Il y a deux ans, le film Sound of Freedom avait été taxé de complotisme pour avoir mis en scène la traite d’enfant et le trafic sexuel à destination des puissants. Ses détracteurs lui reprochaient son côté fantasque et de nourrir les théories conspirationnistes qui suggèrent l’existence d’un réseau mondial de violeurs satanistes au sein des élites politiques, financières et médiatiques. Et puis il y a eu l’affaire Epstein. Et puis il y a maintenant le loft d’Howard Rubin.
Célébrissime trader des marchés américains pendant près de 30 ans, l’ex-gestionnaire de la Soros Fund Managment, Howard Rubin a été arrêté le 26 septembre 2025 pour viols et actes de tortures. Déjà inculpé pour trafic d’êtres humains en 2022, il est accusé d’être à la tête d’un réseau de traite sexuelle qui aurait duré de 2009 à 2019.
Comme le rapportent les médias américains et les documents du tribunal, au moins une dizaine de femmes ont été violées et torturées dans son appartement de luxe à Manhattan et en particulier dans une pièce rouge insonorisée nommée « the Dungeon » équipée d’instruments de torture.
« Nous devons la faire pleurer, ce sera amusant ! » écrivait l’homme d’affaires à sa secrétaire, Jennifer Powers, qui a elle aussi été placée en détention. Cette dernière ne partageait pas seulement ses perversions sexuelles, mais s’occupait de la logistique, du nettoyage (dont on imagine aisément ce qu’il comportait) et de la signature des « accords de non-divulgation » que certaines des victimes devaient signer et qui prévoyaient une amende de 500 000 dollars en cas de non respect.
Les échanges entre Howard Rubin et Jennifer Powers mettent en lumière une personnalité des plus sadiques et confirment les plaintes des victimes. L’homme raconte en effet à son assistante les secousses électriques infligées aux parties intimes de ses proies, se plaint de la faible puissance des électrocutions ou moque une femme qui a dû ingérer « beaucoup de Valium » pour supporter la douleur, ajoutant « Elle déteste être soumise, mais elle est fauchée et fera n’importe quoi. Nous devons la faire pleurer ». Dix chefs d’accusation ont été portés contre Rubin et Powers, dont trafic sexuel obtenu par la force, la fraude ou la coercition ; transport de personnes d’un État à l’autre à des fins de prostitution et fraude bancaire.
Ils ne ciblaient pas uniquement des femmes vulnérables – souffrant de dépendance, en situation financière difficile ou ayant des enfants malades -, consentantes pour entretenir des relations sexuelles qui auraient « dérapées » en viol et autres pratiques sexuelles sado-masochistes non-consenties. Plusieurs plaignantes ont également été soumises par la force et/ou la consommation de drogues, battues et violées avec une telle brutalité qu’elles ont dû être hospitalisées. Kevin Landau, l’avocat d’une des victimes (nom d’emprunt Parker), a déclaré dans un communiqué :
« Notre cliente était une jeune et dynamique femme de vingt ans avec un avenir prometteur. La rencontre horrible et violente qu’elle a eue avec l’accusé, comme détaillé dans le procès, est quelque chose que personne ne devrait avoir à endurer. »
Les procureurs fédéraux recherchent actuellement d’autres potentielles victimes sans toutefois révéler les noms des autres membres du réseau. Si George Soros n’est pas directement impliqué, les liens qu’il entretient avec le prévenu ont intensifié la couverture médiatique de cette sordide affaire quelque peu éclipsée par le retentissement du procès Epstein.
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : Capture NY Post (photo d’illustration)
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
4 réponses à “Un proche de George Soros arrêté pour traite sexuelle, viols et torture”
Bonjour,
Puisque ces femmes mettent en place des procès sur la moralité de ce type, pourquoi ne pas juger de leur propre morale ? En l’occurrence,ces femmes n’ont eu aucune morale, ont été prêtes à tout pour un peu d’argent, puis se sont plaintes d’avoir été abusées alors qu’elles ont fait jouer leur indépendance et leur consentement.
Et après, une armée de crétins va dénoncer le crime, tandis qu’ils l’auront nourri. Car combien de petits révoltés face à ces réseaux, feront la promotion de la responsabilité des femmes, notamment morale ? Aucun. Ils préféreront les juger irresponsables puis s’étonneront que de telles abus aient pu avoir lieu. Pour qu’un déviant sado maso puisse satisfaire ses pulsions, il lui faut très généralement des partenaires consentants. En signant ces documents où elles approuvaient d’être torturées, elles se sont mises au niveau de leur tortionnaire. Vous pouvez bien interdire légalement des pratiques morales condamnables, vous ne changerez pas le fond de l’affaire. La traque contre les abus est essentiellement un combat moral et spirituel que chacun doit mener dans son for intérieur. Quand ce travail a été mené, le vrai combat peut être mené. En l’occurrence, il aurait été très facile d’arrêter généralement ces pratiques en exposant les contrats et leurs conséquences pour celles qui les acceptaient. Elles n’en seraient pas devenues meilleures, mais au moins, elles auraient eu honte d’être mises à l’index, et elles auraient refusé de s’engager dans de telles pratiques au risque de se voir imputer la responsabilité de leurs actes.
Cdt.
M.D
Et dire que Soros et sa clique sont de grands donneurs de leçons de morale, c’est à vomir. Mais heureusement la Vérité fini toujours par sortir du puits.
J’imagine que vous justifiez de la même manière les enfants kidnappés, prostitués aux élites à niveau international. Dévoilé dans le film Sound of freedom, tiré d’un fait réel. Vous faites peur, j’adorerais pouvoir vous dénoncer
@Marie Pierre Carbonel de Mazzia : vous considérez donc les femmes à l’égales des mineurs ? Puis vous cherchez à m’assimiler à un pédomaltraitant, en toute illégalité ? Puis vous prétendez faire respecter les lois ? apprenez déjà à les respecter.