La Bretage, la France, comme le reste de l’Europe, sont confrontées à un défi qui dépasse de loin les crises économiques ou sanitaires : celui de sa survie identitaire. Chaque année, des milliers de nouveaux arrivants franchissent nos frontières, porteurs de cultures, de pratiques et parfois d’une hostilité viscérale envers nos valeurs. Pourtant, jamais les Bretons, les Français, ni les Européens, n’ont été consultés sur cette transformation radicale. Il est temps de briser ce tabou. Il nous faut un référendum sur l’immigration en 2025. Et pas seulement en France : c’est toute l’Europe qui doit se lever pour reprendre son destin en main.
Un référendum pour remettre le peuple au centre
Pourquoi un référendum ? Parce que la classe politique, gangrenée par l’idéologie et les intérêts financiers, a trahi son rôle de garant du bien commun. Les décisions qui impactent profondément l’avenir de nos nations sont prises sans consultation populaire, sous l’égide d’une Union européenne qui agit comme une machine à broyer les volontés nationales. En appelant à un référendum, nous redonnons la parole au peuple, seul souverain légitime.
Le référendum ne doit pas être une simple consultation symbolique. Il doit poser des questions claires et engageantes, comme :
- Souhaitez-vous un arrêt complet de l’immigration non européenne ?
- Approuvez-vous l’expulsion systématique des clandestins et des délinquants étrangers ?
- Êtes-vous favorable à une révision ou une dénonciation des traités internationaux, comme la Convention de Genève ou le Pacte de Marrakech, qui contraignent la souveraineté nationale ?
Des axes légaux clairs et percutants
Un tel référendum doit être accompagné d’un cadre légal précis, pour en garantir la mise en œuvre. Voici quelques pistes pour structurer cette démarche :
- Rétablir la primauté nationale sur les traités internationaux : Les conventions internationales qui empêchent l’expulsion des clandestins ou imposent un accueil inconditionnel doivent être dénoncées. La souveraineté d’un peuple prime sur des textes rédigés par des bureaucrates éloignés de nos réalités.
- Inscrire les décisions référendaires dans la Constitution : Les résultats de ce référendum doivent avoir une valeur contraignante et être protégés de toute contestation juridique. Les lois votées en conséquence doivent s’imposer à toutes les juridictions, y compris les européennes.
- Réorienter les aides sociales et les logements vers les nationaux : La préférence nationale ne doit plus être un gros mot. Elle doit devenir un principe structurant de notre politique sociale.
- Sanctions sévères pour les clandestins et leurs complices : Toute personne pénétrant illégalement sur notre territoire doit être expulsée immédiatement, sans possibilité de recours interminables. Les réseaux de passeurs et les associations complices doivent être poursuivis avec la plus grande rigueur.
Une perspective européenne : un mur pour l’Europe
Ce référendum ne doit pas se limiter à la France. L’Europe entière est confrontée à une invasion migratoire qui menace son identité. Si chaque nation organisait un tel référendum, nous pourrions poser les bases d’une véritable coopération pour protéger nos frontières. Cela passe par la refonte des accords de Dublin, et la création d’une force européenne dédiée à la protection des frontières.
Certains diront que cette vision est radicale. Mais face à l’effondrement de nos quartiers, à l’explosion de l’insécurité et à l’érosion de notre cohésion nationale, n’est-il pas temps de choisir la radicalité plutôt que la résignation ? Un peuple qui n’ose pas défendre son avenir est un peuple condamné.
Une tribune pour réveiller les consciences
Ce référendum sera un cri de ralliement pour tous ceux qui refusent de voir leur pays devenir une terre sans racines, une Europe sans identité. Il est temps d’envoyer un message clair aux élites qui nous méprisent : le peuple ne se laissera plus confisquer son destin.
Nous, Bretons, Français, Européens, avons le droit de décider qui peut vivre parmi nous. Nous avons le droit de protéger notre culture, nos valeurs, et l’avenir de nos enfants. Ce référendum ne sera pas un aboutissement, mais le début d’un combat plus grand pour une Europe libre et fière de ce qu’elle est. Alors, levons-nous, exigeons ce référendum, et faisons entendre notre voix.
En 2025, il ne s’agit plus seulement de voter. Il s’agit de résister.
Julien Dir
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