La fiche Wikipédia consacrée à Breizh-Info est censée présenter des faits. En réalité, elle aligne amalgames, insinuations et citations orientées, sans jamais donner la parole aux principaux intéressés. Passage en revue des principales attaques.
« Breizh-Info est un site web d’extrême droite identitaire, créé en 2013 et dirigé par Yann Vallerie. Il est mis en cause pour sa diffusion régulière de fausses informations. »
Correction : Breizh-Info est un journal indépendant et alternatif, fondé en 2013 par Yann Vallerie, Philippe Le Grand et plusieurs journalistes. Notre ligne est claire : offrir un espace de parole libre, sans filtre, dans la défense de la civilisation européenne et de l’identité bretonne et française.
Nous ne sommes pas « dirigés » par une seule personne mais fonctionnons comme une rédaction structurée. Quant à l’accusation de « diffusion régulière de fausses informations », elle ne repose sur aucun audit indépendant mais uniquement sur les jugements de médias concurrents (Le Monde, Libération, L’Express…), connus pour leur hostilité envers toute presse non-alignée. Comme chaque média, nous avons pu commettre des erreurs. Qui ont été corrigées lorsque relevées. Sur 46 000 articles publiés depuis douze ans, nous mettons au défi quiconque de pouvoir, factuellement, résumer Breizh Info à un site qui « diffuse régulièrement des fausses informations ».
Historique : « Yann Vallerie, fondateur du site Breizh-Info, est l’ancien président du mouvement identitaire d’extrême droite Jeune Bretagne. »
Oui, Yann Vallerie a eu des engagements militants, comme beaucoup de journalistes venus de la société civile. Mais réduire Breizh-Info à ce passé est un procédé classique de disqualification. Le site est né d’un collectif de journalistes et d’auteurs soucieux de créer un média alternatif en Bretagne, non d’une officine politique.
« En novembre 2022, le collectif Sleeping Giants obtient le bannissement de Breizh-Info par Google Adsense. Le site est hébergé en Lituanie chez un sous-traitant d’une entreprise américaine. »
Les Sleeping Giants sont une officine de gauche extrême, pratiquant le terrorisme économique (tuer son ennemi en le privant, par la terreur menée vis à vis d’entreprises, de revenus) se vantent d’avoir fait perdre à Breizh-Info des revenus publicitaires (12 000 € annuels). Ce fait illustre surtout la tentative d’asphyxie économique subie par de nombreux médias non-conformes. L’hébergement technique aux USA n’est pas une anomalie mais une pratique courante pour protéger un site des attaques et censures.
Ligne éditoriale : « Les articles du site se concentrent sur des faits divers impliquant des immigrés, des musulmans ou des Français d’origine étrangère. »
Nos rubriques couvrent l’actualité bretonne, française et internationale. Les faits divers liés à l’immigration ne représentent qu’une partie des contenus, au même titre que la politique, la culture, le sport, l’histoire ou les questions sociales. Ce reproche traduit un malaise : nous osons traiter des thèmes que d’autres médias minimisent ou censurent. N’importe quel algorithme qui analyserait là encore l’intégralité des articles parus (plus de 46 000) en douze ans ne pourrait pas tirer la conclusion d’une concentration sur un sujet particulier.
« Le Peuple breton considère le site comme un organe de la fachosphère. »
Qu’un mensuel ouvertement engagé à gauche et qui n’existerait plus sans les subsides publics nous taxe de « fachosphère » n’a rien d’étonnant. Citer ce jugement militant comme une vérité encyclopédique est pourtant contraire aux principes mêmes de Wikipédia.
« Breizh-Info diffuse un nombre significatif de fausses informations » (Décodex du Monde).
Le Décodex n’est pas un organe indépendant, mais l’outil de fact-checking interne du Monde, c’est-à-dire juge et partie. Plusieurs de leurs « corrections » se sont d’ailleurs révélées erronées ou biaisées. Nous pratiquons une vérification rigoureuse de nos sources, et certaines enquêtes publiées sur Breizh-Info ont ensuite été confirmées par la presse généraliste.
« NewsGuard présente Breizh-Info comme un des sites français les plus influents dans la propagation de fausses informations concernant la pandémie de Covid-19. »
NewsGuard est une société privée américaine, financée notamment par Microsoft et Publicis. Son rôle est de labelliser les médias selon des critères politiques autant que journalistiques. Nos articles sur le Covid-19 se sont appuyés sur des sources médicales et scientifiques, parfois contradictoires, mais toujours dans le cadre d’un débat légitime.
« Conspiracy Watch associe Breizh-Info à des thèses complotistes (11 septembre, Douma, vaccination). »
Conspiracy Watch est une officine militante anti-complotiste financée en partie par des fonds publics. Associer toute information alternative à du « complotisme » relève d’un procédé de disqualification et non d’une analyse journalistique.
Plaintes et condamnations : « En décembre 2023, Yann Vallerie et un journaliste de Breizh-Info sont condamnés… »
Ce que Wikipédia tait soigneusement, c’est que la cour d’appel de Rennes a relaxé les prévenus le 4 septembre 2024. La justice a jugé que les propos incriminés relevaient de la liberté d’expression et que « l’infraction d’injure n’est pas caractérisée ». Autrement dit : nous avons été blanchis en attendant le pourvoi en cassation.
La page Wikipédia de Breizh-Info est rédigée à charge, truffée de citations hostiles et de raccourcis militants. Elle ignore les principes de neutralité et de vérification pourtant brandis par l’encyclopédie collaborative d’autant plus que la censure y est allègrement pratiquée (impossibilité de modifier des informations).
Breizh-Info est un média indépendant, enraciné, pluraliste dans ses sujets, mais assumant une ligne de droite identitaire et conservatrice. Nous entendons poursuivre notre travail d’information sans nous laisser intimider par les campagnes de diffamation.
Crédit photo : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine..
2 réponses à “Quand Wikipédia parle de Breizh-Info : erreurs, mensonges et calomnies sont au rendez-vous”
« Les articles du site se concentrent sur des faits divers impliquant des immigrés, des musulmans ou des Français d’origine étrangère. »
Breiz-info fait ce qu’il peut ;-) Ce sont plutôt certains immigrés, musulmans ou des Français d’origine étrangère » qui se concentrent dans les faits divers, les plus marquants.
C’est un problème récurrent de Wikipedia, encyclopédie rédigée par qui a envie d’y participer sans la moindre garantie de qualité ni d’objectivité : quelques personnes, par esprit militant, par haine personnelle ou par fanatisme, s’emparent d’un article, l’arrangent à leur sauce et en font la police. Breizh Info est loin d’être la seule victime de ce syndrome ! C’est ennuyeux car cela jette un gros doute sur l’ensemble de l’encyclopédie, où l’on trouve aussi énormément d’articles intéressants écrits par de vrais spécialistes.
Le problème est aggravé par le manque d’exigence du monde médiatique, prêt à passer l’éponge sur le mensonge pourvu qu’il soit politiquement correct. Songez à la grotesque Aude Favre, qui s’est illustrée voici quelques années, entre autres par ses attaques contre Breizh Info. Elle prétendait dénoncer des « fake news »… en inventant les siennes pour cela. Une fois la vérité rétablie, elle aurait dû être barrée de tous médias. Elle a au contraire vendu ses productions au service public de radio-télévision !