Aux États-Unis, l’assassinat du militant conservateur Charlie Kirk lors d’une réunion publique dans l’Utah continue de provoquer un séisme politique. Si l’enquête suit son cours et que le suspect, Tyler Robinson, doit être formellement inculpé le 16 septembre, un autre procès se joue déjà : celui de l’information. Car, face aux révélations mettant en lumière l’endoctrinement idéologique du jeune homme, une partie des médias de gauche s’efforce de brouiller les pistes, allant jusqu’à réécrire ses propres articles pour éviter de confirmer l’évidence.
Quand les médias rétropédalent
Dès l’annonce de l’arrestation, plusieurs témoignages évoquaient un Robinson « plutôt à gauche sur tout », isolé politiquement dans une famille mormone pro-Trump. Le Guardian avait relayé cette description, avant de la retirer discrètement en arguant d’une « source rétractée ». Ce genre de volte-face illustre bien l’embarras d’une presse peu encline à admettre qu’un militant conservateur ait pu être assassiné par un jeune homme marqué par l’idéologie gauchiste.
Dans le même temps, le Daily Beast ou le New York Times insistent sur l’absence « d’affiliation officielle » du suspect, comme si l’appartenance à un parti valait seule preuve d’orientation politique.
Des douilles gravées… minimisées
Les enquêteurs ont pourtant retrouvé sur les douilles de l’arme des inscriptions explicites : un « Attrape ça, fascistes » ou encore « Bella ciao », chant emblématique des résistants antifascistes et devenu hymne antifa. Pour le gouverneur de l’Utah, Spencer Cox, ces éléments témoignent d’un endoctrinement gauchiste.
Mais là encore, les médias de gauche relativisent : CNN ou le HuffPost expliquent que la chanson est surtout connue grâce à la série Netflix La Casa de Papel ; Libération va jusqu’à rappeler qu’elle figure dans une playlist d’extrême droite pour tenter de brouiller la symbolique. Quant à la presse britannique, elle se raccroche à l’idée que certaines inscriptions seraient tirées de jeux vidéo comme Helldivers 2, réduisant ces preuves tangibles à de simples références de « geek ».
Autre sujet sensible : la relation du suspect avec une personne transgenre. Le gouverneur Cox a confirmé que Robinson vivait avec une « colocataire » en transition, aujourd’hui interrogée par la police. Les milieux conservateurs y voient un possible mobile, Charlie Kirk étant connu pour ses positions fermes contre la mouvance trans. Là encore, la presse de gauche s’empresse de dénoncer des « spéculations », d’accuser les républicains de « transphobie » et de nier tout lien entre cette relation et le passage à l’acte.
Une stratégie d’effacement
Au final, la couverture médiatique illustre une stratégie bien connue : lorsqu’un crime peut être rattaché à un profil de gauche, il faut immédiatement relativiser, brouiller, renvoyer dos-à-dos ou déplacer le débat. Là où un assassin d’extrême droite est rapidement catalogué, analysé, disséqué, un suspect aux sympathies gauchistes devient soudain une énigme, un « profil complexe » aux motivations mystérieuses.
L’assassinat de Charlie Kirk révèle ainsi, au-delà de l’horreur du crime, un déséquilibre médiatique criant : tout est bon pour éviter d’admettre qu’un jeune homme marqué à gauche a pu passer à l’acte contre l’un des leaders conservateurs les plus médiatisés d’Amérique.
.Une enquête toujours en cours
Les services fédéraux de Quantico analysent actuellement les éléments balistiques afin de relier définitivement l’arme saisie au suspect. Pour l’heure, ce dernier refuse de coopérer avec les enquêteurs et aucun mobile officiel n’a encore été retenu.
Arrêté peu après la fusillade, Robinson est poursuivi pour meurtre aggravé, usage d’arme à feu ayant causé des blessures graves et obstruction à la justice. Des chefs d’accusation passibles de lourdes peines, dont la peine capitale dans le cas de l’aggravated murder.
Tant le gouverneur Spencer Cox que l’ancien président Donald Trump ont publiquement exprimé leur volonté de voir la justice appliquer la peine capitale si Robinson est reconnu coupable.
En parallèle, le mouvement Turning Point USA, fondé par Charlie Kirk, a annoncé l’organisation d’une cérémonie en mémoire de son dirigeant assassiné.
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