Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent sur le traitement médiatique de la mort du jeune Philippe Coopman, massacré pour une prétendue histoire de site de rencontre. Le dossier du jour sera consacré à la tourmente que connaît La France insoumise notamment avec la convocation par la police de la députée Mathilde Panot pour apologie du terrorisme.
Les pastilles de l’info : 1) Propagande propagande : Les perles du service public 2) Les ciseaux de la censure : Fabius et le Conseil constitutionnel 3) Le coup de chapô : Nouvelle action du Collectif Némésis 4) Décryptage : La promotion de la GPA par le gouvernement ?
Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à Hugo Clément, un journaliste et écolo pas tout à fait comme les autres !
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4 réponses à “Mathilde Panot traînée au tribunal, censure ? – Le Nouvel I-Média”
Eux c’est trop de conneries dans quelques petites têtes , la droite est inexistante: ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire, et le R.N puise dans les deux, et quand on a un Roi qui essaye de faire quelque chose, on lui coupe la tête ! qui sauvera la France ! ce qui est sûr! la France est un paradis peuplé de cons, je le sais j’y suis ! héhéhé
les gens de LFI devraient savoir que la “liberté d’expression” (???) ne se divise pas. C’est pour tous ou personne. Mais ils participent eux-mêmes aux persécutions de tout ce qui n’est pas gauchiste. Quand le boomerang revient dans leur sale gueule je ne vais pas les plaindre.
Les neo-facho de LFI emploient exactement les mêmes méthodes que nos amis en 1936 : muselage de la presse, liberté d’expression à leur seul profit, mainmise sur les idées et les médias, antisémitisme éhonté, appui électoral sur tout ce que le pays compte de frustrés et de ratés.
Ca finira par payer … ou pas !
En tous cas, pour les élections à venir les 5 prochaines années, ça nous mène droit à une guerre civile sanglante …
liberté d’opinion, pour tous! LFI applaudissait quand ça arrivait à zemmour, l’arroseur arrosé, je ricane, il n’en reste pas moins vrai que la macronie se révèle une dictature douce …. avant de l’être plus ferme ensuite