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SOS Faune Sauvage Bretagne. Un numéro d’urgence en Bretagne pour sauver des animaux sauvages en détresse

Pour remédier à la prise en charge parfois insuffisante de certains animaux sauvages en Bretagne, due au manque de moyens des centres de soins, une plateforme de médiation téléphonique, SOS Faune Sauvage Bretagne, a été lancée. Les personnes découvrant un animal en détresse peuvent désormais la contacter.

Qu’il s’agisse de hérissons, d’oiseaux, de chevreuils ou d’autres animaux sauvages blessés, les découvreurs peuvent appeler le numéro d’urgence pour recevoir des conseils appropriés et être orientés vers le centre de soins le plus proche.  Les partenaires incluent la Station LPO de l’Île-Grande (22), l’École vétérinaire de Nantes Oniris (44) et le Sea Shepherd Rescue (56).

Une Initiative concertée

Créée à l’initiative de la LPO Bretagne et du parc zoologique Les Terres de Nataé à Pont-Scorff, en collaboration avec l’Agence bretonne de la biodiversité, la plateforme SOS Faune Sauvage Bretagne est opérationnelle depuis début mai. Elle permet d’aider les animaux sauvages blessés ou en danger trouvés dans les quatre départements bretons et en Loire-Atlantique.  L’équipe de médiateurs, composée de quatre femmes et un homme, se relaient pour assurer le service quotidiennement.

Pour les espèces marines, les mammifères sont pris en charge par l’Observatoire Pélagis, tandis que les oiseaux sont dirigés vers le centre de soins de L’Île-Grande. Si l’animal est découvert dans l’ouest de la Bretagne, il peut être temporairement envoyé à l’Association pour la conservation des mammifères et oiseaux marins de Bretagne (Acmom) à Océanopolis (29) avant son transfert à L’Île-Grande.

Ce service d’urgence est également accessible aux pompiers, gendarmes, policiers, élus et employés municipaux confrontés à des animaux sauvages en détresse.

Le numéro d’appel d’urgence pour la faune en détresse est le 02 57 63 13 13. Il est disponible sept jours sur sept, de 9h à 18h. En dehors de ces heures, il est possible de laisser un message vocal pour être rappelé le lendemain matin. Pour plus d’informations, consultez le site : sosfaunesauvage.bzh.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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4 réponses à “SOS Faune Sauvage Bretagne. Un numéro d’urgence en Bretagne pour sauver des animaux sauvages en détresse”

  1. jcm78 dit :

    c est mieux de depenses des milliards pour des clandestins la faune sauvage a son utilite

  2. Gaï de Ropraz dit :

    Très Bonne Initiative des autorites Bretonnes en faveur du monde animal. BRAVO !!!

    Mais il se fait que moi, j’aime bien plus les animaux que les humains …

  3. .Mme C. Masselin dit :

    Qu’est-ce qu’on fait quand on trouve des oiseaux protégés, agonisants ou blessés sous les éoliennes industrielles géantes?
    On téléphone à Bougrain Dubourg de la LPO qui a signé des accords avec les promoteurs éoliens moyennant finances? On téléphone à ces associations qui ferment les yeux sur ces massacres, trafiquent les chiffres de mortalité et mentent comme des arracheurs de dents? On téléphone à ces animalistes vendus aux escrocs de la transition écologique?
    Et pour les vaches qui dépérissent ou meurent à cause des machines à fric? Et pour les éleveurs de bovins touchés dans leur santé comme à Nozay en Loire Atlantique?
    On téléphone à qui? Aux ornithologues qui se sont vendus aux installateurs d’éoliennes en acceptant des postes de responsabilité rémunérés chez EDF Energie Nouvelle en 2013 ?
    Relisez ou découvrez l’article du Canard Enchaîné : « Les oiseaux sont au courant », article qui lève le voile sur ce scandale.
    On termine en citant ce mot de Marc Duchamp, Président du «Conseil Mondial pour la Nature» : «l’Industrie éolienne est devenue le principal employeur d’ornithologues de l’Union européenne et autres pays à forte pénétration des énergies dites vertes.»
    Si une partie des Français ignore ces réalités et avale les couleuvres, bien d’autres ont compris qu’on ne mord pas la main qui nourrit.
    Des tartuffes. Un service de santé à côté de champs d’extermination de masse !

  4. Raymond NEVEU dit :

    La faune sauvage se régularise elle-même depuis la nuit des temps. Dans la liste des associations de la bien-pensance écolo-verte il manque la Fédération des Lombrics, l’Amicale des Cloportes, l’Eglise Puritaine des Moustiques, l’Union des Dangereux Psychopathes du Prédicateur de Médine et j’en passe…les Reinettes Vertes des Zones Désertiques…bien briefés par des avocats marrons au service des ONG! Les problèmes de la Médecine en France devrait passer avant toutes ces conneries.

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