvoir endiguer quelque peu l’impunité dont ces délinquants jouissent. C’est ce qui s’est passé à Ravenne, où, le 16 juillet, un adolescent de 17 ans, intervenu pour protéger sa sœur de 15 ans face à deux mineurs tunisiens qui l’importunaient était poignardé par l’un d’entre eux. Comme dans le cas précédent, la victime aura passé plus de temps aux urgences que l’auteur du coup de couteau n’en aura passé aux arrêts. Le père des deux adolescents se filme en voiture en train de chercher l’agresseur et adresse un message aux magistrats :
« Je suis le père de Lorenzo Patrizi qui a été agressé hier dans le centre de Ravenne avec un coup de couteau. La question que je pose au juge des mineurs est la suivante : comment ce délinquant, qui avait poignardé quelqu’un la veille d’agresser mon fils a pu être encore en liberté et commettre le même délit le jour suivant ? Un délinquant qui a déjà plusieurs antécédents pénaux.
Comme la sécurité de mes enfants n’est pas garantie par ce système dégueulasse, la chasse à l’homme a commencé. »
Le samedi suivant 19 juillet, il réunit 300 personnes – calmes mais déterminées – dans le centre-ville pour dénoncer l’insécurité et l’inertie des institutions. Des moments de tensions ont lieu quand des antifas ont commencé à insulter les manifestants, essentiellement des parents inquiets et sans étiquette politique. Lorenzo Patrizi s’adresse encore aux magistrats et aux forces de l’ordre, multiplie les interventions dans les médias partout ou cela est possible.
Quelques jours plus tard, face à la mobilisation populaire et à la pugnacité d’un père qui n’entend pas « laisser tomber », les autorités procèdent de nouveau à l’arrestation du Tunisien « connu des services de police ». Preuve qu’il est désormais indispensable de protester, de descendre dans la rue et de rendre virale sur la toile l’affaire dont on est victime.
On peut multiplier les faits de société de cette nature à l’infini. Les faits sont là, des individus particulièrement dangereux jouissent d’une impunité qui défie l’entendement.
Comme en France, les politiques sont impuissants, soumis qu’ils sont aux décisions de magistrats qui entendent gouverner à leur place. À tous les niveaux : nous venons de le voir avec le petit tout de passe pour annuler le non-lieu de Matteo Salvini expliqué ici, et dans les tentatives réitérés des juges romains qui n’ont de cesse d’invalider les mesures pour juguler l’immigration clandestine comme avec le plan Albanie.
L’arbitraire des juges est une plaie partout en Europe. Le dévoiement de la justice – qui protège les criminels et se fout des victimes – est désormais sous les yeux des citoyens qui ont pris conscience du problème et commencent à organiser eux-mêmes la sécurité dans les rues. Le danger est évidemment de passer du côté du tort.
Mais quand la vie de leurs enfants est en jeu, ont-ils encore le choix ?
Audrey D’Aguanno
4 réponses à “En Italie comme en France, des criminels sont remis en liberté quelques heures après de brutales agressions. Mais la mobilisation fonctionne”
En Italie comme en France la soi-disant justice est au service des coupables et se moque des victimes qui n’avaient pas à être au mauvais endroit au mauvais moment. L’envie de quitter l’Europe pour un pays aux valeurs chrétiennes traditionnelles afin de ne plus risquer de perdre la tête au coin d’une rue gagne du terrain comme les jeunes gens du récit prémonitoire troublant « les corps indécents ». Imaginez l’Europe, la France, dans 5 ans, dans 10 ans…. La déferlante migratoire extra-européenne est d’ores et déjà dévastatrice. Le pire est devant nous. Barrez-vous les jeunes !
D. Desainvinox, oui la tentation de quitter le navire France à toutes jambes peut être légitimement grande… mais après réflexion, je suis désormais convaincu qu’il nous revient d’être courageux jusqu’à la mort, et déterminés à défendre nos territoires là où la Providence nous a placé.
Fermes et droits dans la bataille en cours et à venir. Comme nos aïeux de tous temps. Voilà le meilleur exemple que nous puissions donner aux générations à venir.
Tôt ou tard un coup de fusil déclenchera la guerre civile. D’un coté les clandestins et leur soutien antifa et gauchistes de tout poils et de l’autre les français qui n’auront plus que le choix que de se défendre pour sauver leur peau. On pourrait croire que ça fait parti des plans de Macron et de sa bande d’incapables.
@Hadrien Lemur : Ce n’est pas uniquement en France qu’un coup de feu risque d’être tiré mais dans toute l’Europe ou les citoyens citoyennes n’étant pas sous l’influence des partis de gauche et d’extrêmes gauche en ont assez de l’immigration, des racailles, des politiques et des juges qui crachent ouvertement sur ce que l’on appel les autochtones.