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La gestion de la crise du Covid-19, plus grande tromperie de l’Histoire ? Oui répondent Jean-Loup Izambert et Claude Janvier [Interview]

L’éditeur marseillais IS Edition (www.is-edition.com) publie Le virus et le président. Cette enquête sur les dessous de la pandémie Covid-19 réalisée par Jean-Loup Izambert, journaliste d’investigation indépendant et écrivain, et Claude Janvier, écrivain-polémiste, agace certains milieux politiques et d’affaires. Preuve en est la censure de plusieurs vidéos et émissions réalisées par des journalistes et des lanceurs d’alerte sur Internet. S’y ajoute la création de la Coordination Santé Libre (www.reinfocovid.fr) qui regroupes professionnels de la santé et citoyens. Entretien sur des vérités dissimulées qui dérangent.

Breizh-info.com : Certaines de vos interventions sont censurées. Pourquoi ?

Jean-Loup Izambert : Oui, nous avons eu des émissions comme par exemple l’émission réalisée avec Sud Radio en direct avec les auditeurs dont la vidéo a été censurée quelques heures plus tard ou la vidéo réalisée par le site Internet www.planetes360.fr qui a été également censurée. Heureusement, la vidéo reste visible à l’intérieur du site de Planètes360.  De même, TV Libertés a eu plusieurs de ses émissions censurées pour avoir diffusé les points de vue argumentés de scientifiques qui contestent la politique du gouvernement. Cela vient d’être encore le cas avec la censure par YouTube de l’émission Le Samedi Politique dans laquelle la journaliste Elise Blaise interview la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Cette femme est très dangereuse pour le pouvoir et ses affidés : c’est une scientifique instruite, cultivée et connue dans les milieux scientifiques internationaux. Spécialiste de l’ARN, ancien directeur de recherche de l’Inserm, membre du Comité Ethique d’Ile-de-France et directrice de l’Institut Simplissima elle dénonce la gestion gouvernementale de la crise sanitaire et les dangers des « vaccins géniques expérimentaux » comme ceux de Pfizer/BioNTech. Nous tenons à remercier notre éditeur Harald Bénoliel pour son engagement dans la défense du livre et les journalistes, lanceurs d’alerte et internautes qui nous apportent leur soutien en nous interviewant et publiant des articles qu’ils diffusent. Ce sont autant de brèches ouvertes dans le mur de la censure. User de la censure pour refuser la confrontation des idées c’est déjà un aveu de faiblesse. Voir YouTube, la filiale de Google, mettre des interdits à l’heure de nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) est assez comique. Bien sûr les internautes ne sont pas forcés de rester chez Google. Ils peuvent très bien se tourner vers d’autres outils informatiques tout aussi performants comme Yandex où ils ne seront pas censurés.

Claude Janvier : Contrairement à la plupart des médias qui travaillent souvent dans l’urgence nous ne nous contentons pas de rapporter l’actualité immédiate en la commentant. Notre enquête prend du recul sur l’actualité. Cela nous permet de donner un éclairage bien différent de la réalité et d’expliquer se qui se passe réellement derrière tel ou tel fait.

Breizh-info.com : En quoi cette crise sanitaire est-elle « l’une des plus grandes tromperies de l’Histoire » ?

J-L.I. : D’abord, les chiffres diffusés par le gouvernement, le ministre de la Santé et certaines administrations ne correspondent pas du tout à la réalité de la maladie. Ils sont largement surestimés. 

Breizh-info.com : Prouvez-vous que les chiffres diffusés par le gouvernement et des administrations sont surestimés ?

J-L.I. : Oui, nous le démontrons dans Le virus et le président en nous référant à différentes analyses comme celle du général Dominique Delawarde, du docteur Peter El Baze, créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies) qui connaît bien la question de la collecte des données dans le secteur santé, de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) ou encore de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). 

Breizh-info.com : Mais la plupart des journalistes utilisent ces données officielles ?

J-L.I. : Oui mais mêmes celles-ci doivent être vérifiées. Par exemple, lorsque des médias annoncent des dizaines de milliers de morts de la Covid-19, ceux-ci oublient de dire que leurs chiffres comprennent des milliers de personnes qui ne sont pas décédées de la Covis-19 mais avec la Covid-19 ce qui est bien différent ! Les statistiques officielles ne font pas de différence. Autre exemple : au 10 janvier 2021, l’OMS recense dans son Bulletin épidémiologique hebdomadaire de suivi de la pandémie 67 217 décès pour la France et au niveau mondial 1,91 million de décès depuis le début de la pandémie. Or, si vous vous référez aux données diffusées par Santé publique France, l’agence du ministère de la Santé, vous avez des chiffres bien différents. Dans sa synthèse en date du 17 janvier, Santé publique France indique un « nombre cumulé de personnes décédées avec diagnostic covid-19 depuis le 1er mars 2020 » de 49 898 soit quand même un écart de 17 319 personnes décédées ! Cela pour vous dire la difficulté de savoir ce qu’il en est exactement de la réalité de la maladie Covid-19 que nous analysons dans Le virus et le président. Imaginez maintenant les journalistes qui doivent travailler pratiquement au jour le jour avec des chiffres complètement différents bien que provenant de sources officielles, donc a priori fiables… Le pire c’est que les élus, dirigeants d’administrations, de syndicats, d’associations travaillent avec ces mêmes données souvent fausses.

Quelles autres raisons participent à cette tromperie ?

 C.J. : Celle-ci ne se limite pas à la diffusion de fausses nouvelles alarmistes sur le danger du virus, le  nombre de personnes décédées ou des « vaccins miracles ». Par sa politique de destruction du système de santé publique le gouvernement est responsable de la crise sanitaire, crise qu’il fait porter au virus et sa maladie. Si la France avait disposé de suffisamment de personnels de santé qualifiés, de structures de soins en nombre et de qualité et d’une organisation sanitaire efficace digne d’un Etat moderne une petite pandémie comme celle de la Covid-19 aurait été endiguée. Pour camoufler sa part de responsabilité dans cette crise sanitaire et se protéger de critiques qui pourraient lui être fatales le gouvernement impose des mesures disproportionnées, injustifiées et inadaptées. Celles-ci portent atteinte aux libertés fondamentales et aux droits sociaux et font de la France une véritable dictature sanitaire. Jamais depuis les années noires de l’Occupation les Français n’ont été ainsi privés de leurs droits, contrôlés et réprimés. Agissant ainsi, ce président, son Premier ministre et son gouvernement aggravent la destruction du contrat social français et précipitent le pays dans une crise économique, financière et sociale sans précédent. 

Dans votre enquête vous montrez que le gouvernement utilise cette crise sanitaire pour dissimuler ses responsabilités dans la crise économique et financière. Comment cela en quelques mots ?

C.J. : Le président Macron, son Premier ministre Castex et son gouvernement utilisent cette crise sanitaire en attribuant mensongèrement – les déclarations en manquent pas – à la maladie Covid-19 la responsabilité de la crise économique et financière dont ils sont également responsables par leur politique. Le « Macronavirus » sévissait déjà depuis près d’une décennie, depuis que monsieur Macron fut introduit à l’Elysée comme Secrétaire général adjoint du président Hollande, avant l’apparition du SRAS-CoV-2. Ce n’est pas la Covid-19 qui est responsable du fait que la France soit devenue l’un des pays européens où l’activité industrielle est la plus faible avec un secteur industriel qui ne représente plus que 11 % de son activité économique ! Bien avant la Covid-19 l’augmentation du chômage, de la précarité et de la pauvreté était une donnée constante des indicateurs économiques. A ce stade de dissimulations et de mensonges d’Etat les gouvernements du président Macron ont plutôt l’allure d’équipes de fossoyeurs qui enterrent la France à coups de recommandations de l’Union « européenne ».

Breizh-info.com : Comment le président Macron et ses gouvernements sont-ils  responsables de ces crises ?

J-L.I. : Monsieur Macron a été élu en 2017 par une majorité de votants, et non de Français, pour poursuivre la politique de ses prédécesseurs décidée à Bruxelles et alignée sur celle de Washington. Il a annoncé à l’époque vouloir supprimer 120 000 emplois dans la fonction publique dont le secteur de la Santé. Et le voilà qui vient aujourd’hui déclarer vouloir « reconstruire une économie forte et souveraine » alors qu’il  ne cesse de la détruire en soumettant la France aux ordonnances et Grandes orientations de politique économique décidées à Bruxelles ? Soyons sérieux ! C’est un peu comme si une dinde fêtait Noël et c’est là le propos d’un esbroufeur ! Voyez, par exemple, comment ce président, son Premier ministre Philippe et son gouvernement ont favorisé la liquidation de la société française Alstom, fleuron de notre économie, en la donnant, sous couvert de privatisation, à la tueuse d’emplois étasunienne General Electric !… Avec son élection les privatisations se sont poursuivies de plus belle et le pays se noircit d’un chômage exubérant. 

Breizh-info.com : Pourtant les statistiques officielles ne prévoient qu’une légère hausse du chômage. Alors qu’en est-il exactement ?

C.J. : Dans ses projections macroéconomiques de janvier 2021, la Banque de France indique que le chômage pourrait passer d’un pic de près de 11% en 2020 à une prévision incertaine  de 9,1% à la fin 2022. Malheureusement ces chiffres officiels ne correspondent pas du tout à la réalité économique.

Breizh-info.com : Comment les chiffres officiels du chômage peuvent-ils ne pas correspondre à la réalité économique ? 

C.J. : Les chiffres de Pôle Emploi, par exemple, sont présentés comme étant ceux de « toutes les catégories » de chômeurs. C’est faux ! En réalité ceux-ci laissent près de 16 millions de personnes  – ce n’est pas rien ! – sans emploi, en emploi précaire ou sous-employées en dehors des statistiques officielles. Ainsi que nous le montrons dans Le virus et le président en nous appuyant sur différentes sources le véritable taux de non-emploi total et précaire est en réalité de plus de 55 % ! Nous pataugeons dans un déficit et une dette publiques record, la précarité et la misère endeuillent notre pays tandis que « les écrasés » s’en mettent plein les fouilles. 

Breizh-info.com : Vous consacrez un chapitre à ceux que vous appelez « les écrasés ». Qui sont-ils ?

J-L.I. : Ce sont ces grands propriétaires privés de la finance et de l’économie multimilliardaires regroupés au sein de l’organisation patronale Medef. Chaque année les sociétés transnationales qu’ils dirigent reçoivent plus ou moins 200 milliards d’euros de la puissance publique et de l’Union dite « européenne ». C’est assez amusant de la part de gens qui ne cessent de dénoncer un prétendu «interventionnisme de l’Etat » et se disent « écrasés de charges » depuis des décennies ! En réalité ils sont l’une des plus lourdes charges dans le budget de l’Etat comme dans celui des entreprises qu’ils dirigent. Car que font-ils avec ces milliards d’euros ? Ils assassinent l’emploi et la production française dans une opacité comptable et un libéralisme de caste quasi-total, ponctionnent les entreprises de milliards d’euros qu’ils se répartissent en dividendes en les privant d’investissements, évitent le fisc en évadant à l’étranger partie des bénéfices des sociétés qu’ils dirigent et de leurs richesses. Et l’Etat leur verse encore des milliards d’euros pour financer le chômage qu’ils créent alors qu’ils continuent de coter à la hausse en Bourse ! 

Breizh-info.com : Mais n’est-il pas  normal que l’Etat aide les entreprises alors qu’il y a une crise sanitaire ?

C.J. : Que l’Etat soutienne l’activité des TPE et PME-PMI qui créent des emplois et innovent ou cherchent des coopérations avec des entreprises d’autres pays oui. Mais qu’il apporte sous forme de subventions, d’aides diverses et d’exonérations fiscales des milliards d’euros à des sociétés transnationales du SBF 120, principalement les sociétés du CAC40, qui réalisent les plus importants chiffres d’affaires, paient le moins d’impôts en regard de leurs chiffres d’affaires, ne créent pas d’emplois en France, exportent partie de leur chiffre d’affaires et évitent le fisc par des montages financiers opaques avec des structures basés en offshore non ! Nous traitons notamment de cette question de la « finance de l’ombre » dans le chapitre 11 400 milliards en secret. 

Breizh-info.com : Vous dénoncez la gestion opaque des entreprises. Qu’est-ce à dire ?

J-L.I. : Cela veut dire que tous les acteurs des entreprises devraient pouvoir accéder et contrôler la comptabilité des entreprises. Nous en sommes loin puisque même certains actionnaires ne peuvent pas accéder aux comptes avant les assemblées générales annuelles. Cela pose la question d’un saut qualitatif de la démocratie dans la gestion des entreprises qui implique également une connaissance des éléments essentiels de cette gestion. Si vous ouvrez les livres de comptes, vous vous apercevez qu’il ya de l’argent, beaucoup d’argent dans les grandes entreprises pour augmenter les investissements, créer des emplois, augmenter les salaires, développer des coopérations et améliorer les conditions de travail qui sont aussi une condition de la performance des entreprises. Or, c’est tout l’inverse qui se passe. Plus le Capital se concentre plus la gestion devient une affaire d’initiés alors que les moyens technologiques permettent à l’ensemble des acteurs de l’Entreprise de jouer un rôle  nouveau. 

Breizh-info.com : La crise sanitaire a quand même pour conséquence une augmentation du chômage et des difficultés pour l’économie ?

J-L.I. : Bien évidemment mais ces difficultés ne touchent pas tous les secteurs de l’économie de la même manière. Comme nous le montrons avec un rapport très peu médiatisé de la Janus Henderson Investors (JHI), société spécialiste de la gestion d’actifs mondiaux basée à Londres, ces grands propriétaires privés de la finance et de l’économie ne sont pas touchés par la crise sanitaire. Les difficultés économiques annoncées par le ministre de l’Economie du gouvernement Castex sont réservées à d’autres. Les analystes de JHI prévoient qu’au niveau mondial « les dividendes devraient augmenter de 4 % en 2020, pour atteindre 1 480 milliards de dollars US, soit une hausse de 3,9 % des dividendes totaux par rapport à 2019. Les choses sont en bonne voie pour que les dividendes atteignent, en 2020, un nouveau montant historique pour la cinquième année consécutive.»

Breizh-info.com : Comment l’Union européenne contribue-t-elle au démantèlement du système de santé publique français ?

C.J. : Nous examinons cette question en détails dans le chapitre du livre intitulé Mort programmée sur ordonnances. Il s’agit, bien sûr, des ordonnances de l’Union dite « européenne ». Rien qu’entre 2011 et 2018, la Commission européenne a recommandé à 63 reprises aux États membres de privatiser des pans entiers du secteur de la santé publique et de réduire de plusieurs milliards d’euros les dépenses de santé publique. Cette politique appliquée à la France depuis 1992 mais tout particulièrement depuis le président atlantiste Sarkozy produit aujourd’hui des résultats catastrophiques. Dans le secteur de la santé publique les fermetures de structures de soins et la suppression de milliers d’emplois qualifiés se poursuivent. Entre 1993 et 2018, 103 000 lits d’hôpitaux ont été supprimés et 40% des maternités fermées. Dans le même temps, partout en France la situation des « déserts médicaux » a continué de se détériorer ainsi que le souligne une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) publiée en février 2020. Le nombre de médecins a également continué de diminuer. Comparé à Cuba qui est le premier Etat au monde pour la qualité de son système de santé avec notamment 8,2 médecins pour 1000 habitants, la France n’en comptait plus que 3,2 médecins pour 1000 habitants en 2019.  Dans le même temps la Fédération de Russie, la Suède, la Hongrie ou l’Autriche augmentent leur nombre de praticiens avec chacun entre 4 et 5 médecins pour 1 000 habitants. Résultat de l’application des recommandations de l’Union « européenne » : aujourd’hui 7 Français sur 10 reportent des soins ou renoncent à se soigner faute de moyens financiers, en raison de délais d’attente trop longs ou de pouvoir accéder à un spécialiste! C’est ce que le président Macron appelait lors de la campagne électorale des élections des « dépités » européens de mai 2019 « l’Union européenne qui nous protège ». Ce n’est donc pas le virus SRAS-CoV-2 qui est responsable de la crise sanitaire mais bien les politiciens de Maastricht qui livrent notre bien le plus précieux, la santé, aux intérêts égoïstes de grandes sociétés privées pour lesquelles seul compte le profit financier maximum immédiat. 

J-L.I. : Il faut dire aussi que malgré la crise sanitaire dont il est responsable le gouvernement Castex continue de réduire les moyens de la santé publique. Les fermetures de lits d’hôpitaux continuent. Alors que 69 000 places d’hospitalisation à temps complet ont été supprimées entre 2003 et 2017, des milliers d’autres sont en cours. BastaMag (www.bastamag.net) en a dressé une première liste à la fin du mois d’octobre 2020 : 50 lits d’hospitalisation à l’hôpital de Juvisy, en région parisienne ; 28 places au CHU de Besançon ; 80 lits seraient supprimés d’ici à 2022 à l’hôpital psychiatrique du Rouvray, près de Rouen ; 75 places d’hospitalisation à celui du Vinatier, à Lyon ; 174 lits d’ici à 2024 au CHU de Nancy ; près de 100 lits au CHU de Nantes ; 184 lits en moins d’ici à 2027 au CHU de Reims ; suppression de 200 lits à l’horizon 2026 à Caen ; 200 lits en moins de prévu au CHU de Nice ; 230 lits à Marseille, etc. Un chiffre illustre la désastreuse politique de santé qui se poursuit depuis des années : en 2018, dans le département du Lot 17 accouchements ont eu lieu sur le bord de la route faute de maternité de proximité !

Breizh-info.com : Quels rapports entre la crise sanitaire et la crise économique et financière ?

C.J: Cette crise sanitaire n’a fait qu’aggraver la crise économique et financière résultant de la politique gouvernementale. Ce sont surtout les mesures totalement injustifiées prises par le gouvernement qui sont en train de détruire l’économie française, qui plus est celle des indépendants, des TPE et PME, artisans et commerçants qui est en France le secteur créateur d’emplois contrairement aux sociétés transnationales du CAC 40 qui ne créent pas d’emplois en France alors qu’elles bénéficient des largesses de l’Etat. Comme nous le rapportons dans Le virus et le président plusieurs organismes comme le Haut Conseil des finances publiques ont alerté sur cette situation économique à hauts risques plusieurs mois avant la Covid-19. Dans le courant de l’année 2019, bien avant que n’apparaisse la Covid-19, Wall Street estimait qu’ « un krach financier paraît inévitable ». C’est la même Union faussement qualifiée d’« européenne » qui permet aux grandes sociétés du lobby pharmaceutique, Big Pharma, de réaliser dans le même temps des milliards d’euros de profits sur le dos de la santé des Français.

Breizh-info.com : Vous déconseillez aux gens de se faire vacciner contre la Covid-19 ?

C.J.: Oui, surtout en l’état actuel des choses. Le docteur Pascal Trotta, préfacier de Le virus et le président, rappelle qu’il faut des années pour mettre au point un tel vaccin contre un nouveau coronavirus mutant rapidement.

Mais en attendant que le vaccin soit au point, comment se faire soigner ?

C.J. : Ce n’est pas un vaccin au sens classique du terme mais plutôt, en ce qui concerne les vaccins comme celui de Pfizer/BioNTech, « un vaccin génique expérimental » comme les qualifie la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Il existe des traitements, comme l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine et au zinc qui permettent de soigner de la Covid-19. Mais pour qu’il soit efficace celui-ci doit être appliqué dès l’apparition des premiers symptômes. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui a obtenu, le 13 janvier 2020, de faire classer  l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes sur la liste II des substances vénéneuses par le ministère d’Agnès Buzyn a jeté un trouble sur ce médicament. Cette décision a entraîné la fin de la vente libre de l’hydroxychloroquine quelques dizaines d’années après son autorisation. C’est une décision qui va contre la liberté de prescription du médecin et, de plus, pour un médicament qui peut soigner de la Covid-19  ainsi que de nombreux médecins l’ont prouvé en traitant avec succès des milliers de malades. Il est regrettable que ce succès médical n’ait pas bénéficié de la même campagne nationale médiatique que celle menée pour des vaccins aux effets encore inconnus de sociétés pharmaceutiques pressées de réaliser des profits… Derrière cette décision contre l’hydroxychloroquine du ministère français de la Santé vous retrouvez la bataille des sociétés transnationales de la pharmacie. Il se trouve que Sanofi qui produit ce médicament peu coûteux et dont l’efficacité n’est plus à démontrer s’est engagée dans la course au vaccin contre la Covid-19, beaucoup plus rentable financièrement, sur la base de celui préparé pour le virus SRAS. Nous entrons là dans le monde des « assassins financiers » que nous décrivons.

Breizh-info.com : Qui sont ceux que vous appelez les « assassins financiers » ? 

J-L.I. : Ce sont des sociétés de conseil, principalement étasuniennes et généralement dirigées par des anciens militaires, membres de lobbies ou de services de renseignement US, qui préparent pour des transnationales des plans d’action qui leur permettent de s’approprier de « nouveaux territoires économiques ». Ceux-ci peuvent être des richesses du sous-sol, de l’agro-alimentaire, des entreprises comme Alstom, des régions ou de nouveaux marchés comme celui des médicaments et des vaccins. Cela va d’influences multiformes sur des décideurs à la guerre en passant par des sanctions économiques et financières contre des Etats, des ingérences et subversions, l’endettement de pays et autres joyeusetés de l’oligarchie financière. La journaliste et écrivaine Rachel Knaebel, auteur d’une série d’enquêtes sur les parlementaires français et les réseaux d’influence, rappelle que « plusieurs parlementaires sont eux-mêmes d’anciens lobbyistes (…) le plus grand nombre exerce leurs activités de conseil à travers le statut d’avocat. » Il ne faut donc pas s’étonner de voir la campagne de vaccination et ces vaccins promus par le gouvernement et la plupart des médias alors qu’aucun d’entre eux, quel que soit son producteur, n’a pu être mis au point jusqu’à être efficace et sûr en aussi peu de temps. Déjà, en juillet 2010 un rapport de la commission d’enquête  du Sénat initiée par les élus communistes sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le Gouvernement de la grippe A (H1N1) soulignait « l’opacité de l’OMS et son incapacité – ou son manque de volonté – à gérer les conflits d’intérêts en son sein. » En comparant les développements politiques, économiques, sanitaires et médiatiques lors de la crise sanitaire avec le virus H1N1 avec ceux du SRAS-CoV-2 nous constatons de fortes similitudes jusqu’à la production de vaccins dont les Français ont découvert  plus tard, en 2010, leur inutilité. Visiblement, ce pouvoir continue de flirter avec le crime.

Breizh-info.com : N’est-ce pas exagéré de parler de crime ?

C.J. : Non. Permettez-moi de citer un passage de ce rapport du Sénat : « Les débats du groupe de travail réuni le 23 janvier 2009, souligne le lien entre la peur de la population et la commercialisation de vaccins prépandémiques. A la question « Quel serait l’intérêt d’un tel vaccin prépandémique ? » un des participants, M. Jonathan Van Tam, professeur en protection de la santé à l’Université de Nottingham, répond ainsi : «Cela dépend de quand vous le donnerez et combien la population aura peur au moment où vous l’administrerez ». Cette observation a été formulée quelques mois avant le déclenchement de la pandémie grippale. » Vous comprenez pourquoi ce rapport et les enquêteurs de la commission d’enquête sénatoriale n’ont pas été très sollicités par les médias… Et aujourd’hui ? N’est ce pas criminel de voir certains représentants de ces transnationales de la pharmacie faire pression de manière scandaleuse sur les instances de l’Union « européenne » afin d’accélérer la mise sur le marché de leurs vaccins dont ils ne peuvent garantir ni l’efficacité ni la sûreté à 100% ?! N’est-ce pas criminel que de voir le gouvernement français céder, en accord avec Bruxelles, aux exigences de ces sociétés transnationales en passant outre l’avis des élus de la nation ?! N’est-ce pas criminel que ce gouvernement développe une telle campagne de vaccination avec des vaccins pour lequel à l’heure actuelle il n’existe aucune preuve scientifique de son efficacité dans la durée comme de son efficacité à empêcher la transmission du virus et cela alors que les premiers effets secondaires et décès surviennent suite à des vaccinations ?! 

Breizh-info.com : A propos des effets secondaires, pourquoi les producteurs de vaccins veulent-ils en faire porter la responsabilité à l’Etat ?

J-L.I. : Mais parce qu’ils savent justement qu’ils ne peuvent en garantir ni l’efficacité ni la sûreté tout particulièrement en ce qui concerne la vaccination avec des vaccins dits à ARNm. Celle-ci consiste à injecter une forme atténuée ou inactivée d’un agent infectieux ou certains de ses composants dans l’organisme pour le préparer à un contact ultérieur avec un virus. Et en la matière les effets secondaires sont inconnus, notamment sur le long terme. Comme le dit la généticienne Henrion-Caude, « nous sommes dans l’expérimentation la plus totale dont nous ne connaissons pas les effets secondaires ». Une fois encore, ils cherchent à vendre massivement leurs vaccins pour réaliser un maximum de profits en un minimum de temps et si des effets secondaires surviennent ce seront les Etats qui les prendront juridiquement et financièrement en charge à leur place. En cas de décès les familles devront se retourner contre l’Etat…

Breizh-info.com : Comment le pouvoir politique peut-il céder à ces pressions alors que la vie des citoyens est en jeu ?

J-L.I. : Mais parce que ce pouvoir politique est un pouvoir atlantiste, c’est-à-dire aligné sur l’U.S.Imperium. Tout comme le président Sarkozy et le président Hollande, le président Macron aligne la France sur les choix politiques de Washington et se courbe devant les intérêts des sociétés transnationales étasuniennes. L’affaire Alstom et bien d’autres traités et abandons de souveraineté en témoignent. Ce pouvoir est redevable à ceux qui lui ont permis d’accéder à la direction des affaires de l’Etat et sa durée dépend pour une bonne part de sa servitude à défendre les intérêts des grands possédants. Du reste, l’Union « européenne », ce conglomérat des atlantistes du versant ouest de l’Europe,  appert une fois de plus comme un relais du pouvoir politique et économique de Washington en appliquant une nouvelle fois le droit étasunien. Aux Etats-Unis, le PREP Act, adopté par le Congrès et signé par George Bush en décembre 2005, protège les sociétés transnationales de la pharmacie productrices de vaccins de toutes poursuites judiciaires et les dédouane de toutes indemnités à payer pour les effets indésirables des vaccins. Cela veut dire que la Sécurité sociale va payer demain les traitements des malades qui seraient atteints d’effets secondaires suite à la vaccination et que les firmes qui en seraient responsables ne pourront pas être poursuivies. Responsable mais pas coupable !… 

Breizh-info.com : Comment savoir à quoi s’en tenir alors qu’aucune documentation scientifique n’est produite sur ces vaccins par leurs fabricants, que les médias et des professionnels de la santé participent à cette campagne de vaccination ?

C.J. : Nous suggérons aux médecins et infirmières qui en pratiquant  cette vaccination semblent oublier qu’ils sont avant tout au service de l’être humain de lire Le Vidal, « la bible » des professionnels de la santé. Dans un article très détaillé publié le 10 décembre dernier sur le vaccin génique expérimental de Pfizer/BioNTech, Le Vidal souligne que « Les questions relatives à l’efficacité demeurent en suspens », que « des effets indésirables post-injection (sont) plus sévères chez les moins de 56 ans » et surtout que « la question d’une éventuelle toxicité à long terme se pose toujours, ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. » C’est dire que ce vaccin reste plein d’incertitudes à ce stade alors que le gouvernement le fait injecter à des millions de personnes sans que son étude soit achevée.

Breizh-info.com : La dangerosité de ces vaccins est-elle certaine ?

J-L.I.: Pour le savoir encore faudrait-il que leur processus de mise au point soit achevé, ce qui ne peut l’être actuellement pour aucun vaccin contre la Covid-19 quel que soit son fabricant. De plus, ce virus a déjà muté plusieurs fois et la souche utilisée par les fabricants de vaccins a changé, ce qui pourrait avoir une incidence sur l’efficacité des vaccinations actuellement en cours. Cela veut dire que le gouvernement français, comme d’autres tout aussi irresponsables, encourage l’utilisation d’un vaccin en n’ayant aucune certitude scientifique ni sur son efficacité ni sur sa sûreté et en ne connaissant pas les effets secondaires qu’il peut provoquer. Il faut rappeler que la conception d’un vaccin passe par plusieurs phases et demande plusieurs années avant d’être achevée. Ce protocole est rappelé très clairement par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Pour la Covid-19 les candidats vaccins ont bénéficié d’un calendrier sur mesure de l’OMS. Celle-ci, sous influence des contributions financières à son budget  de sociétés transnationales depuis plusieurs années, a décidé de pouvoir juger de l’efficacité du vaccin à partir d’une réduction de 50% des infections. Du jamais vu ! Et pourquoi pas 40 ou 20% ?! Dans ces conditions, il semble difficile que les contrôles sécuritaires puissent être respectés.

Breizh-info.com : Comment réagit selon vous le milieu scientifique et soignant vis-à-vis de ces vaccins ?

C.J. : De plus en plus de scientifiques mettent en garde contre l’utilisation de ces vaccins géniques expérimentaux par le simple fait qu’il ne peut exister à ce stade une assurance totale sur leur efficacité et leur sûreté. Vous constaterez qu’en France les médias ne leur donnent pratiquement jamais la parole même si l’on commence à voir de nombreux décès suivant ces vaccinations. Des médecins et scientifiques alertent même sur la dangerosité possible de ce vaccin inachevé. Le docteur anglais Michael Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de la société pharmaceutique Pfizer lui-même et son confrère allemand, Wolfgang Wodarg, ancien président du comité Santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, sont intervenus début décembre auprès de l’Agence européenne du médicament. D’autres chercheurs, médecins de toutes spécialités à travers le monde prennent de plus en plus position contre ces « vaccins à la va-vite » qui ne peuvent être vraiment efficaces et sûrs en si peu de temps, tout particulièrement pour un nouveau virus. De plus ce virus a déjà muté plusieurs fois depuis qu’il a été détecté. En France, la Coordination Santé Libre, organisée en plusieurs cellules, a été fondée officiellement le 9 janvier 2021. Elle regroupe aujourd’hui plus de 30 000 médecins, autant de soignants et a déjà reçu le soutien de plus de 100 000 citoyens. L’une des cellules de la Coordination Santé Libre est consacrée à la réinformation sur la Covid-19 (www.reinfocovid.fr). Les médecins, personnels de santé, scientifiques, journalistes et tout citoyen  peut y trouver des informations scientifiques, juridiques et pratiques précises, claires et bien documentées sur  la réalité du virus, de sa maladie et les actions en cours de Santé Libre. 

Breizh-info.com : Pourquoi ne traitez-vous pas de la question des vaccins dans “Le virus et le président” alors que vous révélez des faits peu connus sur les « profiteurs pandémiques » ?

J-L.I. : Nous avons d’abord voulu traiter de la manière dont le pouvoir politique français et l’Union « européenne » ont agi face à la pandémie du virus SRAR-CoV-2. Très vite il est apparu que ceux-ci tentaient de camoufler leurs responsabilités dans les deux crises, sanitaire et économique et financière, en rendant la première responsable des conséquences de la seconde. Ce que le général Dominique Delawarde appelle « l’hystérisation de l’opinion publique » par les médias, et que nous décrivons notamment au-travers de l’enquête menée par l’Institut national audiovisuel, nous a conduit à examiner les aspects politiques, sanitaires et médiatiques de cette crise. Nous sommes des enquêteurs et nous recherchons la vérité vraie. En conséquence, bien que nous ayons déjà des éléments sur les manœuvres, tant à Bruxelles qu’à Paris, de dirigeants de sociétés transnationales pour s’accaparer le marché des vaccins nous avons préféré prendre du recul pour traiter cette question de manière plus complète et précise. C’est ce que nous ferons dans un nouvel ouvrage auquel nous travaillons. Celui-ci sera consacré, au-delà de la seule question de la santé et de ces vaccins, à la manière dont les centres politiques et économiques de Washington colonisent les esprits au quotidien et aux conséquences en cours pour les Français. 

Breizh-info.com : Que pensez-vous des nouvelles  mesures du gouvernement Castex ?

C.J. : Ce président, ses Premiers ministres et ses gouvernements ont laissé mourir des gens alors que les médecins généralistes étaient mobilisés pour les traiter avec l’hydroxychloroquine. Si ce médicament avait été promu et recommandé dès le début de la crise sanitaire de nombreuses vies auraient sûrement pu être sauvées et le pays ne serait pas dans l’état où il est aujourd’hui. Concernant le Premier ministre Jean Castex, au vu des mesures folles-dingues et répressives dans lesquelles il enferme et plombe la France, inutile de préciser qu’il est un ancien de l’ENA. La vaccination de masse qu’il tente d’imposer à la France est une aberration totale. Les relevés hebdomadaires du réseau Sentinelles de l’Inserm indiquent que même avec des augmentations épisodiques irrégulières du nombre de personnes infectées la tendance générale sur ces derniers mois est à la régression du virus. Comme l’a dit le professeur Christian Perronne « l’épidémie est en train de disparaître (…) Ce vaccin est une foutaise purement financière. » 

J-L.I. : Un autre point important que rappelle la Coordination Santé Libre : la vaccination de masse ne se justifie que lorsque « la maladie a une létalité importante et qu’il n’existe pas de médicaments permettant de la traiter. » Lorsqu’elle est traitée précocement, la létalité de la Covid-19, c’est-à-dire le nombre de personnes décédées sur le nombre de personnes infectées, est aux alentours de 0,5%. Comme la grande majorité des virologues, Santé Libre souligne que ce taux « ne relève pas d’une très forte létalité dans le domaine des maladies infectieuses. » Concernant les médicaments, la Coordination indique qu’ « un grand débat est ouvert sur la question de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine. Si ces molécules s’avèrent finalement efficaces au moins en traitement voire en prophylaxie, la justification de la vaccination de masse s’écroule. » Ces nouvelles mesures gouvernementales sont donc totalement injustifiées. J’ajoute qu’il est pour le moins curieux que les dirigeants français n’exigent pas plus de garanties de Pfizer sur son « vaccin génique expérimental » dont les dirigeants veulent se débarrasser des effets secondaires non documentés à ce jour quand on sait que cette transnationale de la pharmacie a déjà été condamnée à une amende record de 2,3 milliards de dollars pour « pratiques commerciales frauduleuses » sur plusieurs médicaments (le Bextra, l’antipsychotique Geodon, l’antibiotique Zyvox et l’antiépileptique Lyrica.)! Au bout de six années de procédures la transnationale Pfizer a été condamné en septembre 2009  avec une mesure de surveillance pendant cinq années. Puis, en 2016, Pfizer a dû payer 107 millions de dollars au Royaume-Uni pour avoir augmenté le prix du médicament antiépileptique Epanutin de plus de 2600%. De telles pratiques sur autant de médicaments ne sont pas vraiment un gage de sérieux et il est surprenant que les autorités françaises comme celles de l’Union européenne n’aient pas été plus exigeantes vis-à-vis de Pfizer, tout particulièrement pour un vaccin génique expérimental massivement diffusé pour la première fois!

Breizh-info.com : Peut-on dire que la France soit devenue une dictature sanitaire ?

C.J. : Oui et le docteur Pascal Trotta explique comment dans la préface de notre livre. En quelques mois, depuis le mois d’octobre les choses se sont considérablement aggravées : augmentation considérable des personnes en dépression, des maladies psychologiques toutes tranches d’âges confondues, suicides, dégradation de l’économie, etc. Cet état d’urgence dure depuis le début du mois de mars 2020 et le gouvernement veut tenter de la prolonger encore jusqu’au 31 décembre 2021. Cela veut dire que nous sommes en pleine dictature sanitaire puisque toute la population française est désormais soumise à des décisions unilatérales du pouvoir exécutif en raison du fait que dans le cadre d’un état d’urgence les deux chambres parlementaires ne servent quasiment à rien !

J-L.I. : Comme le dit Martine Wonner, psychiatre et députée, membre de la Coordination Santé Libre, « les citoyens français n’ont plus la liberté de circulation, la liberté d’entreprendre, la liberté d’expression, la liberté de prescription médicale pour les médecins et toutes ces privations de libertés ont des impacts catastrophiques. » C’est pourquoi elle a déposé à l’Assemblée nationale un projet de résolution demandant la suppression de l’état d’urgence sanitaire. Face à une telle situation dramatique et aux éléments que nous rapportons dans Le virus et le président comme de ceux dont chacun peut prendre connaissance sur le site Internet de la Coordination Santé Libre (www.reinfocovid.fr), comment ne pas soutenir sa démarche et celle des citoyens engagés pour la défense des libertés et de la santé publique ?!

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
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2 réponses à “La gestion de la crise du Covid-19, plus grande tromperie de l’Histoire ? Oui répondent Jean-Loup Izambert et Claude Janvier [Interview]”

  1. Pour l’instant je suis les conseils de mon médecin de famille et je vais me faire vacciner en Février étant une personne très fragile merci pour ces infos

  2. […] « La gestion de la crise du Covid-19, plus grande tromperie de l’Histoire »http://www.breizh-info.com/2021/01/23/157665/la-gestion-de-la-crise-du-covid-19-plus-grande-tromper… […]

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