Le 19 juin 2025, les « Sages » du Conseil constitutionnel ont encore sévi. À la manière d’un clergé laïque déguisé en gardien de l’État de droit, ils ont une fois de plus censuré la volonté du peuple exprimée par ses élus. Cette fois, c’est la loi Attal, visant à restaurer un minimum d’autorité face aux délinquants multirécidivistes de moins de 18 ans, qui a été largement retoquée. Motif ? Elle porterait atteinte à « l’esprit de l’ordonnance de 1945 », ce texte hors d’âge qui considère encore qu’un voyou de 16 ans incendiant une école mérite une tape sur les doigts et un éducateur compréhensif.
Mais qui sont ces gens ? Qui sont ces « sages » nommés, en plus des anciens Présidents, par copinage politique, grassement rémunérés par nos impôts pour annuler tout ce qui dérange l’ordre établi ? Qui sont ces censeurs en robe noire pour s’arroger le droit de bloquer la loi, de neutraliser la souveraineté populaire, et de maintenir le chaos légal au nom d’une Constitution dépassée, conçue à une époque où la France était encore debout ?
Un régime à bout de souffle
Il faut oser le dire : la Cinquième République est morte. Elle agonise dans les bras d’un Conseil constitutionnel devenu un véritable Comité de salut public inversé, protecteur non pas du peuple mais de la racaille, du laxisme et du nihilisme judiciaire. À chaque fois que l’exécutif tente — maladroitement certes — de reprendre la main sur des sujets explosifs comme l’immigration, la sécurité, ou la justice des mineurs, les juges constitutionnels brandissent leur épée de bois et sifflent la fin de la partie.
Mais le peuple n’a jamais donné mandat à ces gens-là pour faire la loi.
Nous sommes dans un régime dévoyé, où les élites juridiques et technocratiques, hors-sol et hors contrôle, imposent leur morale, leurs principes universalistes, leurs dogmes post-républicains. Le problème n’est pas seulement dans les textes. Il est dans la structure même du régime. Dans l’ADN d’une République qui ne repose plus sur le peuple, mais sur un clergé juridico-politique décidé à le domestiquer.
Le peuple muselé, les ennemis protégés
Les mêmes juges qui valident l’invasion migratoire au nom de la « fraternité », qui censurent les lois contre les squats, contre la mendicité agressive, ou contre l’ensauvagement des rues, sont les premiers à dégainer le couperet dès qu’il s’agit de sanctionner un mineur multirécidiviste ou de responsabiliser des parents défaillants. Ils préfèrent l’excuse à la sanction, l’éducation obligatoire à l’ordre juste, le laxisme judiciaire au retour de l’autorité.
Et pendant ce temps, nos villes flambent, nos écoles sont pillées, nos commerces braqués par des adolescents déshumanisés, formés dans des banlieues devenues des camps de l’anti-France. Et que fait l’État ? Rien. Il se met à genoux devant les nouveaux intouchables protégés par les robes de Montpensier.
Il faut sortir de ce régime. Il faut abolir la Cinquième République et bâtir un ordre nouveau. Une République populaire, enracinée, directe, où les lois ne sont plus dictées par des cliques, des magistrats et des idéologues, mais par les citoyens eux-mêmes. Une démocratie à la suisse, où le peuple peut voter sur l’immigration, sur la sécurité, sur la justice. Sans filtres. Sans verrou. Sans censure.
Le Conseil constitutionnel doit être aboli. Il n’est plus un rempart contre la tyrannie : il est devenu le bras armé d’une minorité qui hait la France réelle. Une institution liberticide qui protège les parasites et muselle les Français qui travaillent, qui paient, qui obéissent encore.
Un jour, cela craquera. Les Français n’accepteront pas indéfiniment qu’une poignée d’anciens ministres, de hauts fonctionnaires cooptés, empêche la reconquête de leur pays. La démocratie ne peut pas survivre à l’impuissance. Et l’impuissance ne peut pas survivre à la colère. Alors il faut se préparer. Il faut penser une Sixième République forte, identitaire, enracinée, directe. Une République qui rende la parole au peuple.
La France n’a pas besoin d’une énième réforme molle. Elle a besoin d’une rupture. D’un sursaut. D’un acte fondateur. Dissolvons la Cinquième. Rendons le pouvoir à ceux qui le méritent : les Français. Ceux qui n’ont que trop attendu que justice soit faite.
Julien Dir
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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2 réponses à “Conseil constitutionnel et tyrannie des « sages » : il est temps de dissoudre la Cinquième République et de tout reconstruire [L’Agora]”
une petition !!
Je partage totalement ce constat et ces conclusions. Mais qui et quand ? Merci en tout cas d avoir le courage de l écrire !