Petit traité des idées, Débordée ? Non merci, Populicide, Le grand détournement, Pourquoi moi ? : la sélection littéraire hebdomadaire
Petit traité des idées
D’où viennent les idées ? Comment apparaissent-elles ? À quoi servent-elles ? Et pourquoi, à l’homme encore flanqué ici-bas, se présentent-elles comme l’arme de poing la plus efficace ?
Ce petit traité ne s’adresse pas à ceux qui parlent mais à tous ceux qui ont des choses à dire, notamment dans le monde de la culture et de l’art, de la publicité et du journalisme, de la politique et du commerce.
À la frontière de la philosophie, des sciences de l’information et de la communication, cet ouvrage tend la main à tous ceux qui veulent se faire entendre dans le monde des idées. L’époque le demande. C’est même une nécessité.
Ce Petit Traité des idées s’emporte avec vous. Il se porte et s’utilise comme un colt.
A commander chez Guy Tredaniel
Débordée ? Non merci
Deux, trois, quatre enfants jusqu’à quatorze, et quatre petits-enfants : pour Marielle et Pierre Blanchier, le compteur s’est déréglé au chiffre 1, à la naissance des jumeaux. Et pourtant, la vie quotidienne de cette famille très nombreuse fonctionne : chaque enfant est unique, chacun a sa place et s’épanouit au rythme de sa personnalité. Marielle et Pierre sont toujours là pour répondre aux besoins d’un enfant qui nécessite plus d’attention, sans pour autant délaisser le reste de la famille. Qu’on en ait un ou quatorze, au fond, tous les soucis grands et petits trouvent une solution dans l’amour qu’on porte à ses enfants et dans la volonté de les voir devenir libres. Marielle Blanchier partage les réflexions que se posent les parents pour éduquer leurs enfants le mieux possible. Afin de naviguer sur la même embarcation parmi les tempêtes, les peurs, mais aussi les vents portants, elle suit cette boussole : le bon sens et la confiance.
A commander chez Salvator
Populicide
« J’ai décidé, avec ce livre-testament, de ne jamais brider ma plume. J’écris sans scrupule. Je livre, sans aucune précaution pour les âmes sensibles, le fond de ma pensée, avec l’obsession de relever le pays, de le redresser, de le sortir du cloaque.
Je suis hanté par la disparition du peuple auquel j’appartiens. Je vois le gouffre s’ouvrir. Comme disait Chateaubriand à propos de Fouché et Talleyrand, je vois le vice appuyé sur le bras du crime, je vois la complaisance appuyée sur le bras des lâches. Le consentement des autorités intellectuelles, morales et spirituelles. Le grand affaissement. On a perdu la matrice. Bientôt la France habitera encore au même endroit, mais elle aura changé de résidents. La brutalisation et la mutation du peuple d’origine ouvrent déjà sur un nouvel espace qui se dessine.
J’ai vécu tout cela depuis un quart de siècle de décrépitude. Je connais la vie publique de l’intérieur. Je connais, pour les avoir fréquentés, les recoins des coulisses tout autant que le devant de la scène : le parjure et l’exhibition qui composent la matière première de la politique. J’ai vu comment s’est mis en place le populicide français.
Il est temps, aujourd’hui, pour moi, de tout dire, sans retenue mondaine, sans ménager quiconque. Prenant la main de la petite Espérance, j’adresse une ode au Français de souche ainsi qu’au Français de désir, et un appel à un jeune Français qui veut encore y croire.
Je parle devant l’Histoire. C’est peut-être mon cri ultime, le message final, le dernier dépôt, le fruit de la dernière mise en garde avant qu’il ne soit trop tard. »`
Le grand détournement
C’est un hold-up sans arme ni violence, réalisé au cœur du nébuleux système des aides aux entreprises. Le montant total de ces coups de pouce ? 270 milliards. Plus de trois fois le budget de l’éducation. Vingt-sept fois celui de la justice.
Problème : ce déluge d’argent public est versé sans aucune contrepartie. Et, pour une bonne part, enrichit multinationales aux profits déjà mirobolants qui n’hésitent pas à licencier ou grandes fortunes.
Des dizaines de rapports budgétaires décryptés, des centaines d’heures d’entretiens avec des hauts fonctionnaires et des responsables politiques de premier plan… Cette enquête nous plonge cœur d’un système qui, de l’aveu même d’éminents libéraux, est devenu incontrôlable.
Alors que l’État est surendetté et que les Français sont appelés à faire des sacrifices, il est temps de lever le voile sur ce grand détournement.
Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre sont grands reporters au Nouvel Obs. Ils ont publié Les Infiltrés (2020), l’enquête à l’origine de l’affaire sur les cabinets de conseil ; et Le Grand Détournement (2025) consacré au système des aides aux entreprises.
A commander chez Allary éditions
Pourquoi moi ?
Un soir de mai 2021, en pleine émission télévisée, Christine Kelly vit l’impensable : sa mémoire s’efface brutalement, la laissant désemparée face aux caméras. Ce moment de vulnérabilité devient le déclencheur d’une introspection bouleversante qui la ramène à cette insulte gravée sur le mur de son collège.
Dans ce récit poignant et universel, la journaliste dévoile sans fard son parcours de reconstruction. De l’enfance protégée en Guadeloupe aux plateaux de CNews, des menaces de mort aux mécanismes de survie, elle explore avec une lucidité saisissante la violence du regard social, le harcèlement et la résilience.
Comment transformer ses blessures en force ? Comment se réconcilier avec son corps longtemps négligé ? Comment transmettre à sa fille Léa ce qui lui a toujours manqué ?
Un témoignage puissant sur l’acceptation de soi et la capacité humaine à renaître de ses cendres.
A commander chez Fayard
Photo : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine..