Pou cette nouvelle émission de Politique et Eco (TV Libertés), Olivier Pichon reçoit Jean-Pierre Chevallier, économiste et animateur du site consacré aux questions bancaires et financières .
1) La dette française… UBU roi
– Absurdité et opacité des chiffres officiels
– Les dettes cachées
– Quand la France rembourse ses emprunts avec… des emprunts
– Le coût annuel, intérêts et principal 166 Milliards
– La cavalerie, pratique interdite sauf à l’état.
– Les deux thèses sur la dette : pour les uns ce n’est pas grave, pour les autres, c’est la sécession de paiement à terme
– La crise des Gilets Jaunes, conséquence directe de l’endettement
– Les dettes Allemandes au XXe siècle, elles ne furent jamais payées
– Le traité de Londres en 1953 supprime 62% de la dette allemande
– Le % de la dette française détenu à l’étranger : 53%
– Le curieux bilan de la Banque de France genre usine à gaz : comment ont été financés les 600 milliards de titre détenus par elle ?
– Les Français ne connaissent pas vraiment ce qu’ils doivent
2) De la dette aux banques
– D’autres dettes encore, les garanties d’Etat et les partenariats privé/ public, contre un loyer de financement
– Autoroutes et péages, les Gilets Jaunes instinctivement comprennent le jeu
– Autres dettes possibles, les banques en situation difficile, comme en Grèce à Chypre, en Italie
– L’Etat devra-t-il comme en 2008 porter la main à la poche pour sauver des banques ?
– Le cas de la BNP, première banque européenne, un total des actifs supérieur au PIB français
– Le non respect des règles prudentielles, le leverage soit en bon français, le multiple d’endettement doit inférieur à 10
– Ces banques qui sont montées à 40, aux USA la sanction Lehman Brothers, en France elles demeurent à un niveau trop élevé
– Quelle autorité pour quelle sanction, les banques font la loi.
– Les allers-retours public/privé à la française.
3) La création monétaire, quand certains se prennent pour Dieu
– Une citation de Lloyd Blankfein, patron de Goldman Sachs
– Circulation n’est pas création à condition de respecter le multiple d’endettement
– Sinon : croissance de la masse monétaire et catastrophes afférentes, hyper inflation (Allemagne 1922), bulles spéculatives (2008) etc
– Relation inverse : monnaie / croissance
– L’exemple de Böhm-Bawerck
– Que penser du scénario furtif de sortie de l’Allemagne de l’euro ?
– L’intérêt des Allemands à rester dans l’euro, le mark risquerait d’enchérir et de pénaliser le mercantilisme allemand
– La dévaluation est-elle une défaite ?
– La variable d’ajustement dans l’euro, c’est l’emploi
– Quelques scénarii de survenue de la crise
– Les solutions radicales (article 16) ne seront pas appliquées