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Euthanasie : la dernière rupture anthropologique ? Par le Dr Jean-Marie Gomas

Après la déroute économique, de nombreuses voix s’élèvent pour expliquer que le deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron sera celui des réformes sociétales. En tête, l’euthanasie. Depuis plusieurs années, la question de la fin de vie est préemptée par des associations à l’origine de sondages bancals et manipulatoires en présentant la fin de vie comme une agonie interminable et indigne sans retour. Dans leur ouvrage “Fin de vie : Peut-on choisir sa mort ?” (Ed. Artège), les docteurs Pascale Favre et Jean-Marie Gomas exposent un sujet difficile à traiter.

Précurseur des soins palliatifs, le docteur Jean-Marie Gomas nous explique avec humanité pourquoi la fin de vie doit être adoucie sans jamais être raccourcie. Il revient sur la nécessité d’aller au bout du chemin pour reprendre corps avec sa condition de mortel mais aussi faire la paix avec soi-même et ses proches en atteignant la finitude paisiblement. Un livre juste qui revient sur les idées reçues, les raccourcis et les erreurs d’un sujet intrinsèquement lié à l’Humanité.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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2 réponses à “Euthanasie : la dernière rupture anthropologique ? Par le Dr Jean-Marie Gomas”

  1. Pschitt dit :

    L’expression “fin de vie” est intéressante, surtout dans le contexte d’une révision du régime de retraite. Car le programme du Conseil national de la Résistance (“Les Jours heureux”) prévoyait “une retraite pour que les vieux travailleurs puissent finir dignement leur vie”.
    Pour équilibrer financièrement les régimes de retraite, on envisage habituellement de jouer sur trois paramètres : le montant des retraites, le montant des cotisations et l’âge de départ en retraite. Mais il pourrait y en avoir un quatrième : la durée de la retraite.
    Pour cela, il faudrait pouvoir déterminer une date de fin de vie. Avec l’euthanasie, on y vient ! Un idéal de technocrate ! Imaginons un droit à la retraite de vingt ans, plutôt généreux sur le papier (une demi-année de retraite pour une année travaillée). Si l’âge de la retraite est fixé à 65 ans, cela nous mène à un âge maximum de 85 ans. Avec la retraite à 60 ans, ce serait 80 ans. Ensuite, couic.

  2. Ric Wald dit :

    Ce qui se passe avec l’avortement, se passera de même avec l’euthanasie: Une tuerie de masse. Même idéologie de départ, mêmes bons sentiments, même propagande, même logique, même volonté de réduire la population sur terre. Le must, le top, le politiquement correct, sera d’avoir donné tous vos organes avant de mourir. Euthanasie = Nazies.

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