TF1 s’intéresse à la violence des gangs qui explose à Rennes

Rennes, capitale administrative de la Bretagne, ville reconnue autrefois pour son dynamisme étudiant et sa tranquillité, voit aujourd’hui son image ternie par une montée inquiétante de la violence liée aux gangs et au trafic de drogue. En ce mois d’octobre 2024, TF1 a décidé de s’intéresser de près à cette situation alarmante, marquée par une série de règlements de compte sanglants qui ont secoué la capitale bretonne. Entre mars et octobre 2024, pas moins d’une dizaine de fusillades, souvent en plein centre-ville, ont été recensées, toutes liées à des trafics de stupéfiants.

Ce phénomène n’est pas le fruit du hasard. Le climat sécuritaire à Rennes s’est dégradé de manière continue au fil des dernières décennies, en grande partie en raison des choix politiques qui ont été faits. La politique de la ville, menée de manière idéologique par les équipes successives de gauche, a favorisé une ghettoïsation de certains quartiers, créant un terreau fertile pour le développement des trafics. Il faut le dire : les autorités locales ont indirectement permis à des réseaux criminels de s’implanter et de prospérer en menant ces politiques, aveuglées par le gauchisme mental, refusant de voir la réalité en face.

Aujourd’hui, Rennes fait face à une explosion du trafic de drogue, qui touche non seulement les quartiers dits « sensibles », mais également des zones plus centrales. Le centre-ville de Rennes, lieu de vie et de passage pour de nombreux habitants, n’échappe plus à cette réalité. Les dealers n’hésitent plus à régler leurs différends en pleine rue, souvent au mépris total des passants. Cette violence, auparavant confinée à des quartiers spécifiques, déborde désormais sur l’ensemble de la ville. Et le pire c’est qu’après Nantes, après Rennes, après Brest, les villes moyennes bretonnes, de Lorient à Vannes, en passant par Morlaix, prennent le même chemin. Nos enfants ne diront sûrement pas merci aux aveugles qui refusent de voir depuis des lustres, et qui refusent de mettre des mots sur les maux.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

5 réponses à “TF1 s’intéresse à la violence des gangs qui explose à Rennes”

  1. Camille dit :

    Savez-vous quand l’émission sera diffusée ?
    Cordialement,
    Camille

  2. VORONINE dit :

    Y a t il , en France, une seule ville qui échappe à ce phénomène ? La violence , l’insécurité , font tache d’huile et sont partout .Pas de quoi etre fier de ce pays

  3. kaélig dit :

    Avec la Bonne Soeur Nathalie Appéré aux commandes, ce n’est pas près de changer, comme à Nantes d’ailleurs avec la Carmélite Johanna Roland.
    Que voulez-vous, même en guerre, les citoyens pleutres voteraient pour des mollassons comme Hollande, ils croient que si vous êtes désarmés, les méchants ne vous attaqueront pas.
    Dans le fond, il ont les élus qu’ils méritent.

  4. Soso dit :

    Il y a des villes avec le même nombres d’habitant voir même plus petites qui ont les même problèmes et qui ne gèrent pas mieux le problèmes des trafics de drogue c’est un problème national rien à voir avec madame la Maire. Elle fera fermé un point le lendemain 10 vont ouvrir chaque jours de nouveaux endroit ? Pourquoi ? Parce que les jeunes n’ont plus envie d’étudier n’ont envie de travailler comme nous et surtout ils n’ont plus peur de rien. Cela à été banalisé. Le trafic mis en avant dans des séries des clips de musique et j’en passe.la population se déplace et ses problèmes avec. Les villes grandissent et se ghettoïse c’est partout pareil. Le problème viens surtout du système judiciaire. De l’exemple que nos représentants donnent. Les élites, les haut fonctionnaires les professions dites plus respecter sont elles mêmes de grandes consommatrice de drogue.

  5. Lucide dit :

    Petite pensée pour ce monsieur qui disait « mon fils s’invente un personnage un peu gangsta c’est rien ». Sauf qu’un jeune qui fantasme sur ces phénomènes finit vite à la morgue aujourd’hui. Ce qui était vu comme une fiction il y a vingt/trente ans est devenu monnaie courante. Fermez bien vos loquets et occupez vous de vos jeunes. Ce n’est que le début du chaos, étant donné que la crise n’est pas finie… felicitons au passage notre municipalité pour ses choix, autant de subventions touchées pour l’accueil de mineurs étrangers qui errent dans le centre ville, en commettant des délits puisque poches vides et précaires. Il est presque amusant de penser que personne ne s’y attendait? Cette insécurité nous l’avons depuis longtemps parce de l’argent est perçu, et qu’on entend pas fermer ce joli robinet malgré les plaintes des habitants de Rennes.

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

RENNES

Rennes : chronique d’une ville livrée à la violence et aux caïds de la drogue

Découvrir l'article

Animaux, Local, RENNES

Chiens en ville : Lille en tête du palmarès 2025, Rennes en retrait malgré des atouts

Découvrir l'article

Justice, RENNES

Rennes. Le procès des antifas vire au scandale judiciaire : deux étudiants membres du RN agressés…mais relaxe générale !

Découvrir l'article

International

Immigration et criminalité : le Royaume-Uni prêt à briser le tabou des statistiques ethniques ?

Découvrir l'article

Immigration, Local, RENNES

Rennes : une association immigrationiste se plaint que les sans-papiers ne viennent pas à ses réunions

Découvrir l'article

Ensauvagement, Local, RENNES, Société, Tribune libre

Fusillade à Rennes : Histoire du narco-califat de Villejean [L’Agora]

Découvrir l'article

RENNES, Sociétal

Rennes : fusillade à Villejean, encore une démonstration de l’impuissance face aux trafiquants

Découvrir l'article

Immobilier, NANTES, RENNES

Immobilier : Rennes et Nantes, deux métropoles bretonnes à la peine… mais à des rythmes différents

Découvrir l'article

Evenements à venir en Bretagne, Insolite, RENNES

Rennes : une « Nuit des salopes » qui promet !

Découvrir l'article

RENNES, Tribune libre

Insécurité, trafic, violences à Rennes. Quand on ne vote pas ni n’agit, on subit : chronique d’un suicide démocratique

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky