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QI, races, différences, intelligence, délinquance, wokisme. Tour d’horizon du négationnisme biologique

Nous examinerons différentes théories pseudo-scientifiques en vogue ayant en commun une sur-considération du rôle de l’environnement et une négation des variations bio-génétiques entre individus.

Négationnisme biologique

Biais sociologiques

Réalité scientifique

INTELLIGENCE

« L’intelligence n’est pas génétique, elle est éducative »
J. Attali (2018)

Les variations d’intelligence sont des variations dans les gènesi.

La distinction entre un homme intelligent et un homme peu intelligent est avant tout génétique.

Le niveau d’intelligence d’un individu prédit très peu d’éléments.

« L’intelligence est hautement héréditaire et prédit une proportion plus importante de l’éducation, des résultats professionnels, socio-économiques et de santé que n’importe quel autre traitii » (Nature, 2018).

L’intelligence peut être augmentée par stimulation sociale.

L’intelligence est aussi héritable que la couleur des yeux (0.85 à l’age adulte). L’environnement socio-éducatif n’a pas d’impact sur l’intelligenceiii.

Tous les individus correctement nourris et éduqués atteignent une bonne intelligence.

La répartition gaussienne des gènes prédisposant à l’intelligence génère naturellement de bonnes différences parmi des individus par ailleurs élevés dans le même milieu.

Il n’y a aucun lien entre intelligence et taille du cerveau.

La corrélation entre intelligence et taille du cerveau est de +0.3 à +0.4 ce qui implique que les cerveaux plus volumineux seront en moyenne plus intelligents et les individus plus intelligents auront, en moyenne, un cerveau plus volumineux.

Darwin, Einstein, Voltaire, Goethe… étaient avant tout des individus nés dans de bons milieux.

Les génies sont avant tout des phénomènes biologiques dotés d’un cerveau biologiquement beaucoup plus efficient, une finesse du spectre auditif et visuel supérieure.

Bien sûr de tels individus étaient fréquemment issus de familles intelligentes, c’est le propre d’un trait hautement héritable. Les chiens ne font pas des chats.

Les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres supérieurs essentiellement pour des raisons sociales et environnementales.

La société est stratifiée par l’intelligence.

Les plus bas QI vivent en moyenne moins longtemps essentiellement pour des raisons génétiques.

Ils ont une plus haute fréquence de gènes mutants altérant l’intelligence et la santé en général. A peu près 10.000 gènes sont impliqués dans l’intelligence générale (Nature, 2021) soit près du tiers du génome.

Une haute intelligence indique une très faible fréquence de gènes rares, mutants. Ceci augmente l’intelligence et la santé en général.

Le milieu social est déterminant dans la réussite sociale future d’un enfant.

Si on contrôle pour le QI, le milieu social est négligeable dans la réussite sociale future d’un enfant.

Pourtant les enfants de parents aisés réussissent mieux !

Simplement parce que le niveau socio-économique atteint par les parents est une bonne estimation indirecte de leur niveau d’intelligence.

Ces parents ont une plus haute fréquence d’allèles augmentant l’intelligence dans leur patrimoine génétique, ce qui pertinemment leur a permis d’atteindre un bon niveau socio-économique. Ils vont transmettre génétiquement cette plus haute fréquence génétique à leurs enfants, qui réussiront mieux, en moyenne.

L’éducation est très importante dans la réussite socio-économique.

L’éducation corrèle fortement à l’intelligence, qui est à l’origine du lien fort avec la réussite socio-économique.

La réussite socio-économique est avant tout une question d’éducation, un paramètre modulable.

La réussite socio-économique est avant tout une question d’intelligence, un paramètre génétique très peu modulable.

Le QI moyen augmente progressivement avec le niveau d’éducation, preuve de l’impact de ce dernier.

Le QI moyen augmente avec le niveau d’éducation par sélection naturelle : les plus bas QI sont progressivement éliminés des études difficiles et le QI moyen de ceux qui restent augmente mécaniquement.

Les métiers les plus prestigieux intellectuellement n’ont pas davantage d’individus très doués, mais beaucoup moins d’individus moins doués, éliminés par sélection naturelle.

Il y a des gens intelligents partout, mais il n’y a pas de QI<120 polytechnicien, physicien ou mathématicien.

C’est l’éducation qui permet l’intelligence.

C’est l’intelligence qui permet l’éducation.

Nous entrons à l’université vers 18 ans après avoir accumulé suffisamment de connaissances préalables.

Nous entrons à l’université vers 18 ans car le cerveau est alors à l’apogée de son développement bio-cognitif, jusque vers 25-30 ans, puis décline.

POPULATIONS, GENES ET INTELLIGENCE

Il n’y a pas de race. Les gènes sont répartis aléatoirement à travers le globe.

C’est un principe général de la biologie évolutive que lorsque des populations d’une espèce sont isolées les unes des autres, elles évoluent en deux ou plusieurs sous-espèces (également appelé races ou populations).

Elles sont appelées variétés (chez les végétaux), souches ou races. Dans le cas des humains qui sont des animaux, elles sont appelées races. Ces différentes races ou populations évoluent sous l’effet des quatre processus (1) effets fondateurs (2) dérive génétique (3) mutation et (4) adaptation

On trouve une dizaine de grandes populations humaines, avec des différences systémiques. Le cerveau d’un Africain n’est pas identique au cerveau d’un Européen, qui n’est pas identique au cerveau d’un Est-Asiatique.

Ils n’ont pas la même taille et ne sont pas qualitativement identiques.

Ne dit-on pas qu’il n’y a qu’une seule race humaine ?

Une seule espèce humaine.
Dans laquelle on retrouve plusieurs grandes races ou populations (synonyme souvent préféré)

(1) Africains (2) Moyen-Orientaux et Nord-Africains (3) Européens (4) Esquimaux (5) Aborigènes d’Australie (6) Pacific Islanders (7) Asiatiques de l’est Chinois, Japonais, Coréens, Singapouriens… (8) Asiatiques du sud-est Cambodgiens, Philippins, Indonésiens… (9) Amérindiens

“Il n’est plus possible d’ignorer les différences génétiques entre les races (…) Certains prétendent que ces différences seraient petites, ce n’est pas exact”
-David Reich, professeur de génétique à Harvard, 2018.

“Ceux qui affirment qu’il n’y a pas de race humaine sont évidemment ignorants de la biologie moderne. Les races ne sont pas quelque chose de spécifiquement humain ; les races sont présentes dans un pourcentage élevé d’espèces animales”
-Ernst Mayr, 2002 (considéré comme le plus grand biologiste de l’évolution du 20ème siècle).

Asserting that human races, considered as separate subspecies, don’t exist is an insult to me and the objective work of evolutionary biologists. This new age of modern progressives refusing evidence that contradict their worldview is alarming. We as society need to rethink our way of biased thinking”
– Richard Dawkins

“Des personnes très éduquées et intelligentes peuvent avoir un sévère contrecoup quand elles réalisent que les médias et parfois même les académies leur ont menti durant leur vie entière concernant les différences raciales”
– Steven Pinker, 2018.

Le « racisme systémique blanc » mène à une domination des Européens.

Les Européens ont un cerveau en moyenne plus volumineux et un QI plus élevé que les Afro-Maghrébins et ils réussissent mieux en vertu de cette plus haute intelligence génotypiqueiv.

La fréquence des allèles pour une haute intelligence est plus élevée dans leur patrimoine génétique (Piffer 2019, 2020, 2021).

Les Est-Asiatiques et les Juifs Ashkénazes sont encore plus intelligents et obtiennent des scores sociaux supérieurs aux Européens dans tous les domaines (niveaux d’éducation, salaires moyens…) quel que soit le pays (Europe, USA, Amérique Latine…).

Lorsqu’on contrôle pour l’intelligence, les salaires moyens sont identiques quelle que soit la race. On peut en conclure que la discrimination n’existe pas ou n’a que très peu d’impact.

Les variations socio-économiques entre groupes ethniques sont essentiellement d’origine biogénique, parallèles aux variations d’intelligence moyenne.

La situation socio-économique des Afro-Américains s’est grandement améliorée depuis les luttes contre le racisme !

La différence de niveau socio-économique entre Blancs et Afro-Américains est essentiellement conséquente de la différence moyenne d’intelligence, restée stable car génétique.

En conséquence, la différence socio-économique entre Européens et Afro-Américains est restée stable en dépit des innombrables luttes antiracistes, qui n’ont eu aucun effet : la différence salariale entre un Européen et un Afro-Américain était identique en 1967.

Notez que les Est-Asiatiques ont toujours eu un salaire supérieur aux Européens, en vertu de leur plus haute intelligence moyenne.

Le QI moyen est de 100.

Le QI moyen est de 100 chez les Européens.
Il est de 85 pour homo sapiens dans son ensemble.


Il est de 71 chez les Africains sub-sahariens… 84 chez les Moyen-Orientaux et Nord-Africains, 105 chez les Est-Asiatiques (Chinois, Japonais, Coréens, Singapouriens…).

Protocole des sages de Sion. Les juifs dominent par « népotisme ethnique » (équivalent du « racisme systémique blanc »).

Les Ashkénazes ont la plus haute fréquence d’allèles pour une haute intelligence dans leur patrimoine génétique. En conséquence ils se situent, quel que soit les classements intellectuels, au sommet (niveau d’éducation, salaire moyen, prix Nobel, champions d’échecs, solistes, grands intellectuels…).

POPULATIONS, GENES ET DELINQUANCE

Les Africains ont un taux de crimes et délits supérieur à celui des Blancs à cause du racisme de la police.

Les Noirs ont un plus haut taux de crimes et délits pour des raisons essentiellement biogénétiques
(1) leur QI est plus bas
(2) la fréquence de personnalité psychopathique est plus élevée chez eux

(3) Ils sécrètent plus de testostérone ce qui augmente l’agressivité, la libido et le self-estime
(4) Ils ont un « neuroticism » plus bas ce qui réduit l’anxiété et favorise le passage à l’acte

Les plus bas QI (quelle que soit la race) commettent la plupart des crimes et délits car ils sont moins conscients des conséquences de leurs actes.

Ces prédispositions expliquent causalement leur taux de crimes et délits entre 8 et 15 fois celui des Blancs et entre 16 et 30 fois celui des Est-Asiatiques.

Les Est-Asiatiques (Chinois, Coréens, Japonais…) commettent à peu près 2x moins de crimes et délits que les Européens, c’est dans leur « culture ».

Les Est-Asiatiques ont (1) un QI plus élevé que les Européens (2) une fréquence plus faible de personnalité psychopathique (3) un plus faible taux de testostérone ce qui réduit l’agressivité, le self-estime, la libido (4) ils ont un plus haut niveau de « neuroticism ». Cette plus haute anxiété réduit le « passage à l’acte ».

La hiérarchie ethnique des crimes et délits varie fortement d’un pays à l’autre et dépend de l’histoire et de paramètres sociaux.

Quel que soit le pays à travers le monde, la hiérarchie des crimes et délits reste remarquablement inchangée. Les populations à haut QI (Est-Asiatiques) commettent le moins de crimes tandis que les populations à bas QI (Africains suivis par les Moyen-Orientaux et les Nord-Africains) commettent le plus de crimes et délits.

DIFFERENCES SEXUELLES

Un « plafond de verre » empêche les femmes de monter au même niveau que les hommes.

Les hommes ont un cerveau un peu plus volumineux et un QI un peu supérieur à l’âge adulte. Cette petite différence de 4-5 points provoque une différence notable dans la fréquence des surdoués.

Pour un QI>130 on ne trouve plus qu’une femme pour 2 hommes. Pour un QI de 145, 8 hommes pour une femme.

90% des cerveaux de plus de 1700 cm cubes sont des hommes. Plus de 97% des cerveaux supérieurs à 2000 cm cubes sont des hommes (QI moyen de 126 dans ce range de volume crânien).

L’avantage cérébral masculin augmente progressivement : A 12 ans le volume cérébral d’une fille est de 92.2% celui d’un garçon. A 21 ans le cerveau féminin n’est plus que de 86.6% celui d’un homme, en volume. Ceci s’accompagne d’un avantage cognitif masculin progressif (inexistant voire négatif avant 12 ans) culminant à l’âge adulte (4-5 points de QI).

« Gender pay gap »
Les femmes gagnent moins que les hommes.

Le salaire est déterminé par l’intelligence. Les hommes ont un QI légèrement plus élevé (4,5 points de QI de plus à l’age adulte) il est donc logique qu’ils aient un petit avantage financier.

Par ailleurs les hommes ont davantage de motivation évolutive à gagner de l’argent car ils sont sélectionnés par les femmes sur ce critère.

Les femmes, à l’inverse, ne sont pas sélectionnées par les hommes sur ce critère.

Il est fréquent, par exemple, de voir un médecin en couple avec une infirmière. Une femme médecin en couple avec un infirmier sera beaucoup plus rare (ceci même si les femmes sont aujourd’hui largement majoritaires en médecine, depuis des années).

Les femmes sont hypergames et recherchent des hommes plus diplômés et gagnant davantage qu’elles. En conséquence les hommes ont plus de motivation évolutive (marquée dans le comportement, inné) à monter socio-économiquement et à gagner plus d’argent.

Les sexes n’existent pas, il n’y a pas de différence systémique entre les sexes.

Les sexes existent et diffèrent biologiquement.

Le sexisme est la cause des différences observées.

Les sexes existent. Ils diffèrent de façon systémique en intelligence (petite différence) et tempérament. Ces différences génétiques expliquent en bonne part les différences observées.

On ne nait pas femme, on le devient.

On nait femme ou homme, avec des chromosomes différents. Ces différences biologiques président à de nombreuses différences observables entre les sexes.

A noter que l’expression des gènes n’est complète qu’à l’âge adulte… donc on nait femme et on le devient progressivement par une activation génétique continue, mais dans les deux cas le hardware génétique est à l’oeuvre.

POPULATION, GENES, DEVELOPPEMENT

L’idéologie Woke est antagoniste de l’idéologie nazie.

L’idéologie Woke est proche de l’idéologie nazie dans plusieurs aspects. Elle affirme illégitime la meilleure réussite socio-économique européenne et la stigmatise, comme le national-socialisme affirmait que les Juifs Ashkénazes dominaient la société allemande par « racisme ethnique » et n’avaient aucune valeur propre.

Le ressentiment des Allemands pour les juifs, dominants socio-économiquement (voir les statistiques éloquentes dans la république de Weimar) se retrouve chez les Woke vis-à-vis des Européens.

Dans toute l’Asie du Sud également, les diasporas chinoises dominent en vertu de leur plus haute intelligence (différence de 15 points de QI entre un Est-Asiatique et un Sud-Est Asiatique). Des quotas dans les universités pour limiter l’entrée des Chinois et des cotations différenciées sont en œuvre en Indonésie, Cambodge, Philippines et Thailande.

Dans l’idéologie Woke, dans le nazisme et dans le communisme… on retrouve ce même ressentiment des individus ou populations moins intelligent(e)s pour les individus ou populations plus intelligent(e)s.

Il semble que ce soit un élément central dans beaucoup de génocides.

Le sous-développement de l’Afrique s’explique par l’histoire et le colonialisme.

Le niveau de développement d’une région est directement fonction du niveau d’intelligence moyen des habitants qui y vivent.

Le QI moyen en Afrique sub-saharienne est de 70 (âge mental d’un Européen de 13 ans). Ce n’est pas une région « sous-développée » mais simplement une région avec un niveau de développement consubstantiel d’un QI de 70.

Singapour a été colonisée par les Anglais… c’est aujourd’hui une des zones les plus développée au monde en vertu de la haute intelligence des Chinois Hans qui y sont majoritaires et des politiques eugénistes menées par le père fondateur, Lee Kuan Yew.

Les Européens sont responsables du sous-développement de l’Afrique.

L’Afrique n’est pas sous-développée. Elle a un niveau de développement en cohérence avec une population dont le QI moyen est de 71 (âge mental d’Européens de 11-12 ans).

Les Européens ne sont pas responsables de la plus faible intelligence des Africains, hautement génétiquement et évolutive.

L’émergence des premières civilisations il y a 10.000 ans dans différentes régions du globe est le fait du hasard de l’histoire de l’accumulation des connaissances.

Le bourgeonnement de différentes civilisations il y a 10.000 ans se produit spontanément après les périodes glaciaires principales qui ont permis l’augmentation, par sélection naturelle, du volume crânien et de l’intelligence moyenne dans l’hémisphère nord.

Les populations d’homo sapiens, devenues suffisamment intelligentes, ont pu effectuer la transition néolithique de la chasse-cueillette vers l’agriculture sédentaire puis développer les premières civilisations.

La Chine, le Japon, la Corée, Singapour… se développent très bien car… « miracle économique ».

La Chine, Japon, Corée, Singapour sont peuplés de la même race : les est-asiatique avec un gros cerveau et un haut QI moyen. Cette haute intelligence génotypique est un élément central du développement rapide de ces pays.

Les pays d’Asie du Sud-Est (Indonésie, Cambodge, Malaisie…) sont peuplés d’une autre race, les Asiatiques du sud-est, qui ont un QI nettement plus bas (aux alentours de 90), en conséquence ces régions ne se développent évidemment pas à la même vitesse. L’Inde, les Philippines ou l’Indonésie ne sera jamais la Chine ou le Japon car les niveaux d’intelligence de la population sont très en dessous.

L’Islam est un problème en soi.

Les populations afro-maghrébines ont un faible QI.

Une plus haute religiosité avec davantage de dogmatisme est un des nombreux avatars de cette plus faible intelligence mais les Afro-Américains, quoique chrétiens, ont un taux de crimes et délits supérieur aux Arabo-Musulmans et un niveau d’éducation moindre.

C’est le développement (d’un pays) qui permet l’intelligence de ses habitants.

C’est l’intelligence des habitants d’une région qui permet le développement de la zone.

L’indice de développement humain d’un pays corrèle à +0.9 avec le QI moyen national.

Le métissage nous tire vers le haut. Il est bon pour nos gènes.

Le métissage avec des populations non-européennes produit des individus moins intelligents que les Européens, à l’exception des métis Européens Est-Asiatiques qui sont plus intelligents simplement parce que les Est-Asiatiques sont un peu plus intelligents que les Européens.

Les scores internationaux PISA reflètent la qualité éducative d’un pays.

Les scores internationaux PISA reflètent avant tout les niveaux d’intelligence moyenne des habitants d’un pays, paramètre hautement génétique.

Les Est-Asiatiques sont systématiquement au sommet, car leur intelligence moyenne est supérieure à celle des Européens.

Références (non-exhaustive)


Haier J.R (2017) The neuroscience of intelligence, Cambridge University Press.

Lynn R. (2009) The Global Bell Curve, Race, Intelligence and Inequality worldwide

Lynn R. (2015) Race Differences in Intelligence, an Evolutionary Analyse.

Plomin R. et al. (2015) Des gènes au comportement, introduction à la génétique comportementale. De Boek.

Plomin R. (2019) Blueprint: How DNA Makes Us Who We Are

Warne T.R (2020) In the Know. Debunking 35 myths on human intelligence. Cambridge University Press.

The New Genetic of Intelligence, Nature, 2018 https://www.gwern.net/docs/iq/2018-plomin.pdf

Jean HANSEN, biologiste et webmaster de intelligence-humaine.com (fr) et human-intelligence.org (en)

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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17 réponses à “QI, races, différences, intelligence, délinquance, wokisme. Tour d’horizon du négationnisme biologique”

  1. Marc RICAUD dit :

    L’article ci-dessus nous prouve quasiment scientifiquement que les races humaines se différencient essentiellement par leur niveau d’intelligence, que l’on mesure par le test du QI. Un bon nombre de contres vérités sont ainsi battues en brèche et avec elles, bon nombres d’idéologies et de pseudo sciences qui en découlent.
    Une fois admis tout ceci, je vois difficilement les conclusions qu’il faudrait en tirer et les conséquences que ces travaux impliquent. Une synthèse d’ordre général manque à cette étude scientifique,
    Serait-ce à nous de le faire ? Devons nous conclure que les personnes et les populations ayant un plus faible QI, seraient moins humaines. Devons nous faire de nouvelles ségrégations ? Devons nous créer un nouveau système de sociétés à castes, dont le QI, serait le marqueur ?
    L’idée directrice semble être que le Qi est la clé de tout. L’intelligence serait à l’origine, non seulement des différences de réussite individuelle et collective, mais aussi qu’elle serait à l’origine (la matrice) de la culture et pourquoi pas des philosophies et des religions.
    J’estime que ça ne marche pas de cette façon dans le domaine de l’Esprit (Qui de l’oeuf ou de la poule ?). Pour commencer, le cerveau, fondamentalement, ne fabrique rien, il ne fait que découvrir progressivement des réalités et des vérités qui sont intangibles, qui existent depuis toujours. La condition essentielle à ces découvertes n’est pas tant l’intelligence, que l’Eveil (être attentif à la vie et en être émerveillé). L’intelligence rentre plus en ligne de compte, au moment de tirer les bonnes conclusions relatives à ces découvertes ou d’élaborer des sous produits dans un but pratique, matérialiste et intéressé.
    Certaines civilisations dites primitives, car plus anciennes, comme l’inde des Brahmanes, les aborigènes d’Australie ont poussé extrêmement loin leurs investigations dans le domaine de l’Esprit. Mais elles n’ont pas jugé utile, de décliner tous les fruits de leurs travaux, au niveau visible, au niveau technologique, estimant qu’ils étaient suffisamment heureux comme cela. Devons-nous en conclure, que ces gens-là sont moins “intelligents” que nous parce qu’ils ne fabriquent pas des fusées, ni des ordinateurs, ou que certains n’ont pas de système d’écriture ? Tout au plus, pouvons-nous les qualifier, vu de l’extérieur, d’indolents ou peu paresseux.
    Le test du QI met en exergue et quantifie, la faculté logique, pragmatique du mental. En cela les humains ne sont pas égaux. Les sociétés dites modernes sont directement les enfants de cette faculté et elles en sont fières, tout en ignorant qu’elles auraient tout aussi bien, prendre un autre chemin…..

    • Isabeilles dit :

      Intéressant commentaire

    • An dit :

      Maintenant que les sociétés modernes sont ultra-dominantes, la seule question qui vaille est de préserver ou non les autres sociétés.
      Si c’est oui, ne reste que la ségrégation.

    • Baptiste dit :

      Le QI ne mesure absolument pas l’intelligence logique… c’est une estimation de l’intelligence générale. Toutes les facultés mentales (même les plus élémentaires et basiques comme les temps de réaction simple, la finesse du spectre auditif, visuel, la mémoire, les aptitudes verbales…) sont positivement inter corrélées de sorte que passer quelques tests d’intelligence permet d’extrapoler correctement l’intelligence générale d’un individu.

      Il n’y a aucune forme de faculté mentale qui soit omise par l’intelligence générale estimée par le QI, contrairement à ce qu’on entend souvent. Même la créativité est en réalité positivement corrélée à l’intelligence générale.

      Lire les 6 mythes du QI sur l’excellent site de Philippe Gouillou (co-auteur du guide pratique de l’enfant surdoué).
      http://douance.org/qi/mythes-qi.html

      • Marc RICAUD dit :

        OK, je veux bien l’admettre. mais pour ce qui est des gènes, là j’ai du mal….
        Et quel est l’impact de la culture et de l’instruction, sur le QI ?

  2. Pschitt dit :

    Rappeler des constats scientifiques élémentaires est une bonne chose. Il est dommage de les polluer avec un certain nombre de considérations hasardeuses.
    Par exemple, dire que “les scores internationaux PISA reflètent avant tout les niveaux d’intelligence moyenne des habitants d’un pays” est trop rapide. Les scores PISA sont orientés différemment d’une enquête à l’autre. L’enquête 2018 portait sur la compréhension de la lecture et reflétait “avant tout” un niveau éducatif ; Cuba, entre autres, y a obtenu un score analogue à celui des pays européens et bien supérieur à celui du Mexique et des autres pays d’Amérique latine.
    Dès les premières phrases, dire que “les variations d’intelligence sont des variations dans les gènes” puis que “la distinction entre un homme intelligent et un homme peu intelligent est avant tout génétique” est trop imprécis et contradictoire. Il faudrait parler de la distinction entre ceux qui ont un score élevé à tel test de QI et ceux qui ont un score faible, etc. Je comprends bien qu’il faut simplifier pour être compris, mais c’est prêter le flanc à la critique.

    • Robino dit :

      Cubans have a greater fraction of European DNA than most other Latin Americans.

      But yeah, I would also avoid bold claims if I were writing something as brief as this.

      Sorry for English — I don’t speak French.

      • Pschitt dit :

        Selon un important article publié par “Nature” voici quelques années (https://www.nature.com/articles/s41598-018-29851-3), le patrimoine génétique des Cubains contemporains est d’origine européenne à 71 % en moyenne — mais ce taux varie fortement d’une province à l’autre. C’est nettement moins qu’en Uruguay, pays le plus “blanc” d’Amérique latine.

    • An dit :

      Toujours aussi intéressant à lire.

  3. Isabeilles dit :

    Vos (pseudo) recherches sont extrêmement choquantes – et les assertions pour le moins hasardeuses…
    Donner crédit à ces assertions ne va pas dans le sens de l’intelligence, pour le coup !
    Le QI est beaucoup remis en cause – à raison ! On parle aussi aujourd’hui d’intelligence émotionnelle. L’intelligence (qui serait à définir) ne saurait se réduire à faire des équations ! C’est tellement ridicule !
    Il est bien évident que “l’environnement” joue un rôle majeur dans le développement d’un individu.
    Que dites-vous de la grande intelligence des corbeaux et autres corvidés ? Leur cerveau n’est pas très gros, je crois… !!!
    Ces thèses sont stupides et dangereuses – ouvrant à l’eugénisme…

    • Baptiste dit :

      Qu’avez-vous contre l’eugénisme… ?

    • Pschitt dit :

      Ce ne sont pas les recherches en soi qui sont choquantes, n’est-ce pas ? Ce serait, le cas échéant leur caractère “pseudo”, mais vous n’allez quand même pas remettre en cause l’ensemble des travaux sur le sujet ? “L’intelligence serait à définir”, dites-vous, mais l’ignorance n’est pas un argument : bien entendu, l’intelligence a été définie. “L’intelligence, c’est ce que mesure mon test”, disait paraît-il Binet. Vous pouvez considérer que ce que le QI mesure ne mérite pas d’être appelé ‘intelligence’, mais c’est une question de mots ; disons qu’il mesure l’aptitude au raisonnement logique, un point c’est tout, et c’est déjà énorme ! Quant aux corbeaux, je veux bien croire qu’ils sont d’une grande intelligence, mais allez donc citer une grande découverte scientifique qui leur soit due ? Une seule grande oeuvre littéraire ? Une seule grande réalisation de génie civil ? Sans parler de leurs résultats aux tests de QI…

  4. Marc RICAUD dit :

    D’après ce qu’on m’a expliqué, ce n’est pas la taille du cerveau qui est déterminante, mais la complexité de sa structure : nombre de circonvolutions, pour ce qui est visible et nombre de synapses entre les neurones, pour ce qu’on ne peut voir qu’au microscope. Le cerveau d’un reptile comporte peu de circonvolutions, leurs nombres augmentent au fur et à mesure que l’on va vers les espèces animales plus évoluées, pour atteindre leur maximum chez l’homme.
    Pour faire simple, ce n’est pas la taille de l’ordinateur qui fait sa puissance (ils sont de plus en plus fins et légers), mais leur complexité interne.

  5. patphil dit :

    que les racistes aillent se promener de par le monde pour voir combien les peuples ont du génie, même en europe !
    l’herbe est toujours plus verte ailleurs mais de mon petit village j’adore revoir la cheminée

    • An dit :

      C’est vrai, tous les peuples ont un génie.
      Qu’ils ont développé en symbiose avec leurs terres.
      Même le taux d’humidité dans l’air influencerait les tonalités des langues.

  6. Emile 2 dit :

    Les races existent bel et bien chez les humains ; elles ont chacune leurs caractéristiques physiques et psychiques ; les humanistes maçonniques modifient la réalité pour la faire correspondre à leurs dogmes religieux .

  7. Mélanger le vrai et le faux puis sursimplifier a toujours été une bonne tactique.
    L’intelligence ou du moins son potentiel sont génétiques en bonne partie, oui ce n’est pas pour autant que la sélection naturelle ne fait de choix aveugles mais appropriés au contexte.
    Ceci semble ignorer l’Histoire, deux voire trois des plus grandes civilisations mondiales furent africaines donc c’est à méditer que ces zones furent largement plus développées que l’Europe mais que la roue tourne, la Chine en est un bon exemple aussi, l’Occident n’en est qu’à son premier cycle, qui semble s’achever d’ailleurs. Toute notre source est à la base africaine et orientale, des civilisations qui durèrent parfois plus de 1000 ans.
    On ne va pas nier que sur beaucoup de plan, le travail occidental a été remarquable en dehors d’erreurs toutes aussi hors normes.
    J’ai souri devant la naïvement du commentaire sur le sexe. Le wokisme exagère en refusant l’existence biologique du sexe cependant l’esprit qui habite un corps peut avoir un sexe différent de son corps, de plus on est rarement 100% homme ou femme. La réalité sexuelle biologique est complexe, avec des intermédiaires ou … une absence, c’est la combinaison de tout cela qui fait l’individu, ne pas confondre donc la personne et certains de ses composants primaires.
    Le métissage a un impact sur l’intelligence mais rassemble plus souvent des esprits libres et évolués des deux côtés que des gens très simples. Le métissage n’est d’ailleurs pas un singe d’intelligence ni à considérer car il est avant tout un choix personnel dont les conséquences génétiques sont souvent plus large, il est complexe à vivre d’ailleurs, je ne le recommanderais pas comme norme sociale. Sur le plan du QI, le résultat est plus instable car le choix génétique plus élevé. Cependant, nos organismes semblent réguler cela lors de la fécondation et un même métissage dans un pays en guerre ou sous-développé n’aura souvent pas le même résultat que dans un pays développé et en paix. Il a été observé chez des enfants jusque 30 points de QI de plus que chez les parents mais l’inverse est tout autant possible. Le métissage n’est ni un mal, ni un bien mais une loterie plus large qu’en endogamie, cette loterie est cependant heureusement globalement bienveillante mais on ne sait pas trop pourquoi ou comment.
    Je reconnais le contenu que l’on a ici policé pour le rendre plus acceptable, le lien ci-dessous contient plusieurs explications plus détaillées.

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