On croyait que le retour du bon sens revenu, mais il va falloir encore attendre un peu. En Angleterre, une infirmière a fait l’objet de mesures disciplinaires pour avoir déclaré que les hommes ne peuvent pas allaiter. Une affirmation qui va à l’encontre des cours dispensés aux sages-femmes du Service de santé nationale, le NHS, tenus par une association trans qui promeut « l’allaitement maternel masculin ».
L’affaire, révélée par The Telegraph le 28 juin dernier, avait commencé par les révélations d’une infirmière anonyme du NHS qui racontait comment le Queer Birth Club [Club de naissance queer] organisait des ateliers dans les services de maternité publics. Cette association, fondée par Mx AJ Silver, une personne trans militante qui se revendique comme « homme ayant accouché », dispense des « cours de compétences LGBTQ+ » destinés au personnel du secteur de la maternité ou du périnatal, mais aussi aux universités, aux écoles de formation, aux consultants en lactation et aux entreprises privées. Et cela, bien que ce club ne soit ni un établissement d’enseignement régulièrement enregistré, ni un organisme de bienfaisance.
Ces ateliers, recommandés par exemple par le service de santé public du Pays de Galles et les Hôpitaux de Chelsea et Westminster, sont désormais intégrés dans des programmes de formation de sages-femmes.
Le problème, outre le fait que ces cours soient rétribués par les deniers publics, est qu’ils prétendent enseigner aux médecins l’induction de la lactation chez les personnes nées biologiquement hommes à travers des médicaments tels que le Dompéridone. Or cette entrave à la nature, n’est pas sans risques. Médicament préconisé en cas de reflux gastro-œsophagien notamment lors des chimiothérapies, la stimulation de la production de lait qu’il induit est un effet indésirable indiqué par le fabricant Janssen-Cilag. Le Dompéridone comporte de graves conséquences pour les nouveau-nés (transferts de testostérone à travers le lait) et pour qui en assume, une augmentation du risque d’arythmies ventriculaires graves et de mort subite ayant été détectée par Janssen-Cilag lui-même. Le comble étant que le NHS lui-même préconise sur son site officiel d’assumer le Dompéridone contre les nausées seulement « si d’autres médicaments n’ont pas fonctionné » et « pour un temps court seulement ».
Si les trans les plus téméraires décident sciemment d’en prendre malgré les risques qu’ils encourent, on est en droit de se demander comment ont-ils évalué les conséquences pssibles sur leur bébé. Et de nous interroger : est-ce le rôle d’un médecin de prescrire des médicaments potentiellement nocifs pour la santé ? Il semblerait que le service de santé public anglais ait placé l’idéologie du genre avant la science…
L’infirmière qui fait l’objet de procédures disciplinaires pour s’être opposée à ces « cours », a bénéficié de l’appui d’avocats du Centre juridique chrétien.
À défaut, elle pourra se rapprocher du J. K. Rowling Women’s Fund, le fonds créé par la célèbre romancière et mère d’Harry Potter, pour soutenir les frais d’avocat et protéger les droits des femmes menacées par la toute-puissance des lobbies LGBTQ+ et la culture transféministe dominante.
Audrey D’Aguanno
9 réponses à “Délire woke : une infirmière anglaise sous procédure disciplinaire pour avoir affirmé que les hommes n’allaitent pas”
les gauchistes GB sont tarés
Au Domperidone, je préfère largement le Don Perignon
L’Angleterre de relèvera, mais le chemin sera long et probablement marqué par de grandes violences.
Le wokisme est une maladie mentale qui se transmet malheureusement
On nage en plein délire, en effet. En procédure disciplinaire pour avoir affirmé LA vérité !
@vert : Tout comme les Français Françaises appartenant a cette idéologie.
Le monde est en partie dirigé par des dérangés qui sont devenus la norme .
Les British ont inventé « l’allaitement par induction » pour nourrir les Gauss.
Nouveau prix Nobel en vue.
Nous souscrivons aux propos de Bangor…Dom Pérignon éclaire-nous et réjouis-nous le coeur! Et pour commencer un bon repas un quelconque Glen…nous en avons pour toutes les sensibilités. Une pensée pour Charly III pas triste non plus avec ses lubies écolo débilo…, paraît-il!