Au moins les électeurs non-LFI savent ce qui les attend si la formation mélenchoniste arrive au pouvoir !
Le 27 juillet prochain, deux députés LFI, Antoine Léaument et Ugo Bernalicis participeront le 27 janvier à Arras, ville natale du dictateur, à un hommage à Maximilien de Robespierre
Apôtre de la Grande Terreur jacobine de 1793-1794 durant laquelle des dizaines de milliers de paysans vendéens et bretons seront massacrés, Maximilien de Robespierre aura un rôle central dans le Comité de Salut Public qui dirigea la France d’une main de fer dans les années troubles des premiers temps de la République.
Dictateur sanguinaire envers les « populations de l’Ouest » selon la terminologie jacobine, Robespierre fut l’un des organisateurs, au sein du Comité de Salut Public, du génocide vendéen. Il est à noter que ce génocide vient autant de la haine envers une population catholique et conservatrice qu’un singulier calcul disant que l’établissement de la véritable égalité en France nécessitait une baisse drastique de la population. D’où le « nettoyage de la Vendée » (dont la notion durant la Révolution couvre une partie du Poitou mais aussi de la Bretagne) par le vide.
Mais ce qui ne manquera pas de plaire aux deux députés LFIstes est que Robespierre fut, à l’époque, partisan de l’abolition de l’esclavage et de l’instauration du droit de vote pour les gens de couleur.
A l’approche des élections, toutes les symboliques sont bonnes à prendre pour tenter d’attirer dans ses filets certaines populations !
Encore et encore, LFI poursuit sa stratégie : délaisser le peuple français de souche et jouer contre lui pour essayer de gratter les 600 000 voix qui lui manquent chez les populations d’origine immigrée.