De retour à New York pour l’Assemblée générale de l’ONU, Donald Trump a livré un discours sans concession, fidèle à son style offensif. Pour le président américain, l’organisation internationale a trahi sa mission première et se rend complice des dérives qui menacent les nations occidentales.
« Quelle est la véritable utilité des Nations unies ? », a-t-il lancé, estimant que l’institution était « très loin de réaliser son potentiel », se contentant de déclarations creuses au lieu d’agir concrètement pour la paix.
Le discours ci-dessous : attention, traduction calamiteuse parfois, en français.
La Palestine, « récompense » pour le Hamas
Trump s’est montré particulièrement virulent sur la question du Proche-Orient. Selon lui, la reconnaissance d’un État palestinien par certains pays occidentaux constituerait une « récompense » pour les crimes du Hamas, rappelant les massacres du 7 octobre 2023 et la détention toujours en cours d’otages israéliens. Une telle reconnaissance, estime-t-il, reviendrait à légitimer la violence terroriste.
Immigration : « vos pays vont droit en enfer »
L’autre grande cible de son intervention fut la politique migratoire. L’ancien promoteur immobilier a accusé l’ONU de financer « une attaque contre les pays occidentaux », en soutenant des flux migratoires massifs qualifiés d’« invasion ». Il a élargi ses critiques aux dirigeants européens, qui, selon lui, « en paieront le prix » : « Vos pays vont droit en enfer », a-t-il asséné, appelant à mettre fin « à l’expérience ratée des frontières ouvertes ».
Dans sa ligne de mire également, Sadiq Khan, maire de Londres, symbole selon lui de la capitulation des élites devant l’immigration de masse.
Le climat qualifié de « supercherie »
Donald Trump a de nouveau rejeté la doctrine climatique dominante, décrivant le réchauffement comme « la plus grande arnaque jamais menée contre le monde ». L’empreinte carbone ? Une invention, dit-il, de « gens aux intentions malveillantes ». Selon lui, les prédictions apocalyptiques se sont révélées fausses : « On annonçait la fin du monde à cause de la chaleur, et voilà qu’il fait plus froid », a-t-il ironisé, appelant à revenir au bon sens énergétique et au développement des énergies fossiles.
Russie, Chine, Inde : les vraies responsabilités
Sur la guerre en Ukraine, le président américain a mis en accusation la Chine et l’Inde, premiers clients du pétrole russe et donc, selon lui, véritables bailleurs de la machine de guerre de Moscou. Il a également reproché à certains pays européens, pourtant membres de l’OTAN, de continuer à importer de l’énergie russe. « Tant que vous financez le Kremlin, nous perdons un temps précieux », a-t-il averti.
Après un entretien avec Volodymyr Zelensky en marge du sommet, Trump a même surpris en affirmant désormais croire possible une reconquête totale du territoire ukrainien – un revirement par rapport à ses positions précédentes.
Drogue et Amérique latine : la fermeté réaffirmée
Trump a promis de « réduire à néant » les cartels vénézuéliens qui inondent les États-Unis de drogues, rappelant que l’armée américaine avait déjà coulé plusieurs navires chargés. « À tout trafiquant qui empoisonne notre peuple : soyez prévenus, nous allons vous détruire », a-t-il martelé.
Lula, Milei, Guterres : des rencontres sous tension
Le président américain a brièvement croisé son homologue brésilien Lula, qu’il accusera prochainement de persécuter Jair Bolsonaro, avant d’annoncer une rencontre à venir. Il a aussi échangé avec Javier Milei, son allié argentin, et rencontré le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dont il a implicitement mis en cause le leadership, estimant que l’organisation aurait besoin de « nouvelles têtes » pour redevenir efficace.
Ce discours, accueilli dans un silence inhabituel par l’assemblée, illustre la stratégie de Trump : réaffirmer un cap souverainiste et dénoncer le rôle des organisations internationales dans la fragilisation des nations. Immigration massive, idéologie climatique, dépendance énergétique, reconnaissance de la Palestine : autant de fronts sur lesquels l’ex-président entend mener bataille, convaincu que l’Occident joue sa survie.
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5 réponses à “ONU : Donald Trump dénonce l’invasion migratoire, l’arnaque climatique et fustige la reconnaissance de la Palestine [Le discours intégral]”
Ils déteste Donald Trump parce ce qu’il dit la vérité!!!
Enfin un discours de vérité, et Maron qui déclare après les paroles de Trump » qu »il soutiendra toujours Zelensky » entre autre la dernière fois que Zelensky est venu en France sa femme à achetée plus d’un million de d’habits et de bijoux.
Subissons-nous une submersion migratoire en Europe ? Évidemment, factuel et documenté. Reconnaître l’état de Palestine comme l’a fait notre moulin à vent national, aura-t-il de réels effets militaro-politiques sur le terrain ? Non, effet de manche narcissique qui n’aura aucun impact sur la situation actuelle. D’ailleurs les otages sont toujours enterrés vivants dans les tunnels du hamas à cet heure . Trump lui seul a peut-être ce pouvoir, oui peut-être. Quand aux éoliennes, qui peut nier qu’elles sont construites en Chine ( bonjour le bilan carbone ), difficilement recyclable, que l’entretien coûte une fortune , qu’elles defigurent les paysages et que de plus factuellement elles font monter nos factures .
Les commentateurs en tous genres peuvent en dire ce qu’ils veulent, mon idée, à l’issue de ce discours de Trump, que j’ai écouté dans son intégralité, c’est que Trump est un immense président, en effet.
Son message est limpide : contrôle déterminé de l’immigration, arrêt de la duperie climatique.
Qui peut être contre un tel programme ?
Comment ne pas s’interroger en retour, sur la figure de celui que les Français se sont choisi pour représenter notre pays ?
Quelle honte pour nous, de nous voir ainsi, sciemment, entrainés, avec constance, droit au mur, par une si piètre personnalité.
Autre question, où donc se terre bien notre Trump, celui qui, enfin, nous sauverait…
Malheureusement je ne le vois pas, et je constate que les Français, consciencieusement, par leurs votes de mollassons, creusent depuis des décennies, avec une ardeur jamais démentie, leur propre tombe, faute d’accepter, une bonne fois pour toute, de remettre en cause le fondement actuel de notre État : la ripouxblique maçonne.
Notons le titre en manchette du journal Libération, aujourd’hui mercredi 24 septembre 2025 :
ONU Trump emmerde le monde
Une excellente illustration de la défense de la langue française, et de l’agressivité, peut-t-on s’en étonner ensuite, de plus en plus physique, avec laquelle la gôôche exprime désormais ses désaccords.
L’invective, la manière violente, vulgaire, l’invective, voilà bien sa manière de faire, lorsqu’elle est incapable, acculée, accablée par les simples faits, d’argumenter sérieusement.