Ce que la loi sur la fin de vie révèle de notre effondrement moral
Je me tiens devant la grande croix du cimetière de Tréffiagat. Le vent vient du large, sans colère ni douceur, indifférent comme savent l’être les
Je me tiens devant la grande croix du cimetière de Tréffiagat. Le vent vient du large, sans colère ni douceur, indifférent comme savent l’être les
Je revenais d’un centre médical de Pont-l’Abbé, une analyse de sang de routine, rien qui mérite chronique, sinon le détour imposé par des rues que
Sur le port de Lechiagat, je me tenais ce matin juste devant le portique élévateur, cette cathédrale d’acier bleu modeste et fonctionnelle qui, sans emphase,
Je suis assis au bar des Brisants, à la pointe de Lechiagat, dos au mur, face à l’entrée, comme souvent. La mer est basse, le
Je lis La Nación sur l’écran de mon ordinateur, regrettant de ne pas être à Buenos Aires pour tenir le journal entre mes mains, sentir le papier,
Je lis Libération ce matin-là, lundi 15 décembre, sur l’écran de mon ordinateur posé sur la table de la cuisine. La Ricoré fume doucement dans la tasse,
Mon salon est envahi, non par la hauteur, mais par la longueur. Un mètre cinquante de livres non lus court le long d’un meuble bas,
Au bar des Brisants, à la pointe de Lechiagat, le vent s’engouffre toujours quand quelqu’un pousse la porte. Assis le long du mur, face à

Je m’étais assis, par habitude plus que par nécessité, sur l’un de ces bancs fatigués, autrefois peints en bleu, qui dominent la dune de Lechiagat
Je marchais récemment dans les rues de Quimper et mes pas, conduits par cette géographie intérieure qui nous mène toujours là où l’on ne pensait
Ce dimanche matin, un vent furieux traverse Lechiagat et vient gifler les vitres du Bar des Brisants. Les habitués entrent en secouant leurs cirés comme
Dans ma cuisine de Lechiagat, là où les vents du large s’invitent comme des hôtes anciens, une langue de bœuf d’un kilo quatre repose dans
Je longeais la plage, comme presque chaque matin lorsque la marée et le vent s’y prêtent, entre Lechiagat et Lesconil. Un kilomètre à peine, une

Le Figaro publie sous la plume de Jean Chichizola un article glacé comme un rapport d’état major, où les chiffres tombent un à un, 51 enquêtes
Il y a des soirs où la politique mondiale s’invite sur la table de la cuisine où je prépare une hampe que le boucher m’a
Le vent d’ouest s’était levé tôt ce matin, un vent saumâtre qui remontait les quais du port du Guilvinec avec un bruit d’écailles froissées. Je

Il pleuvait dru sur Lechiagat lorsque je me suis assis dans mon salon, un maté tiédissant à portée de main, les embruns frappant les vitres
Je marchais lentement dans Pont-l’Abbé, un matin que le ciel avait la couleur d’une vieille eau-de-vie oubliée. La rue Jules-Ferry incline doucement vers la rivière,

Je suis dans ma cuisine, tôt le matin, l’eau frémissant dans la vieille bouilloire de fonte, le maté prêt à être humecté. La vapeur monte
Je préparais des cannelloni à l’argentine dans ma cuisine, utilisant ces grandes crêpes salées maison que l’on farcit de viande ou d’épinards, avant de recouvrir
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.