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Trégunc. Dans un festival gaucho-féministe, Corinne Masiero arrive à dégoûter tout le monde

Jusqu’où ira la laideur néo-féministe ?

La comédienne Corinne Masiero (Capitaine Marlo) qui avait fait montre de son bon goût lors de la cérémonie des Césars 2021 en apparaissant totalement nue et couverte de “sang de règles” a encore montré sa délicatesse le 28 mai dernier à Trégunc lors du festival ultra-féministe Very Bad Mother.

Depuis quelques temps, madame Masiero se pique de retourner à ses jeunes années adolescentes (elle a presque 60 ans) en formant un groupe de rock “féministe” au nom poétique : les Vaginites. Ces dames ont la particularité de chanter à moitié nues, la culotte tâchée de “sang de règles”. Apparemment, cette caractéristique a une signification politique dont le sens nous échappe.

A défaut de chanter juste, ces quasi-sexagénaires se donnent en spectacle, tétasses pendouillantes et, sacrilège contre le vrai rock ‘n roll !, chevalets posés sur scène ! Des chevalets dans un concert punk ? Impardonnable !

Totalement dans l’air du temps des ados de 16 ans contemporaines, nos mémères débitent donc des chansons sur le “machisme”, les “règles”, les “vulves”, etc…

Programmées au festival Very Bad Mother de Tregunc (29), leur tour de chant aura réussi à dégoûter tout le monde, même les ultra-wokistes d’Expansive Infos qui nous livrent ce témoignage truculant :

“Au début d’une chanson, Corinne Masiero tout en expliquant ce qu’elle appelle le « tomato test » à savoir vérifier que la personne avec qui tu es, te kiffe réellement en lui soumettant un cunni pendant que tu as tes règles, fait une parenthèse pour dire « non mais c’est ok pour les enfants ». Les phrases qui suivent ces paroles parlent directement de son pépé qui kiffait bien ça quand elle avait 7 ans (depuis quand les petites filles de 7 ans ont leurs règles ?), mais pas trop son oncle et ses cousins, mais son pépé oui. Ok, le décor est planté : la phrase sur les enfants était donc bien ironique et donc tant pis pour tous les enfants présents dans la salle. Et tou.t.e.s les autres.

Car s’en suit une chanson excessivement longue parlant d’inceste entrecoupée de phrases exigeant un bon cunni, une bonne baise. L’incompréhension et le doute se lit sur une bonne partie des visages. À l’instant même où je me demande quoi en penser, une jeune femme se retourne et me dit la même chose. On commence à en discuter, une autre se joint à la conversation. Elles décident de sortir, c’est trop pour elles. Je décide de rester, de me faire un avis sur plus que quelques minutes. Mais finalement, c’est aussi trop pour moi.

En partant, je croise une copaine tétanisée, aux bords des larmes, on sort et là, on se rend compte qu’une très grande partie de la salle est sortie, beaucoup pleurent, d’autres sont choqué.e.s, énervé.e.s, perdu.e.s, interloqué.e.s. Sous prétexte de catharsis et de retournement de la violence, vous, mesdames les vaginites, avez reproduit les violences patriarcales car là, ce n’est pas les violeurs que vous avez blessés, ce n’est pas les « mecs » à qui vous avez fait peur, vous n’avez pas renversé le système patriarcal, vous n’avez pas retourné la violence contre les agresseurs, vous n’avez fait que blesser à nouveau des victimes. Ne savez-vous donc pas que nous ne vivons pas les choses tou.t.e.s de la même façon ? Vous avez fait passer les personnes qui étaient sorties pour des chochottes trop sensibles, même pas cap’ de faire face à leur trauma, des personnes pas prêtes pour vos concerts avant-gardistes, des personnes choquées trop facilement. Dans ce lieu magique où toutes les discussions sont basées sur le respect et l’empathie, vous avez créé de la division, mais pas de celle productive, créatrice d’une réflexion riche et intelligente, non, juste de la division bête et méchante. Et blessante.”

Choquer le public de Very Bad Mother par un excès de féminismo-gauchisme, il faut reconnaître que la performance mérite d’être saluée ! Bravo camarade !

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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12 réponses à “Trégunc. Dans un festival gaucho-féministe, Corinne Masiero arrive à dégoûter tout le monde”

  1. Gillic dit :

    Le plus grave est que des gens en Bretagne ou ailleurs paient pour voir de tels spectacles, cela en devient affligeant, il faudrait aussi dire à ces “glaudes” de changer de culotte avant de monter sur scène !!!!

  2. alienor dit :

    intéressant mais nom d’une pipe, pourquoi avoir écrit en écriture inclusive !!!!!! dommage

  3. Pascal Barthon dit :

    Ce sont des dégénérées, quelle est la portée d’un tel spectacle?. La cause féministe en sort fortement souillée; Masiero est égale à elle même dans la vulgarité crasse . Ce sont des épiphénomènes qu’il ne faut pas amplifier, pas d’effet loupe surtout.

  4. Jean-Philippe René Charles Wagner dit :

    Les Femen (produit d’Ukraine…!) en pire dans la vulgarité et la provoc bas de gamme !

  5. Michel BERAUDO-MARCH dit :

    La culotte tachée de jus de menstrues est destinée à nous faire savoir qu’il s’agit de femmes (on pourrait avoir un doute) puisqu’on ne doit plus parler de femmes mais de personnes qui ont des règles.

  6. Alors là on touche le fond ! Complètement tarées !!!!

  7. NOEL dit :

    C’est tout à l’image de ce qu’est devenu ce pays , le spectacle de ce déchet est une insulte aux femmes qui se respectent , il y en a encore heureusement .

  8. P.G. dit :

    La société décadente dans toute sa “splendeur” ! Ancienne prostituée, reconvertie en Capitaine de Gendarmerie qui fume ouvertement des joints, la Masiero est vraiment un “modèle” incontournable.

  9. patphil dit :

    dans la laideur et la vulgarité on peut encore faire mieux

  10. Michel MOULIMARD dit :

    La Popoche est à vomir, comme d’habitude; pourquoi toujours chercher l’absolution de sa propre nullité, elle ne touche pas terre d’accord, elle ne sait pas nager d’accord, mais pourquoi vouloir absolument nous entrainer dans sa noyade vaginale de fond de culotte qui pue? Je continue à aimer les femmes, mais pas les choses, prout!

  11. Anubis de la Vallée dit :

    Il y eut un excellent film allemand sur la ”décadanse” des ”mères” cool années hippies….LES PARTICULES ÊLEMENTAIRES….sans avoir lu le livre de Houellebecq, ce fut une révélation sur la transgression permanente….j’étais ce prof, devenu malade mental, qui choisit l’internement à vie…vous comprendrez en visionnant le film.
    J’ai dû lutter toute ma vie contre la dépression, de croire que toutes les femmes sont des ”mamans” qu’ont peut baiser, que les hommes sont des étrons, adolescence volée, je m’en suis sorti.
    Aujourd’hui j’ai compris l’importance des hommes, des vrais dans la société et les conséquences de ce que l’Oms entre autre entend imposer aux enfants. Non non et non n’acceptons jamais cela. L’enfance est trop pure, vulnérable pour la détruire…..quand je pose la question pourquoi les femmes sont elles tombées en masse? Et que j’entends ”et les hommes”? Je répond: parce que nous sommes élevés par des femmes…..pardon à celles qui ne castrent pas leurs garçons.

  12. Anubis de la Vallée dit :

    Ha bon? j’ai dit quoi de désagréable? En gros j’ai été victime de d’une mère castratrice et osé le dire….
    Je croyais que c’était une boite dialogue sans insulte, l’insulte c’est de virer qq’un qui parle poliment, vous qui voyez. ciao!

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