Vers un permis d’habiter en République soviétique française ? Ils veulent vos maisons. Ils veulent vos terres. Ils veulent vos vies [L’Agora]

Ils avancent masqués. Toujours. Hier encore, les gauchistes nous juraient qu’on pouvait « être propriétaire sans culpabiliser ». Aujourd’hui, les mêmes, par la voix d’experts dociles de l’Insee, insinuent que vos maisons seraient… trop grandes. Trop vides. Trop « sous-occupées », disent-ils, comme s’il s’agissait de parkings publics. Demain ? Ils viendront frapper à votre porte, avec leur carnet de rationnement foncier, leur mètre ruban et leur idéologie en bandoulière.

Ce 8 juillet 2025, l’Insee a publié une étude qui aurait pu sortir d’un bureau de planification soviétique : un quart des ménages vivraient dans un logement « beaucoup trop grand ». Comprenez : vous, parents qui avez une chambre d’amis ou un bureau ; vous, grands-parents qui gardez une chambre pour vos petits-enfants ; vous, célibataires installés dans la maison familiale. Vous êtes les futurs coupables.

Une idée folle ? Non. Un projet.

Ce genre de rapport n’est jamais anodin. Il ne tombe pas du ciel. Il prépare les esprits. Il balise le terrain idéologique, en injectant lentement le poison de la culpabilité. Puis viendra le moment des « incitations » : baisse d’impôt si vous sous-louez une pièce, prime si vous hébergez un migrant, taxe foncière progressive selon la surface « excédentaire ». Puis, un jour, la coercition. La loi. L’expropriation. C’est ainsi qu’ils fonctionnent. Toujours.

Vous croyez que j’exagère ? Relisez l’histoire récente : Crime de la pensée, euthanasie, mariage homosexuel, PMA, GPA, changement de sexe pour mineurs. À chaque fois, la même mécanique : une avant-garde gauchiste ou communiste, militante minoritaire, moquée, conspuée, considérée comme radicale, inacceptable même. Puis, vingt ans plus tard, après travail de sape, d’influence, de réseautage, de corruption,  la loi. Puis la propagande. Puis l’interdiction de critiquer.

Aujourd’hui, ils ricanent : « Mais non, voyons, personne ne veut vous exproprier ! » Demain, ce seront les mêmes qui rédigeront la circulaire vous obligeant à « optimiser votre surface d’habitat dans un cadre écologique et solidaire ». Slogans publicitaires à la clé, messages du gouvernement, et tout le tralala. Puis ils vous enverront un inspecteur. Puis un huissier.

La maison individuelle : nouvel ennemi du Peuple

Souvenez-vous des mots d’Emmanuelle Wargon, ministre du Logement en 2021 : la maison individuelle est un « non-sens écologique, économique et social ». Tout est là. Leur utopie, c’est la ville dense, compacte, quadrillée par les transports en commun puants et dégradés, soumise à l’énergie intermittente, peuplée de populations bigarrées avec qui on ne veut pas « vivre ensemble », entassées les unes sur les autres dans des cages à lapins subventionnées. Finis les potagers, les clôtures, les garages, les voitures. Finie l’autonomie. Place au contrôle.

Dans cette vision du monde, votre maison est un scandale. Votre clôture, une insulte. Votre cheminée, un crime climatique. Votre mode de vie, un privilège bourgeois à abolir. Et puisque vous refusez d’accueillir le chaos dans votre salon, ils vous taxeront. Puis vous forceront. Puis vous puniront.

La Bretagne en ligne de mire

L’étude le dit sans détour : la Bretagne est la région la plus concernée par la « sous-occupation » des logements.Autrement dit, vous êtes dans le viseur. Vos maisons en granit, vos longères, vos fermes rénovées, vos terrains, vos haies, vos vaches… Voilà ce qu’ils veulent rationaliser, standardiser, collectiviser.

Demain, un jeune couple n’aura pas les moyens d’acheter une maison, mais un migrant fraîchement arrivé, lui, sera accueilli dans « l’aile inutilisée » de votre demeure. Et si vous refusez, vous serez traîné devant une juridiction éco-sociale pour « inhospitalité spéculative ». Vous riez ? Moi aussi. Jadis. Avant que le mariage homosexuel devienne une « obligation d’égalité », avant que les drag queens ne soient invitées dans les écoles, avant que l’IVG ne soit sanctuarisée dans la Constitution.

Il est temps de tracer une ligne rouge. Définitive. Non négociable.

Notre maison n’est pas à vendre. Nos terres ne sont pas à redistribuer. Notre mode de vie n’est pas à justifier. Vous n’aurez JAMAIS la possibilité de prendre  nos terres sans une résistance de tous les instants. Jamais.

À tous ceux qui nous accusent d’être trop installés, trop enracinés, trop heureux d’être chez nous : sachez-le bien, c’est précisément ce que nous défendrons jusqu’au bout. Nous n’avons pas besoin de vivre à dix dans un HLM avec carte verte et vélo électrique. Nous avons besoin d’air, d’espace, de paix. Et surtout : de rester entre nous, libres, debout, et armés contre votre tyrannie douce.

La seule place du totalitarisme écolo-communiste est dans les poubelles de l’histoire.

Julien Dir

Crédit photo : DR
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