De la société multiculturelle à la société multiconflictuelle, il n’y a qu’un pas, comme certains l’avaient annoncé il y a bien longtemps désormais. Un possible lien de cause à effet qui se vérifie un peu plus chaque jour aux quatre coins de l’Hexagone. Notamment en Île-de-France où, lundi 16 septembre, un migrant sri lankais était suspecté d’avoir poignardé un quinquagénaire dans le RER à Corbeil-Essonnes.
Cette dégradation du climat sociétal sur fond d’insécurité grandissante ne se cantonne pas aux banlieues de la capitale. Au mois de juillet dernier, un militaire de l’opération Sentinelle avait été blessé au couteau à la Gare de l’Est. L’assaillant était un individu âgé de 40 ans et né au Congo, naturalisé français en 2006 et déjà connu pour un meurtre commis en 2018.
Toujours à Paris, le quotidien Le Parisien a rapporté le 19 septembre qu’un individu avait été mis en examen la veille pour « tentative d’assassinat » puis placé en détention provisoire. L’homme en question est soupçonné d’avoir tenté d’incendier un camp de Roms en compagnie de complices dans la nuit du 20 août dernier. Des faits qui se sont déroulés à la porte de Montreuil, dans le XXe arrondissement de Paris.
Cette tentative d’incendie serait en lien avec une tentative d’extorsion. Des Roms présents dans le campement auraient appelé la police après qu’un groupe de garçons, « originaire d’Afrique du Nord » précise le titre de presse, se soit approché des lieux et ait commencé à y jeter des engins incendiaires.
Avant l’arrestation du 16 septembre, deux autres suspect avaient déjà été appréhendés puis incarcérés dans le cadre de l’enquête faisant suite à cette tentative d’incendie. Pour sa part, le procureur a indiqué qu’il s’agissait de « faits graves qui troublent durablement l’ordre public ».
En projetant leurs engins incendiaires, les jeunes Maghrébins auraient toutefois « manqué leur cible », explique Le Parisien, citant une source proche du dossier : « Les bouteilles ont explosé en flammes à l’écart des véhicules des habitants des lieux. » C’est l’intervention de policiers de la brigade anticriminalité qui viendra mettre un terme à l’attaque et permettra l’interpellation en flagrant délit des deux premiers suspects, qui avoueront rapidement les faits lors de leur garde à vue.
Quant au profil du troisième homme interpellé lundi dernier, il serait « d’origine marocaine » et aurait indiqué aux enquêteurs avoir « moins de 18 ans et vivre dans un foyer pour mineurs isolés ». Il vivrait dans l’illégalité à Paris depuis plusieurs mois, se permettant tout de même des allers-retours réguliers en Espagne…
En bref, une nouvelle scène du « vivre ensemble » imposé aux Français sans que ces derniers n’aient été préalablement consultés sur le sujet.
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3 réponses à “« Vivre ensemble » à Paris. Des « jeunes » originaires du Maghreb interpellés pour tentative d’assassinat : ils ont essayé d’incendier un camp de Roms”
ils ne savent pas à qui ils s’en prennent ! eux aussi n’ont rien à craindre ! ce n’est pas la police qui ne peut pas répondre, à moins d’être en garde à vue !
la gauche a créer ce multiculturel vision délirante de communauté de pauvre se rejoignant dans un élan fraternel résultat : la france d’aujourd’hui ! merci aux couillons qui continuent d ‘y croire et de voter pour ces ringards qui détruisent ce pays jadis appeler france
ces gugusses devraient avoir été expulsés depuis bien longtemps