Et si la Bretagne reprenait en main son destin ? Cette série de tribunes explore, pas à pas, ce que pourrait être une Bretagne autonome : une terre enracinée dans son histoire, dotée d’institutions propres, libérée du carcan administratif parisien. Loin des utopies irréalistes, il s’agit ici de propositions concrètes : identité, organisation communale, fiscalité, langue, éducation, économie, sécurité. Une réflexion militante et ouverte sur ce que serait une Bretagne autonome, démocratique et décentralisée.
Reprendre en main nos frontières
La Bretagne n’est pas une abstraction administrative : c’est une péninsule, une terre entourée par la mer, avec des frontières naturelles qui la rendent gouvernable et contrôlable. Une Bretagne autonome ne peut pas rester ouverte aux flux migratoires incontrôlés dictés par Paris ou Bruxelles.
Cela suppose :
- un contrôle strict de nos frontières maritimes et terrestres, avec une police et une garde-côtière bretonnes ;
- la capacité de dire qui a le droit de s’installer en Bretagne, qui ne l’a pas, et sous quelles conditions ;
- l’expulsion systématique des délinquants étrangers, sans appel ni tergiversation.
Une autonomie réelle ne peut exister si le peuple breton n’a pas la maîtrise de qui vit sur sa terre.
Drogues : guerre aux trafiquants, soin aux victimes
La drogue ronge la jeunesse bretonne, des quartiers de Brest aux campagnes du Morbihan. Cannabis, cocaïne, crack, héroïne : derrière chaque overdose, chaque bagarre de rue, chaque famille détruite, se cache un système mafieux qui prospère sur l’absence de volonté politique.
La Bretagne autonome doit mettre en place une politique implacable :
- Répression totale des trafiquants et dealers, avec des peines exemplaires et la confiscation immédiate de leurs biens. Pas de complaisance, pas d’« excuses sociales » : celui qui détruit nos enfants n’a pas sa place en Bretagne.
- Démantèlement des filières, avec une coopération maritime et douanière renforcée. Nos ports et nos routes ne doivent plus être les autoroutes de la drogue venues d’Espagne, des Pays-Bas ou d’Afrique de l’Ouest.
Mais la répression seule ne suffit pas. Une Bretagne autonome doit aussi comprendre pourquoi les jeunes tombent dans la consommation.
Une politique de prévention et de santé publique
Il ne suffit pas d’arrêter les trafiquants si l’on laisse prospérer la demande. La prévention doit être au cœur d’une politique autonome :
- programmes éducatifs chocs dès le collège sur les dangers réels des drogues, loin des discours minimisateurs actuels ;
- soutien massif aux associations locales qui accompagnent les familles et les toxicomanes ;
- centres de sevrage accessibles et efficaces, financés par les confiscations opérées sur les trafiquants ;
- recherche sur les causes sociales et psychologiques de la consommation : isolement, perte de repères, absence de perspectives communautaires, spirituelles…
La Bretagne autonome doit protéger sa jeunesse en l’éduquant, en lui donnant un horizon, et en coupant net l’accès aux substances qui la détruisent.
Une police bretonne, épaulée par des citoyens armés
Le maintien de l’ordre ne peut pas être laissé à une police nationale envoyée de Paris, souvent sans lien avec le terrain. Il faut une police bretonne, enracinée dans les communes, respectée parce que proche du peuple et intransigeante face aux fauteurs de trouble.
Mais surtout, cette police doit pouvoir compter sur le soutien quotidien des citoyens. Pourquoi la Bretagne ne reconnaîtrait-elle pas, dans sa constitution, un droit au port d’armes pour les citoyens formés, inspiré des modèles tchèque ou américain ?
Un tel amendement garantirait :
- la possibilité pour chaque Breton responsable de défendre sa famille, sa commune et son peuple ;
- la dissuasion immédiate face aux criminels et trafiquants ;
- une collaboration permanente entre police et citoyens, les seconds étant les relais des premiers.
Loin de créer le chaos, ce droit serait encadré par des formations, des règles claires, et réservé aux citoyens n’ayant aucun casier judiciaire. Ce serait un acte de confiance : la Bretagne fait le choix de faire confiance à son peuple plutôt qu’à un État centralisateur.
Il n’y a pas de liberté sans sécurité. Une Bretagne autonome qui veut être prospère et enracinée doit être capable de protéger son peuple, en contrôlant ses frontières, en éradiquant les trafics et en s’appuyant sur ses propres citoyens pour maintenir l’ordre.
Tolérance zéro pour les dealers et mafias, mais aussi reconnaissance du droit du peuple à se défendre lui-même, en appui d’une police bretonne enracinée.
Car la véritable autonomie n’est pas seulement institutionnelle ou fiscale : elle est aussi civile, morale et populaire. Une Bretagne libre doit être une Bretagne sûre – et armée si nécessaire – pour protéger ses enfants et son avenir.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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