Jerzy Kwaśniewski : « Toute forme d’immigration engendre l’instabilité, érode la sécurité et contribue à la criminalité » [Interview]

En ce début juillet 2025, la frontière entre la Pologne et l’Allemagne est devenue un foyer de tensions intenses, alimentées par des questions migratoires qui opposent les deux pays voisins. Des contrôles frontaliers renforcés, des protestations citoyennes et des accusations mutuelles ont transformé cette zone en symbole des fractures européennes sur l’immigration.

Berlin accuse Varsovie de ne pas suffisamment sécuriser ses frontières orientales, notamment avec la Biélorussie, ce qui permettrait à des migrants d’entrer en Europe via la Pologne avant de se diriger vers l’Allemagne. En retour, les autorités allemandes ont procédé à des renvois de migrants vers la Pologne, souvent de nuit, ce qui a provoqué l’ire des Polonais.  Ces pratiques ont été qualifiées d' »inacceptables » par le gouvernement polonais, qui dénonce une violation des accords européens.

La situation s’est aggravée en juillet 2025, avec des incidents comme le renvoi d’un migrant afghan par les autorités allemandes, qui a cristallisé les frustrations locales. Des citoyens polonais, y compris des ultras de football et des agriculteurs, ont formé des « patrouilles citoyennes » pour surveiller la frontière, érigeant des checkpoints temporaires et patrouillant les chemins forestiers afin d’empêcher les renvois de migrants par la police allemande.

Dans ce contexte, une bataille politique a lieu actuellement en Pologne. Jerzy Kwaśniewski est un avocat et homme politique polonais, surtout connu pour être le cofondateur et président de l’Institut Ordo Iuris pour la culture juridique, un groupe de réflexion conservateur basé à Varsovie. « Aucune communauté politique n’a jamais prospéré en étant détachée de son identité nationale et culturelle », a déclaré M. Kwaśniewski lors d’une récente interview accordée à Artur Ciechanowicz pour europeanconservative.com. Selon lui, les tentatives visant à effacer ces fondements ne mènent qu’à la centralisation, à la coercition et, en fin de compte, à la révolte. Traduction par nos soins.

Que se passe-t-il exactement à la frontière germano-polonaise en ce moment ? Sous quel prétexte juridique les autorités allemandes font-elles entrer des migrants en Pologne ?

Jerzy Kwaśniewski : Les autorités allemandes invoquent officiellement le principe du renvoi des migrants vers le premier État membre de l’UE par lequel ils sont entrés dans l’Union européenne, à savoir la Pologne, si ces migrants se sont ensuite rendus en Allemagne et y ont déposé une demande de protection internationale ou de séjour. Selon un règlement de l’UE communément appelé « Dublin III », la responsabilité d’examiner une telle demande incombe à l’État membre où le migrant a mis le pied pour la première fois. Il s’agit donc de la Pologne.

La difficulté apparaît toutefois lorsqu’on examine les obligations procédurales prévues par ce règlement. Le cadre de Dublin prévoit une procédure de réadmission formelle, même dans sa variante opérationnelle accélérée. Cette procédure impose à la partie allemande d’informer les autorités polonaises de son intention de renvoyer les personnes concernées. Elle exige en outre une réponse affirmative des autorités polonaises, après quoi le transfert physique proprement dit doit être effectué de manière coordonnée. Si la partie polonaise refuse à un stade quelconque, le transfert ne peut avoir lieu.

Si, au mépris de cette disposition, les agents allemands se contentent de transporter les migrants à travers la frontière et de les relâcher sur le sol polonais, il ne s’agit plus d’une procédure relevant du règlement de Dublin. Nous sommes alors confrontés à un incident international grave. Les autorités allemandes ont, à un moment donné, reconnu que leurs agents avaient agi en violation des normes juridiques, tout récemment encore dans le cadre d’un incident survenu le 14 juin dernier.

Du point de vue du droit international, ces actions constituent des actes internationalement illicites. L’État allemand, par l’action de ses agents, viole la souveraineté territoriale et la juridiction de la République de Pologne en franchissant la frontière et en introduisant de force sur son territoire des migrants illégaux et indésirables. Les autorités polonaises sont donc pleinement habilitées, en vertu du droit national et international, à engager les procédures pénales appropriées, y compris la détention et le dépôt de plaintes officielles. Il ne s’agit pas d’une infraction mineure. Il s’agit d’une violation grave qui doit être suivie de contre-mesures intergouvernementales, diplomatiques et opérationnelles immédiates de la part de l’État polonais.

Et pourquoi une telle réponse n’est-elle pas apportée ?

Jerzy Kwaśniewski : Parce que le gouvernement polonais actuel accepte tacitement ces actions. On peut raisonnablement supposer qu’un accord a été conclu entre Varsovie et Berlin, dans lequel la partie polonaise s’est effectivement engagée à ne pas s’opposer ni à invoquer ses instruments de sauvegarde de la souveraineté et de la juridiction nationales. Encouragées par cette indulgence politique, les autorités allemandes ont poursuivi leurs opérations, qui constituent sans aucun doute un trafic d’êtres humains, les agents allemands agissant désormais comme passeurs de migrants illégaux vers la Pologne.

L’année dernière, les autorités allemandes ont admis avoir plus de 30 000 cas potentiels de réadmission en Pologne. L’absence de réaction du gouvernement polonais équivaut à un consentement tacite, une complaisance dont la partie allemande ne se prive pas de tirer parti.

Serait-il vraiment suffisant d’une simple volonté politique pour mettre fin à cette pratique une fois pour toutes ?



Jerzy Kwaśniewski : Exactement. De la volonté politique, associée à l’application stricte de nos droits et des obligations de la partie allemande. En substance, ce qui est en jeu ici, ce n’est pas seulement la sécurité de nos frontières, mais le principe même de l’État de droit au sein de l’Union européenne.

Alors, comment fonctionne exactement ce système de transfert massif de personnes du tiers-monde vers l’Europe ? On parle d’organisations criminelles, de trafiquants d’êtres humains, de cartels de la drogue, d’ONG et même de forces politiques impliquées.

Jerzy Kwaśniewski : Toute la machine de l’immigration de masse exploite un instinct humain naturel : le désir de trouver une vie meilleure pour soi-même et sa famille. Si l’Europe est présentée comme une terre promise, où un système social généreux attend les migrants, où l’on n’a pas besoin de travailler, où les lois sont laxistes ou ne sont pas appliquées et où règne un sentiment général d’impunité, il est logique que les gens soient attirés par cette image.

Mais ce n’est que le début. Pour que l’opération prenne de l’ampleur, il faut mettre en place des filières permanentes et des systèmes logistiques pour le trafic. Cela nécessite un investissement initial, financier, politique et institutionnel. En général, cet investissement provient d’une partie intéressée : une ONG, un gouvernement étranger ou un autre acteur désireux de provoquer des flux migratoires à des fins stratégiques. Ce n’est pas de la théorie. Ce phénomène a été analysé de manière méthodique par des chercheurs tels que le professeur Kelly Greenhill, qui l’a qualifié d’« arme de migration massive ».

Un exemple illustratif serait les bombardements aériens russes sur Alep, explicitement conçus pour déplacer de larges populations et inonder l’Europe de réfugiés. Cela s’est passé il y a plus de dix ans. Un autre exemple plus récent est le financement de vols depuis le Moyen-Orient vers Minsk ou Moscou, d’où les services de l’État de nos voisins orientaux, la Biélorussie et la Russie, escortent les migrants jusqu’à la frontière polonaise afin de créer un nouveau point de tension. Une fois cette phase initiale terminée, le crime organisé prend le relais. C’est en fait le principe même de cette arme : un système autonome et auto-réplicatif destiné à déstabiliser l’État cible.

Dès que les premiers migrants franchissent la frontière et publient avec succès des selfies depuis Varsovie, Berlin ou Paris, le message est clair et net dans leur pays d’origine : la route est ouverte. Au départ, ces migrants comptent sur les ONG ou les États qui financent leur voyage. Mais presque immédiatement, des intermédiaires apparaissent – trafiquants, passeurs – qui profitent du succès désormais avéré du voyage. La demande augmente et bientôt, tout le mécanisme fonctionne de manière autonome. Parallèlement, la deuxième clé de l’efficacité de cette arme est la coopération – ou du moins l’acquiescement – du pays d’accueil. Pour s’en assurer, des ressources sont investies dans des ONG opérant au niveau national, qui façonnent les politiques, font pression sur les gouvernements et mettent en place des infrastructures pour la circulation interne des migrants.

Mais parfois, le provocateur n’est pas une puissance étrangère. Il s’agit parfois du gouvernement d’accueil lui-même, comme l’Allemagne sous Angela Merkel. Pourquoi un gouvernement ferait-il cela ? Quel intérêt pourrait-il avoir à déclencher un afflux incontrôlé de migrants sur sa propre population ?

Jerzy Kwaśniewski : Nous avons ici un gouvernement qui inflige délibérément un choc interne à sa propre nation par le biais d’une migration massive. La seule question analytique pertinente à se poser est la suivante : cui bono ? À qui cela profite-t-il ? Quel avantage politique peut-on en tirer ? Une partie de la réponse réside dans l’instinct démocratique, ce désir sentimental largement répandu d’aider les persécutés. Merkel cherchait probablement à transformer l’Allemagne en une « superpuissance humanitaire » et, ce faisant, à se débarrasser enfin de la culpabilité historique associée à la Seconde Guerre mondiale.

Mais au-delà de cela, nous observons l’influence idéologique de « philanthropes » mondiaux tels que George Soros, qui ont défendu la doctrine de la diversité comme une vertu. Selon cette croyance, la migration n’est pas seulement un bien moral, elle est également bénéfique sur le plan économique et social pour le pays d’accueil.

Cette idée a été institutionnalisée. Si l’on lit les documents de l’UE sur la migration, les actes normatifs et les documents stratégiques, le postulat de base est toujours le même : une plus grande diversité et une cohésion ethnique et culturelle réduite conduisent à une créativité, une productivité et une prospérité accrues.

Ces affirmations ne reposent sur aucune base empirique, et pourtant elles sont présentées comme la pierre angulaire de la politique migratoire de l’UE. Même dans des documents visant ostensiblement à réduire la migration, comme le Pacte sur les migrations, on retrouve dès le début ces mêmes postulates. En réalité, ces textes ne visent pas à limiter la migration. Ils visent à la légaliser, à gérer ses flux et à imposer des quotas à tous les États membres afin de répartir équitablement la charge. Nulle part ne trouve-t-on de dispositions sérieuses visant à réduire réellement le nombre d’arrivées.

La migration est-elle donc vraiment essentielle à la croissance économique ?

Jerzy Kwaśniewski : Il s’agit là d’un axiome idéologique, et non d’un fait économique, qui s’est révélé catastrophique pour les sociétés européennes. Rien ne prouve que le type de migration que nous connaissons actuellement contribue de manière significative à la croissance économique. Nous n’avons pas affaire à un flux de travailleurs qualifiés et productifs. Nous avons affaire à des populations nombreuses et non qualifiées dont la principale motivation est l’accès à l’aide sociale.

Ce type de migration ne comble pas les pénuries de main-d’œuvre, il crée de nouvelles charges. Et ces charges ne sont pas abstraites. Ils comprennent une augmentation avérée de la criminalité, un sentiment généralisé d’insécurité et une rupture du contrat social, c’est-à-dire l’attente fondamentale que l’État assure la paix et l’ordre. Ce sont précisément ces éléments qui définissent la légitimité d’un gouvernement qui fonctionne.

Le coût économique est tout aussi mesurable. Au-delà des transferts sociaux directs, il faut tenir compte des dépenses de santé, d’éducation, de sécurité publique et de la fragmentation croissante de la vie civile. Dans certaines écoles polonaises aujourd’hui, une proportion importante d’élèves ne parle plus le polonais. C’est un signe évident de désintégration sociale. Cette désintégration s’accompagne d’un effondrement de la confiance, tant interpersonnelle qu’institutionnelle, qui constitue également une menace pour l’économie.

Concentrons-nous un instant sur la distinction entre migration « légale » et « illégale ». Dans ce contexte, cette distinction n’est-elle pas simplement un moyen de masquer le véritable problème ?

Jerzy Kwaśniewski : Toute forme de migration, en particulier vers des États-nations ethniquement et culturellement cohésifs, engendre l’instabilité, érode la sécurité et contribue à la criminalité. Il existe pourtant un modèle éprouvé de migration contrôlée : l’admission sélective de travailleurs qualifiés pour une durée limitée, assortie d’une obligation stricte de quitter le territoire à l’expiration de ce délai. Il s’agit d’une politique défendable. Mais en Europe, la migration dite « légale » ne signifie trop souvent guère plus qu’une entrée légale.

Il s’ensuit une résidence illégale, à l’abri de toute conséquence et à l’abri de l’expulsion. L’asile, qui était autrefois un droit sacré pour les personnes persécutées, a été détourné et transformé en un mécanisme général de légalisation pour les migrants économiques. Le terme « migration légale » devrait impliquer que l’État conserve le contrôle, qu’il adapte l’immigration à ses propres besoins et capacités. Ce n’est malheureusement pas ce à quoi nous assistons.

Dans une affaire de meurtre récente, nous avons également pu entrevoir le mécanisme économique qui se cache derrière tout cela : une entreprise étrangère reçoit des subventions gouvernementales pour ouvrir une succursale en Pologne ; année après année, elle déclare des pertes et ne paie pas d’impôts ; elle fait ensuite venir des migrants pour réduire ses coûts de main-d’œuvre, ce qui nuit à la fois au marché du travail et à la cohésion sociale.

Jerzy Kwaśniewski : Il s’agit là d’un modèle profondément troublant, qui transfère les coûts de l’emploi de l’entreprise à la société. Les entrepreneurs polonais responsables mettent en garde depuis longtemps contre ce phénomène : l’immigration massive de main-d’œuvre et la facilité d’obtention des permis de travail font baisser artificiellement les coûts de production. Mais les économies réalisées sont illusoires. Si l’entreprise bénéficie d’une réduction de ses frais généraux, c’est la société qui paie la différence, en termes de services sociaux, de soins de santé, d’éducation, de maintien de l’ordre et de risques pour la sécurité. De plus, cela fausse le marché du travail. La main-d’œuvre immigrée fait baisser les salaires, affaiblit le pouvoir de négociation et, en fin de compte, diminue la qualité de vie des travailleurs autochtones.

Alors, quelle est la véritable alternative à la migration, d’un point de vue économique ?

Jerzy Kwaśniewski : Nous sommes confrontés à deux alternatives. La première relève du vœu pieux : un changement démographique radical. Cependant, il s’agit d’une stratégie à long terme, que la Pologne ne poursuit pas actuellement. Plusieurs pays européens ont tenté de mettre en place des politiques favorables à la famille, mais le choc avec la culture de masse a fait que même des dépenses publiques importantes, comme en Hongrie par exemple, n’ont eu que des effets limités.

La deuxième option est l’automatisation. Il est possible que d’ici cinq à dix ans, le moteur de la migration [de main-d’œuvre], à savoir la demande de main-d’œuvre manuelle, disparaisse. Nous assistons déjà à une augmentation du degré d’automatisation de la production, ou « cobotisation », où des groupes entiers de travailleurs manuels sont remplacés par un seul technicien hautement qualifié qui supervise des systèmes automatisés. À l’étape suivante, avec la robotique combinée à l’intelligence artificielle avancée et à l’apprentissage automatique, la production sera encore plus détachée du travail physique humain.

À ce stade, nous pourrions nous retrouver avec une main-d’œuvre immigrée qui n’est plus demandée, mais toujours présente, avec des coûts de logement qui continuent d’être supportés. Si nous voulons garantir des possibilités d’emploi à nos propres citoyens, nous devons commencer à envisager sérieusement une réduction significative de l’immigration.

Une société peut-elle vraiment exister sans frontières clairement définies, tant physiques que culturelles ?

Jerzy Kwaśniewski : Il n’y a jamais eu d’expérience internationaliste réussie, c’est-à-dire une tentative d’abstraire une communauté politique, juridique et constitutionnelle de l’identité nationale et culturelle. De telles entreprises conduisent invariablement à l’atomisation, à l’expansion du pouvoir de l’État et à l’effondrement des structures intermédiaires organiques et naturelles de la communauté. Dans de telles conditions, la gouvernance finit par dépendre de la force, car sans elle, la sécurité ne peut être maintenue.

Nous avons déjà vu de telles expériences. Nous ne savons que trop bien à quel point leurs conséquences ont été tragiques, en particulier en Union soviétique. Toute tentative actuelle de faire revivre la doctrine de l’internationalisme, qui vise à effacer les distinctions nationales et culturelles, comme on le voit par exemple dans certains documents de la Commission européenne et du Parlement européen qui se réfèrent explicitement au « Manifeste de Ventotene » trotskiste comme source d’inspiration, est une prédiction directe de la répétition de cette même tragédie. Cela n’est tout simplement pas viable.

Le seul modèle véritablement efficace pour administrer les États européens est celui qui est ancré dans l’identité nationale, constitutionnelle et culturelle. Les architectes fondateurs des Communautés européennes l’avaient bien compris, et ce principe est clairement exprimé dans les traités de l’UE, à savoir l’obligation de respecter les identités nationales et constitutionnelles, une clause souvent oubliée aujourd’hui.

Que signifierait le respect réel de l’identité constitutionnelle ? Par exemple, s’abstenir d’engager des procédures pour violation de l’État de droit à l’encontre de pays qui entreprennent des réformes constitutionnelles internes.

Malheureusement, nous assistons à un puissant courant centralisateur au sein de l’UE, qui instrumentalise la migration comme un moyen d’ingénierie sociale, un mécanisme de prise de pouvoir politique en Europe. Les citoyens s’y opposent à juste titre. Nous pouvons l’observer clairement à la frontière germano-polonaise, où, face à l’abdication de l’État, des citoyens ordinaires enfilent des gilets réfléchissants et forment des patrouilles citoyennes pour se défendre contre les migrants.

Photo d’illustration : DR
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2 réponses à “Jerzy Kwaśniewski : « Toute forme d’immigration engendre l’instabilité, érode la sécurité et contribue à la criminalité » [Interview]”

  1. bernard plouvier dit :

    Le « trafic d’êtres humains », notion évoquée dans cet article assez vide de sens, car dépourvu de réflexion de fond sur l’invasion de l’Europe continentale, mériterait enfin des sanctions juridiques très lourdes, car c’est de l’intégrité des peuples envahis par l’immigration d’origine extra-européenne qu’il s’agit et que, lorsque l’avenir d’une Nation est menacé, tous les coups sont permis. Cela s’appelle le principe de Légitime Défense (un principe vieux comme l’humanité préhistorique, mais nié par notre merveilleux Macron)
    Deuxièmement, le-dit « trafic d’humains » est une resucée de la « Traite des esclaves », punie par tous les règlements internationaux. Commençons par appliquer la peine de mort à tous les passeurs dont un convoi aboutit à une mort, accidentelle ou non… et devant les risques, il y aura peut-être moins de candidats-trafiquants
    L’immigration-invasion est en soi une menace de guerre civile, guerre de races et de religions.
    Faute de ne l’avoir pas compris (et ce n’est pas ce long article qui le fera comprendre, détournant l’étude du vrai problème au profit d’une énième querelle germano-polonaise), on s’achemine avec certitude vers l’éclatement national (hier – dans ce blog – les discussions sur le drapeau et la Fête Nationale ont amplement démontré les fissures de la Nation française, qui commence à se morceler en féodalités régionales)
    Nous devons, au contraire, nous unir contre les envahisseurs et contre les ordures qui collaborent à ce trafic d’esclaves qui, un jour ou l’autre, se rebelleront en masse.
    Face à Spartacus et à ses bandes, il y avait la Nation Romaine, faite d’hommes combatifs.
    Face aux Africains et aux Moyen-Orientaux qui affluent par dizaines de milliers chaque année, qu’y a-t-il ? Des français désunis et amollis ? Et un Dictateur d’opérette, contesté par un clown grotesque : le duo Macron – Mélenchon est le pitoyable spectacle franchouillard offert par notre Nation dégénérée.

  2. Fernand-Arthur Dujardin dit :

    En 1985 Daniel Balavoine déclarait à Paris-Match : « Ce qui me gène chez SOS racisme c’est de vouloir faire croire aux gens que mélanger les races ne cause pas de problème ! ».

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