
À Nantes, Johanna Rolland en Wagenknecht ?
À peine avait-elle cédé aux injonctions des amis des migrants en abritant dans des gymnases municipaux les hôtes du square Jean-Baptiste Daviais, le 20 septembre, que Johanna Rolland, maire de Nantes, a affecté de relever la tête. « Désormais, nous ne tolérerons plus aucune occupation illégale de l’espace public », a-t-elle officiellement déclaré le jour-même. Simple rodomontade d’édile dépassée qui tente de