Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Grand Remplacement : une classe pour élèves allophones créée au collège public de Collinée (22)

Le défenseurs du gallo ou du breton oseront-ils  relever l’incongruité de la chose : une classe UPE2A pour élèves allophones sera créée l’année prochaine au collège public Victor Vasarely de Collinée. L’établissement en question compte en effet 21 élèves roumains et ukrainiens qui ne parlent pas ou mal le français sans compter les élèves issus des migrations précédentes ou actuelles : Maliens (10% de la population de Collinée), Turques, Portugais, Bulgares (Rroms), mahorais, etc…

Ces populations viennent à Collinée pour travailler à l’usine agro-alimentaire Kermené qui compte différents sites sur la commune et ailleurs. Dans la commune, comme dans certaines communes voisines, on entend désormais parler essentiellement roumain ou romani dans les rues principales des bourgs et les assistantes maternelles se voient distribuer des imagiers “français-roumain-rromani” ou “français-mahorais-comoriens” pour communiquer avec les enfants qu’elles gardent.

En parallèle, sur un territoire aussi rural où le gallo est encore très présent et proche du territoire bretonnant, il n’existe aucune filière d’apprentissage des langues de Bretagne dans les écoles ou collèges de Collinée et des communes environnantes.

En Bretagne, la filière agro-alimentaire est l’un des principaux vecteurs du Grand Remplacement qui tire les salaires vers le bas et entretient des conditions de travail difficiles et pénibles.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

10 réponses à “Grand Remplacement : une classe pour élèves allophones créée au collège public de Collinée (22)”

  1. Durandal dit :

    Bonjour,

    Des salaires de misère, qui ne permettent pas l’augmentation du niveau de vie du petit blanc, et désormais, l’obligation pour le petit blanc de s’intégrer aux populations immigrées ! Et non l’inverse. De mieux en mieux de la part de ce patron voyou, assisté par les services de l’état.

    Corrompus avides, nous n’avons pas besoin de votre action néfaste pour le pays. Vous n’apportez rien à la population et à notre pays. Vous êtes des traîtres à la nation.

    Cdt.

    M.D

  2. FEDYCK GHISLAINE RENEE dit :

    et bien accueillez et instruisez ces élèves qui ont conscience que LA LANGUE est l’outil fondamental pour pouvoir DIALOGUER ET TRAVAILLER !!!
    pour la petite histoire mon interne ROUMAIn EST MAINTENANT DIRECTEUR il a travaillé dur et il pensait à a sa femmeet ses enfants un temps à PARIS !!!
    vive ceux qui pense FRANCE dans la paix et le travail
    amities

  3. alienor dit :

    il serait préférable que cette personne travaille DANS SON PAYS

  4. Tepod Gwilhmod dit :

    Je n’ai pas d’objection à ce qu’on utilise leur langue familiale pour leur apprendre le français. Le problème n’est pas là. Le problème est la législation nationale et supra-nationale qui impose une immigration-submersion. Je doute par ailleurs que le parler gallo du coin soit encore pratiqué : il s’agit plutot d’un patois très influencé par le français (école, radio, télé, voisins etc) avec quelques mots/expressions “gallos” tout au plus. Le vrai gallo est bien mort et enterré depuis plusieurs dizaines d’années. Quand cette fable de 200000 locuteurs sera enfin abandonnée pour regarder la réalité en face. Pour le breton c’est très différend puisqu’il est enseigné par environ 500 profs si je ne me trompe. Le nombre de locuteurs de 200000 est sur-évalué (mon voisin de langue maternelle bretonne ne le parle en fait qu’avec moi, même pas avec sa soeur et il a un niveau très limité, mis à part son métier et la météo)

  5. Tepod Gwilhmod dit :

    alienor : cet enfant, son pays, c’est la France. Il y est né : c’est trop tard. On ne peut pas moralement les expulser. Il faut les intégrer en prenant le taureau par les cornes et arrêter cette submersion en changeant la constitution puisqu’il semble que ce soit la seule solution pacifique. Moi je prie pour leur conversion chrétienne : cela résoudrait le gros des problèmes. Riez toujours mais il y a des conversions.

  6. KC dit :

    @ Tepod Gwilhmod : On ne convertit point les gens en dehors de leur Nation … Autre que le fait que nos territoires en France non pas les ressources nécessaire pour entretenir des individus qui ne voulant pas prendre le “taureau par les cornes” chez eux voudrais faire appel à notre gentillesse qu’ils considère depuis les années 70/80 Comme une faiblesse .

  7. Tepod Gwilhmod dit :

    à KC en écrivant qu’il faut “prendre le taureau par les cornes” je ne vise pas les personnes d’origne étrangère car, je le répète, c’est trop tard, le mal est fait, et vous avez raison c’est à la collectivité de payer et de payer.
    Personnellement je ne pense pas contrairement à vous qu’il s’agirait de notre part de gentillesse de les accueillir. Il s’agit d’importer une main d’oeuvre très bon marché pour l’économie (et aussi de maintenir les salaires bas pour les nationaux grâce à un niveau de chômage élevé) … et aussi de compenser le déficit démographique : 17 million environ d’individus en moins depuis la loi de l’IVG, la difficulté d’élever des enfants dans notre société par rapport à avant, le niveau de divorces (50 % des mariages) etc… Les Maliens d’origine, eux, n’avortent pas, et leurs valeurs traditionnelles en général font que le lien du sang et communautaire et religieux est important pour eux, et puis, c’est vrai, il y a la l’Assedic la CAF Emmaus et les Restos du Coeur/secours pop et ‘catholique’ et que sais-je. On peut penser qu’ils profitent du système, oui, mais ce n’est pas eux qui l’ont mis en place ; ils en bénéficient et c’est tout à fait compréhensible.
    Non, le pb c’est la législation : il faut ou bien une réforme pacifique de la constitution pour redonner le pouvoir au parlement au détriment du gouvernement des juges français & CEDH… ou bien il y aura un effondrement de la société .. qui est déjà commencé quand on se rend compte de l’incapacité des institutions, de la dette, … et de la crise économique (hausse de 20 % de l’alimentaire, de 26 % de l’électricite en un an) et surtout à mon avis énergétique:les pêcheurs et les agriculteurs sont devant une hausse inéluctable et exponentielle du gazole (et de l’électricité). L’avenir proche risque donc d’être sombre. Le pb de classe de langues allogènes en Kreiz Breizh n’est que l’écume d’une crise autrement plus difficile à résoudre.

  8. Henri dit :

    On devrait laisser ces petits Maliens, Roumains, Turcs, Portugais, Bulgares, Mahorais, Ukrainiens, etc., mijoter tout seuls dans leur jus scolaire durant une année : on assisterait alors à une créolisation de leurs langues respectives, autrement dit à la création d’un créole nouveau et original, ce qui enrichirait encore plus la diversité française.

  9. Laurent monn dit :

    Par contre, il va falloir qu’il arrête le Tepod Guillemotte de dénigrer le gallo en permanence. Mes grands-parents, mes parents en ferme parlaient le gallo et c’est une fierté. Les bretonnants, c’est comme les a*****, ils arrivent quelque part et veulent imposer leur langue à tout le monde. Heureusement qu’ils ne sont pas muslims en plus ! La Bretagne, c’est aussi le gallo. Surtout le gallo ! Guillemotte commence sérieusement à me les briser là

  10. Gwilhmod dit :

    Laurent monn. Désolé de vous les briser. Les faits sont là, je n’ai fait que les exposer. Libre à vous de parler gallo. “Les bretonnants” (les militants dont je suis) ne font que répondre à la demande de breton dans toute la Bretagne. Les sondages sont là : en Haute Bretagne les habitants trouvent légitime que le breton y soit présent. Devezh mat deoc’h.

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

Ensauvagement, Lamballe, Local, Loudéac, Société

Alerte à la bombe cette nuit sur le site de Kermené (22)

Découvrir l'article

Local, Vidéo

195 personnes testées après des cas de Covid-19 à l’abattoir de Kermené (22)

Découvrir l'article

Economie, Social

Collinée. Quand la Bretagne part à l’abattoir

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky