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Chronique littéraire. L’homme qui n’avait pas de père, le dossier Jésus (Alain de Benoist)

C’est une somme importante (plus de 650 pages de textes et 300 de notes) que l’auteur nous propose dans cet écrit qui aurait du faire date dans les études christiques. Cependant que vient faire un auteur païen catalogué d’extrême droite dans ce milieu sinon donner de grands coups de pieds dans la fourmilière ?

Son mémoire ne peut plaire ni aux chrétiens orthodoxes ni aux adeptes de la pensée unique et par conséquent si l’on fait quelque recherche sur internet il est peu référencé et c’est bien dommage.

Donc lecture qui va vous prendre un certain temps car l’ouvrage est dense. A noter cependant que contrairement à la prose habituelle d’Alain de BENOIST le langage est parfaitement clair et le texte est totalement lisible. Heureusement car sinon on risquerait d’abandonner cette somme passionnante.

C’est une critique acerbe et particulièrement bien documentée de la vision traditionnelle de Jésus que nous donne la doxa catholique. Ce sont deux mille ans d’histoires et d’Histoire du christianisme qui sont ainsi démontés à la lumière de tous les écrits et thèses qui se sont succédés depuis la naissance de celui qui est appelé Jésus.

Les sources de de BENOIST sont extrêmement diverses et vont des premiers textes évangiles et épîtres apocryphes ou non, des écrits païens (historiens romains) , des fondamentaux juifs ( Ancien testament , TALMUD) , des réflexions de divers auteurs à travers les 20 siècles qui nous séparent de ce personnage historique et mythique. L’archéologie est bien évidemment aussi mise à contribution.

Que peut- on en retenir ? Ou du moins qu’est ce que moi, lecteur, en retiens-je ?

Jésus a existé et est né autour du 5ème siècle (avant JC, façon de parler) en Israël actuel, dans un milieu juif  pratiquant. On ne peut donc pas plaquer des coutumes postérieures car il ne faut jamais perdre l’idée que le terreau intellectuel était juif, tout acte et toute référence était juif.

Il est sans doute né à Capharnaum (et pas à Bethléem ni à Nazareth) , fils d’une certaine Marie qui devait avoir environ treize ans ( début de la puberté) , peut être fiancée à un Joseph (mais là des doutes subsistent) et qui a pu être abusée par un certain Panthera . Le tribunal condamnant la femme adultère voire violée à la lapidation il est possible que Joseph après un premier mouvement de colère envers Marie ait présenté le fruit de l’adultère comme son propre enfant.

Marie a eu d’autres enfants, en particulier Jacques. Comme la faute entachait la famille de Marie, qui n’avait par ailleurs pas bonne réputation ( volage , coiffeuse pour femmes, milieu de basse pratique…) la famille aurait fui en Egypte. Dans ce lieu Jésus aurait grandi et serait entré en contact avec des soignants et des magiciens.

La famille serait rentrée à Jérusalem toujours entachée d’une mauvaise réputation et Jésus aurait commencé son activité pastorale après avoir été baptisé par Jean qui animait une secte juive. Après la mort de Jean (sans doute exécuté) Jésus l’aurait remplacé à la tête de cette secte que l’on qualifiait alors de Nazoréens et secte parmi les sectes aurait suivi son chemin entouré de disciples.

Il se serait attaché spécialement aux basses castes, pratiquant la « magie » et soignant les personnes de viles conditions qu’il rencontrait. Il était considéré comme le sans père et déviant, son groupe étant constitué de gens de peu, prostituées telles Marie Madeleine, et lui-même étant soupçonné de pratiques étranges ( j’y vois personnellement une similitude avec les gitans qui sont encore appelés dans la tradition « égyptiens » , ces pratiques égyptiennes tenant à la magie , à la divination, etc…)

Son action lui valut des reproches de la société juive car il pratiquait à l’encontre de la loi. Il fut donc appréhendé et soumis au châtiment adéquat c’est-à-dire la lapidation puis la suspension à un arbre. Il y a peu de possibilité pour que cette affaire ait été traitée par les romains ; de toutes façons ceux-ci ne clouaient pas les condamnés sur une croix mais les attachaient sur un morceau de bois qu’ils inséraient ensuite sur un pal puis clouaient éventuellement les pieds de part et d’autre du pal. Si le personnage était quand même cloué, ce qui arrivait, les clous étaient enfoncés dans les poignets et pas dans les mains ce qui les aurait déchirés (l’invention des stigmates est purement œuvre d’imagination). Je pense donc qu’il a été lapidé puis suspendu comme le voulait la tradition.

La résurrection est affaire de dogme. Pour ma part je n’y crois pas, mon hypothèse est qu’au pire Jésus est tombé dans le coma après sa lapidation et qu’il a été enterré vivant.

Les enterrements des lapidés avaient souvent lieu dans des fosses communes. La présence de personnes de la famille au pied de la croix dans un contexte romain est impossible et sur le lieu d’une lapidation parait improbable (souillure, rejet de cette famille par la foule). Après la mort de Jésus c’est Jacques, son frère, qui prit la tête de la secte des nazoréens. Celui-ci fut certainement lui aussi exécuté.

Les premiers écrits semblent dater du 2ème siècle et peu à peu les scribes arrangèrent la vie de Jésus comme ils le souhaitèrent, s’inspirant pour beaucoup de l’ancien testament ( le milieu restait juif) et n’hésitant pas à transposer des histoires de ce testament à l’époque de Jésus, les similitudes sont flagrantes.

Les rivalités au sein des sectes proto chrétiennes induirent les différences entre les écrits et les luttes de pouvoir et d’influence créèrent des images mythiques de Pierre (qui n’est certainement pas allé à Rome) l’adversaire de Jacques…

Peu à peu l’Eglise catholique romaine se constitua, remaniant les textes, effaçant ce qui n’allait pas dans son sens, déclarant canoniques certains textes et en réfutant d’autres, introduisant progressivement des dogmes qui se substituèrent à la réalité.

Bref, un livre indispensable à ceux qui cherchent à avoir un éclairage pointu sur la mythologie chrétienne.

Eric ABGRAAL

Crédit Photo :DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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31 réponses à “Chronique littéraire. L’homme qui n’avait pas de père, le dossier Jésus (Alain de Benoist)”

  1. Sam Wise dit :

    Vous êtes des grands malades chez Breizh-Info de laisser publier de tels délires en plus sous le thème « culture & patrimoine » ! Nul besoin d’être un chrétien orthodoxe pour être choqué devant l’énormité d’un tel propos. N’allez pas vous plaindre après qu’une autre culture nous remplace… À quand l’article sur la terre plate ? Bon dimanche à tous !

  2. FRANCHETTI Patrice dit :

    On fait le signe de croix car Jésus à été crucifié. Mais si il a subit le supplice du pal, alors ça va tout changer à la messe.

  3. Ar Baot dit :

    Le seul mérite de cette fiche de lecture sur la « mythologie chrétienne », qui paraît un dimanche, le jour du Seigneur, quel hasard, c’est de ne m’avoir pas donné envie de lire une ligne de plus de ce charabias foutraque dans lequel le sulfureux Alain de Benoist s’est exténué à verser sa bile de bonimenteur, conspirateur, patenté… prétendument inspiré…

    Les idées « magiques » de cet auteur prolifique, eugéniste, qui affecte d’appartenir à la confrérie de la Mensa (4000 personnes en France), ne laisseront aucune trace…

    Pourquoi Breizh Info vante régulièrement cet esprit si confus ?

    Si confus, qu’il s’est abrité dans sa carrière pour répandre sa prose, derrière 23 pseudonymes… sans négliger de soutenir de son amitié l’ignoble Gabriel Matzneff.

    Étrange…

  4. Michel BERAUDO-MARCH dit :

    Heureusement il existe beaucoup d’autres sources plus sérieuses qui témoignent de l’authenticité de la version communément admise de la vie de Jésus. Pas besoin de faire de la publicité à un auteur qui invente un roman de fiction à l’appui de son anti-christianisme.

  5. Noematias dit :

    On comprend pourquoi on parle de “foi du charbonnier”: il est quand même beaucoup plus facile et gratifiant de croire aveuglément tout ce que l’Eglise a jugé bon de raconter que de s’appuyer presque mille pages d’enquête pluridisciplinaire à la recherche de la vérité historique. En plus, ça permet de prendre de haut l’auteur de la recherche (selon le vieil adage, quand le sage montre la Lune, l’idiot regarde le doigt).

    • Gaud dit :

      Vous manquez d’information? -la Didachè date des années 90-95…Vème siècle « avant jC »? -et puis quoi encore? La crucifixion avec clous dans le poignet est affirmée depuis belle lurette dans le milieu catholique, et des travaux de médecin français, puis récemment à l’université de Padoue l’ont confirmée ou illustrée. Jacques frères de Jésus? – c’est réinterpréter une tradition juive chez qui les « cousins » sont appelés frères ou sœurs…
      Les écrits des auteurs de l’époque? -eh bien justement, un certain nombre de témoignages des 2 premiers siècles, y compris Juifs.
      L’archéologie, -en Israël on vient de retrouver les vestiges de la piscine aux 7 colonnes dont l’existence semblait improbable

      Bref, ce monsieur aurait pu se donner moins de mal : il semble vraiment à côté de;pas mal de plaques

    • Sam Wise dit :

      Alors l’idiot ne saurait que trop vous conseiller de vous plonger dans le mystère des écrits de Maria Valtorta en accès libre sur le web et richement commentée par des scientifiques de toute nature. « Ceux qui liront comprendront… »

    • Michel dit :

      La foi du charbonnier est une expression de l’Église catholique romaine, organisation qui affirme qu’il y a L’Église enseignante et L’Église enseignée !

      Chez les orthodoxes, c’est tout l’inverse : chacun doit lire les Saintes Écritures : ancien testament, nouveau testament, écrits des Saints-Pères. Bien sûr il est difficile de tout lire et ce n’est pas donné à tout le monde. C’est pour cela qu’existe la notion de père spirituel (qui n’est pas la personne qui vous confesse toutes les semaines, celui-ci étant un prêtre ordinaire de votre paroisse). Le père spirituel vous guide afin que vous atteignez le Paradis et vous soumet des lectures selon la possibilité de chacun (des noms célèbres : st Séraphin de Sarov, par ex., mais il y en a une multitude d’autres y compris à notre époque (allez voir au mont Athos)).

      Comme vous le voyez, tout est très simple. Il suffit d’avoir la volonté d’appliquer sa foi.

  6. Christine dit :

    Écœurant, blasphématoire, de Benoist dévoile son vrai visage, et son intellect sataniquement inspiré. Bouquin à mettre aux ordures ou plutôt à brûler.

  7. Michel GOSSE dit :

    C’est vraiment une horreur, comment Breizh info peut-il colporter de tels blasphèmes!

  8. Le PRIMITIF dit :

    Bonjour Cousins BRETONS ,
    Les commentaires sur cet article qui nous parlent d’un ouvrage deAlain De Benoist respirent la censure à plein nez !Il n’y pas pire que de vouloir censurer des Auteurs sans argumentaire valable .
    Baptisé, je n’ai jamais était attiré par la religion Chrétienne .Je n’en fait pas un rejet non plus ,mais je ne pense pas que face à l’authentique fléau qu’est L’Islam par exemple, elle soit de taille à lutter .

  9. Philibert dit :

    Voilà qui va plaire aux musulmans, eux qui vénèrent Marie sans doute autant que nous.

  10. Gérard DAVID dit :

    VADE RETRO, SATANAS !

  11. mélennec dit :

    PERSONNE ne croit à la ressuscitation de Jésus, ni à la virginité de Marie.
    Il y a des siècles que l’Eglise aurait dû lessiver ces vieilleries.
    Le seul problème : Dieu existe-t-il ?????
    Voila l’occasion de FESSER le pape en public .

    • JP VARESE dit :

      Votre texte est délirant, voire ignoble. Tant pis (pour vous). Je signale que le Messie d’Israël, devait naître d’une Vierge (cf Ia prophétie d’Isaïe). Donc le Fils du Dieu Vivant ne pouvait naître d’une simple femme ayant contracté le péché originel, elle devait rester la toute pure. D’ailleurs, si Jésus de Nazareth a accepté d’être touché par Satan (et transporté au pinacle du Temple), ce dernier n’a pas pu toucher la sainte Mère de Dieu.

      • Michel dit :

        Plutôt d’accord avec vous Monsieur Varèse, sauf en ce qui concerne l’humanité du Christ : Il ne pouvait naître que d’une femme ordinaire et non pas d’une femme spéciale, unique au monde, ayant déjà perdu son humanité – car l’être humain est soumis au péché originel. Seul le seul HOMME-DIEU, ayant Dieu comme père physique, n’est pas soumis au péché originel, ce qui me fait penser que celui-ci passe peut-être par le père et non par la mère !

      • JP VARESE dit :

        J’ajoute qu’il y a les Apparitions de Lourdes qui sanctifient la virginité de la sainte Vierge: “Je suis l’Immaculée Conception”. On rappellera avec plaisir l’hostilité publique des savants des universités, pour la plupart franc-maçons ou libres-penseurs, qui ont été ridiculisés par tous les miracles de la Grotte. Eh oui les savants sont souvent orgueilleux…

  12. Pen-Gan dit :

    Quid du Saint suaire de Turin qui porte toutes les traces de la crucifixion telle qu’elle a été décrite par les évangiles, et qui montre également que les clous ont été enfoncés dans les poignets et non dans les mains ? Personne n’a encore pu trouver une explication scientifique sur les origines de cette relique.

    • JP VARESE dit :

      Je crois qu’Alain de B. ne connait pas le livre du professeur Jean-Christian Petitfils, spécialiste de Louis XIV, sur le Saint-Suaire, ou s’il l’a, il ne l’a pas encore lu.

  13. Noel Stassinet dit :

    Un athée, anti chrétien, ne peut pas offrir une réflexion sensée en faisant abstraction de la Foi. Il a renié la foi de sa jeunesse comme l’ont fait certains prêtres lors des évènements de la révolution française devenant les plus acharnés contre le catholicisme à l’image des Joseph Le Bon à Arras, Volcler (féroce en Mayenne) etc. Il est étonnant de trouver ce genre de diarrhée-gloubi-goulba dans un journal électronique qui consacre chaque jour un article aux saints. Benoist a un parcours intellectuel et politique pour le moins curieux pour un type qui se dit penseur.
    Sur RMC découverte, le vendredi de Pâques 2014, il y avait eu une curieuse émission dirigée par Régis Burnet, par ailleurs animateur sur KTO, avec un aréopage de gens curieux ; un intervenant, un ancien moine viré de son monastère, avait même prétendu que Jésus avait été enlevé de son tombeau par ses disciples puis emmené dans le désert où il était mort ; on n’avait jamais retrouvé ses ossements.
    Ces attaques sont pitoyables ; pauvres types, ils auront à rendre des comptes après leur mort.
    https://souvenirchouandebretagne.over-blog.com/2020/04/les-mysteres-de-la-mort-de-jesus.html

  14. Michel dit :

    D’abord Jésus ne peut pas être un “dossier”.
    Il nous englobe entièrement, Il englobe chacun d’entre nous. Le dossier, dans l’histoire, c’est chacun d’entre nous.

    Ensuite je ne me suis jamais autant marré. Ce cher Alain a beaucoup de travail à accomplir avant de comparaître devant son Créateur. Entre autre, lire les Évangiles qui sont la première source historique à prendre en compte et à s’y tenir. Ce n’est pas pour rien que l’Inspirateur des Saintes Écritures, le Saint Esprit, a fait mettre dedans des références temporelles.

  15. Eric Abgraal dit :

    Je trouve étrange ces réactions d’intolérance face à un ouvrage qui est quand même une magistrale oeuvre de recherche scientifique. Lisez le livre et critiquez ce qui vous semble douteux ou erroné mais ne partez pas de présupposés. Certes le récit chrétien est sérieusement mis en doute mais a-t-on le droit au XXI ème siècle de se laisser bercer d’illusions ? Si le christianisme a bien été fondamental pour la fabrication de notre civilisation et dont je ne souhaite pas l’effacement les mythes grecs romains et celtes entre autres en fontaussi partie et personne ne leur conteste leur irréalisme. Et alors comment répliquer à des croyances erronées si l’on ne balaie pas devant sa porte. Pour ceux qui voudraient se poser d’autres questions cette fois sur l’ancien testament je propose la lecture de “la bible dévoilée” de Israël Finkelstein et Neil Asher Silberman ouvrage qui au vu des trouvailles archéologiques remet en cause les dogmes judaïques. Et pour réfléchir avec un autre point de vue “les religions meurtrières” d’Elie barnavi.
    Et moi en quoi croye-je ? Au retour d’Arthur bien entendu. Mais un Arthur non christianise.

    • Ar Baot dit :

      “Une magistrale oeuvre de recherche scientifique” ? Monsieur Abgraal, vous ne doutez de rien… ce qui est bien votre droit… mais votre “salmigondis à la sauce de Benoist”, n’a qu’un effet, manifeste, réunir tous les suffrages, tous les ingrédients, pour susciter le rejet doublé du dégout.

      Votre soutien indéfectible aux délires de M. de Benoist, n’inspire pas grand monde…

    • Noematias dit :

      Mais à quoi bon la recherche scientifique quand, les commentaires le disent bien, la foi suffit ? Ce qui illustre, d’ailleurs, les origines communes du christianisme et de l’islam : chercher le savoir, fût-il en contradiction avec la parole de Dieu, mène au blasphème ! Les écritures divines dispensent de toute autre connaissance.

      • Michel dit :

        C’est justement parce que les écritures, comme vous le dites, sont divines, c’est-à-dire inspirées par Dieu lui-même.

      • JP VARESE dit :

        Vous êtes “gonflé (e)”. Oser comparer la Bible, qui ne propose pas vraiment de messages scientifique avec le Coran où toute la Science est inscrite! Regardez les bibliothèques des monastères catholiques et l’apport des chrétiens à la Science. Relisez l’histoire de Galilée qui n’avait pas de justification sur ses théories, au contraire de Copernic qui était chanoine.
        Quant au droit au blasphème, il était interdit même dans les cités de l’Antiquité qui vous servent de modèle.

  16. JP VARESE dit :

    Je ne lirai pas ce livre. Son auteur affirme qu’il mène une “guerre contre le christianisme” (voir un numéro récent d'”Elements”).

  17. Alphonse Rastibonne dit :

    Je suis déçu que Breizh-Info publie ce genre d’articles ineptes.
    Il n’y a rien de plus sourcé que le récit des Évangiles, que la vie de Jésus-Christ (au cinquième siècle avant J.-C. ! Pas besoin d’en lire plus : l’auteur mérite une fessée publique, impossible de raisonner avec des insensés pareils).
    Pour les incultes qui se pâment devant de Benoît qui a la haine du Christ (et donc des Bretons qui ont été pendant des siècles les plus catholiques des peuples sur cette terre), sachez que la vie, la divinité, la résurrection du Christ sont rendus comme obligatoires par tout être humain intelligent qui se respecte, grâce au Saint Suaire de Turin qui est une preuve tangible et palpable de ce que Dieu connaît notre époque d’impies de tout temps, et qui sera un signe de contradiction pour beaucoup :
    https://www.youtube.com/watch?v=x8kXiDm5rLc
    De Benoît aurait dû potasser les ouvrages d’Upinsky sur la question, ça lui aurait évité de se coltiner l’écriture d’un « livre » :
    https://www.bod.fr/librairie/catalogsearch/result/?q=Upinsky
    Pour les Évangiles, Marie-Christine Cerutti-Cendrier a fait un travail récent sur cette question précise. Et tellement d’autres, que nos ennemies tentent de faire disparaître…

  18. Michel dit :

    Cher Breizh-Info, je rajouterais ceci :

    Après avoir sorti cette critique, qui est plutôt une louange, et avoir subi un déferlement de mises au point de chrétiens divers,

    je vous suggère de publier une mise au point.

    Bien à vous.

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