Alors que l’histoire officielle de la guerre d’Espagne continue de véhiculer, dans les médias et les manuels scolaires, la légende dorée d’une République martyre face aux « forces fascistes », certains historiens s’attachent à remettre les faits à l’endroit. C’est le cas de Michel Festivi, dont le nouvel ouvrage, Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine (1936/1939), démonte méthodiquement la propagande soviétique et ses relais en France comme en Espagne.
Dans cet entretien, il revient pour Breizh-info.com sur la mainmise de Staline sur la zone républicaine, la terreur rouge, les procès truqués, les Brigades internationales, et le rôle occulté du Front populaire français. Un travail salutaire de réhabilitation mémorielle, à contre-courant de l’historiographie dominante.
Breizh-info.com : Qu’est- ce qui dans l’historiographie dominante française, vous a paru intenable ou lacunaire au point d’écrire ce nouveau livre ?
Michel Festivi : L’historiographie universitaire française, à quelques rares exceptions près, est entre les mains des historiens marxisants. Que ce soit même chez Joseph Perez, Andrée Bachoud, et bien d’autres, le prisme de la IIème république auréolée, attaquée par des fascistes, revient en permanence et reste une constante française. Toute leur construction historique part de ce prima. Il m’a semblé donc impératif de revenir complètement sur cette séquence de l’histoire de l’Espagne, en m’inspirant d’auteurs comme Stanley Payne ou Pio Moa. En France on peut se reporter à des historiens plus honnêtes comme Philippe Nourry ou Bartolomé Bennassar, mais leurs ouvrages sont désormais datés et ils ne vont au fond des choses. Arnaud Imatz a beaucoup œuvré pour remettre cette histoire à l’endroit. En France il fut sans doute un pionnier de cette nouvelle approche.
Breizh-info.com : Quels procédés concrets ont permis aux hommes de Staline de verrouiller la zone républicaine espagnole : infiltration, assassinats ciblés, contrôle des ministères, des polices et des services ?
Michel Festivi : Toutes ces pratiques ont été mises en place en Espagne rouge immédiatement dès avant l’arrivée massive de soviétiques. Mais le plus important, fut le transfert à Odessa, en octobre 1936, par le port de Carthagène, de la moitié des réserves d’or de la Banque d’Espagne, ce qui faisait de Staline le maître du jeu, puisqu’à partir de ce moment-là, il livrait ou pas les armes aux révolutionnaires qu’il choisissait et pouvait imposer aux gouvernements espagnols révolutionnaires de placer, aux postes les plus stratégiques, dans la police et dans l’armée, des communistes purs et durs, cachés souvent sous l’étiquette de socialistes ou de républicains. Ensuite, Staline envoya des centaines d’agents du NKVD qui contrôlèrent tout. Puis ce fut l’arrivée en novembre 1936, des brigades internationales, dont nous reparlerons. Mais ce qu’il faut bien comprendre, c’est que le terrain révolutionnaire avait été bien préparé par les gauches espagnoles, qui gouvernaient depuis février 1936, par les fraudes, la terreur, les arrestations arbitraires, les crimes, et des tchékas avaient déjà été mises en place à Madrid, Barcelone, Valence, et dans d’autres lieux.
Breizh-info.com : Quelles ont été les étapes clefs de la soviétisation (sept 1936-printemps 1937 : Madrid, Valence, Barcelone) ? Qui décide vraiment dans la zone républicaine : les gouvernements successifs, le PCE, les émissaires de Moscou ?
Michel Festivi : Votre question est très vaste. La décision de Staline et de Dimitrov, le patron du Kominterm, d’intervenir en Espagne au soutien de la zone révolutionnaire, a été prise formellement à Moscou, en septembre 1936, sous la supervision de Iagoda le patron du NKVD. Mais depuis plusieurs mois, voire années, l’internationale communiste avait envoyé toute une série d’émissaires. La réalité du pouvoir, comme l’a démontré l’historien François Kersaudy, dans, Les dix faces cachées du communisme, était entre les mains des envoyés de Staline, comme l’ambassadeur Rosenberg à Madrid, et son successeur, Léon Gaikis ou le consul général de Barcelone, Vladimir Antonov-Ovseïenko, qui donnaient leurs ordres aux gouvernements de José Giral, puis de Largo Caballero et enfin de Juan Negrin. À partir de juin 1937, les communistes et leurs affidés dominent totalement la zone révolutionnaire.
Breizh-info.com : Quels furent les noms, les visages, les réseaux de cette mainmise ?
Michel Festivi : Plusieurs noms importants émergent du lot : L’Argentin Codovilla, puis Palmiro Togliatti, Otto Katz, Willi Munzenberg. On retrouve aussi un certain Ernö Gerö qui sera plus tard le patron de la Hongrie communiste, ou Klement Gottwald le futur tortionnaire tchèque. Parmi les hommes du NKVD, Orlov va jouer un rôle clef. Le communiste français André Marty sera l’inspecteur général des Brigades internationales, mais toujours sous la coupe de Palmiro Togliatti, qui deviendra en 1945, le chef incontesté du PCI. Pour les Russes, se furent Walter Krivitsky et Orlov, qui créèrent en Espagne une filière policière communiste, qui deviendra le SIM, El servicio de investigacion militar. Il y en avait des centaines d’autres comme le général Berzine, Akoulov etc…
Breizh-info.com : À quel moment les socialistes espagnols comprennent-ils qu’ils se font marginaliser, et comment sont-ils neutralisés ?
Michel Festivi : Certains républicains ou socialistes espagnols vont se rebiffer, mais pas tous loin de là. José Giral, Juan Negrin, Alvarez del Vayo, Luis Araquistain, par exemple vont toujours soutenir les communistes, jusqu’au bout du bout. Deux hommes vont évoluer. Le premier Francisco Largo Caballero, le chef du PSOE et de l’UGT, qui devient président du conseil et ministre de la guerre en septembre 1936. Il est alors l’homme lige de Staline, « le Lénine espagnol », il a son portrait lors des défilés à Moscou. À partir du printemps 1937, il s’aperçoit qu’en Catalogne, les communistes veulent liquider les anarchistes et les antistaliniens du POUM. Il conteste et s’y oppose.
Il va être mis en minorité, grâce aux deux ministres communistes qui rallient à eux d’autres socialistes ou républicains. Il est éjecté le 15 mai 1937. Un autre socialiste va subir le même sort, c’est Indalecio Prieto, qui fut ministre de l’air et de la marine en septembre 1936, puis ministre de la Défense en mai 1937. Il a soutenu les communistes contre Largo Caballero. Il veut ensuite desserrer leurs étreintes et commence à nommer des non-communistes. Ce sera trop tard. Les communistes vont organiser sciemment, la perte de la ville de Teruel en février 1938, Prieto sera accusé à tort de cette défaite et sera écarté lui aussi, mis sur la touche.
Breizh-info.com : Les Brigades internationales furent-elles une force antifasciste romantique ou le bras armé de l’élimination des dissidents de gauche ?
Michel Festivi : Près de 60 000 brigadistes arrivèrent par rotation en Espagne, de novembre 1936 à Octobre 1938. Leur base se trouvait à Albacete, tout était dirigé par des staliniens de première observance. Tout fut organisé sous la supervision absolue du NKVD par les communistes internationaux et notamment Russes et Français, qui organisèrent les recrutements. Les passeports de tous les volontaires furent confisqués dès leur arrivée en Espagne et les services secrets soviétiques les utilisèrent pour leurs basses besognes, comme en témoignera Walter Krivitsky. Certains d’entre eux étaient des romantiques, mais les tièdes furent emprisonnés et beaucoup liquidés. Ce fut incontestablement le bras armé de Staline en Espagne. Cela faisait partie de sa politique « du grand camouflage », comme l’a bien analysé et décrit l’historien britannique Burnett Bolloten. Staline œuvrait masqué, sous le couvert des Brigadistes, des socialistes espagnols, et tous ses envoyés multipliaient les pseudos à consonance espagnole. Le général des brigades internationales était un soviétique du GRU, de son vrai nom Manfred Stern, son pseudo Emilio Klebler, on lui avait fourni un passeport canadien.
Breizh-info.com : Les procès de Barcelone : jusqu’où ont-ils mimé les procès de Moscou-et avec quelles conséquences internationales ?
Michel Festivi : Les procès de Barcelone de 1938, contre les chefs anarchistes et du POUM, qui avaient été arrêtés en Catalogne et dans tout le Levant valencien, furent des pendants des procès de Moscou, en ce sens que le NKVD fabriqua de fausses pièces accusatrices, fit témoigner de faux témoins sous la torture, mais n’obtint pas des aveux massifs comme à Moscou. D’ailleurs, il n’y eu pas de condamnations à mort, à cause de la faiblesse de l’accusation, de la défense énergique des anarchistes et des poumistes et surtout grâce à la mobilisation internationale en leur faveur. Ils furent tous condamnés à de peines de prison et profitèrent de la débâcle de l’hiver 1938/1939, pour s’enfuir, car les communistes voulaient les livrer aux franquistes. Barcelone n’était pas encore totalement Moscou. Les conséquences internationales furent importantes, de nombreux intellectuels les défendirent, comme André Gide, et demandèrent à Juan Negrin, chef du gouvernement espagnol de la clémence. Les communistes français ne les défendirent pas bien sûr, ainsi qu’André Malraux, qui adulait Staline. Le parti socialiste français n’intervint pas non plus, comme pour les procès de Moscou.
Breizh-info.com : Pourquoi le POUM concentre-t-il tant de haine de la part des staliniens ?
Michel Festivi : Le POUM (Parti ouvrier d’unification marxiste), s’est formé en septembre 1935, par la réunion de deux partis d’extrême gauche. Il était dirigé par Andreu Nin, qui fut liquidé dans la tchéka d’Alcala de Henares, on ne retrouva jamais son corps. C’étaient d’anciens trotskistes, comme Joaquin Maurin ou Julian Gorkin, qui avaient été communistes dans les années 1920 et qui avaient vécu à Moscou sous Lénine. Ils dénonçaient Staline et son pouvoir ultra totalitaire. Comme les trotskistes en URSS, ils furent liquidés ou arrêtés en Espagne. George Orwell combattit dans leurs rangs sur le front d’Aragon, mais quitta précipitamment l’Espagne en juin 1937, par crainte d’être éliminé. Les poumistes s’étaient alliés aux anarchistes, car ils prônaient un communisme libertaire, antiétatique. Le PCF les dénonça, et notamment Jacques Duclos qui les vomissait.
Breizh-info.com : Dans quelle mesure les cadres soviétiques ont-ils encouragé ou structuré la violence contre les catholiques ?
Michel Festivi : Les gauches espagnoles n’ont pas eu besoin des soviétiques pour cela. Dès l’arrivée de la IIème république en avril 1931, des Églises et bâtiments religieux vont flamber dans toute l’Espagne, sans que le gouvernement n’intervienne. En octobre 1934, au moment de la révolution armée des révolutionnaires contre les institutions républicaines, une trentaine de prêtres vont être assassinés, la cathédrale d’Oviedo va être incendiée. Dès le début de la reprise des combats en juillet 1936, les premiers visés seront les catholiques. Environ 16000 religieux, prêtres, moines, religieuses, laïcs s’occupant des paroisses ou des établissements de charité catholiques, vont être massacrés. Il faut lire à cet égard le magnifique poème de Paul Claudel de 1937 : « Aux martyrs espagnols », j’en fais des citations. Sur ces massacres, les soviétiques n’ont pas eu besoin de mettre de l’huile sur le feu.
Breizh-info.com : Peut-on dire que la guerre civile espagnole fut la première bataille de la Seconde guerre mondiale ? L’Espagne a-t-elle servi à Staline de test grandeur nature pour les méthodes qu’il utilisera ensuite en Europe centrale et orientale ?
Michel Festivi : Ce fut une guerre qui va employer des armements modernes, tanks et avions, les armements soviétiques seront très supérieurs aux chars et avions italiens et même allemands. On va se servir aussi de la DCA et on utilisera les premiers cocktails « Molotov », lors de la bataille de Seseña en octobre 1936, qui firent merveille contre les chars soviétiques. Néanmoins, il ne faut pas oublier que la IIème guerre mondiale, opposera de septembre 1939 à juin 1941, les nazis et fascistes alliés aux soviétiques, contre l’Angleterre et la France, alors qu’en Espagne les soviétiques combattaient les Italiens et les Allemands. Bien sûr Staline apprendra beaucoup de l’Espagne pour utiliser les mêmes méthodes, mais encore plus sophistiquées en Europe centrale et orientale.
Breizh-info.com : Que révèle votre enquête du rôle réel de la France du Front populaire dans le conflit ? L’antifascisme a-t-il fonctionné comme paravent idéologique permettant de masquer les purges et la terreur rouge ?
Michel Festivi : La France du Front populaire, socialistes, communistes et une frange des radicaux socialistes aida massivement les révolutionnaires espagnols. Trois ministres de Blum seront en pointe avec toutes leurs équipes, Pierre Cot ministre de l’air, Vincent Auriol ministre des finances, et Yvon Delbos ministre des affaires étrangères. Malgré la signature du pacte de non intervention à Londres en août 1936, l’aide fut massive. Les communistes « français », grâce à l’argent de l’URSS, achetèrent une vingtaine de cargos (Société France Navigation) et livrèrent de l’armement aux milices rouges par les ports de Barcelone, Alicante et Carthagène.
Le PC « F » conservera les bateaux, qu’il vendra à son profit ensuite. Grâce à cet argent, il put fonder en 1937, l’hebdomadaire communiste Ce Soir, dirigé par Aragon, qui sera un vecteur de propagande énorme pour l’Espagne révolutionnaire et communiste. Si en mai-juin 1940, l’armée française manqua de beaucoup d’avions, elle le doit en grande partie à Pierre Cot, c’est indéniable.
Breizh-info.com : Qu’est ce qui dans la presse française de l’époque, vous paraît particulièrement emblématique du mensonge par omission ?
Michel Festivi : Des journaux comme L’Humanité, Le Populaire, Vendredi, soutirent à fond les soi-disant républicains, qui mettaient l’Espagne en coupe réglée par le biais du stalinisme triomphant. N’oublions pas que les communistes français avaient obtenu 75 députés en avril-mai 1936 et que Jacques Duclos était vice-président de l’assemblée nationale. Qu’Edouard Herriot le président de la Chambre, avait toujours soutenu Moscou et Staline depuis le début des années 1930.
Breizh-info.com : Vous consacrez un chapitre aux intellectuels. Ont-ils été les grands constructeurs de la légende d’une République espagnole auréolée et martyre ? Hemingway ; qui dit vrai, qui romance, qui travestit ? Peut-on parler d’une « fabrique du mythe républicain » qui perdure jusque dans les manuels scolaires et les séries Netflix ?
Michel Festivi : Pour répondre à votre question il suffit d’ouvrir un livre d’histoire ou regarder un documentaire sur la guerre civile, c’est édifiant. Cela vient de loin. D’André Malraux, avec son livre L’Espoir et son film Sierra de Teruel, qui reçut tous les éloges après 1945, notamment d’un gaulliste comme Maurice Schumann, le speaker de Radio Londres. Un film de 1963, va jouer un rôle considérable, dans cette propagande communiste, c’est le film de Frédéric Rossif, Mourir à Madrid, que tous les collégiens et lycéens ont visionné avec leur prof d’histoire. Hemingway avec son livre qui deviendra un film, Pour qui sonne le glas, participera grandement à cette vision apologétique des « républicains ». En France, les très nombreux révolutionnaires espagnols, qui sont arrivés à la fin de la guerre civile, notamment dans le Sud-Ouest, firent beaucoup pour cette vision tronquée de l’histoire, j’en sais quelque chose moi qui habite désormais cette région. On ne vous dira jamais, que les gauches espagnoles avaient refusé le résultat des urnes en novembre 1933, qu’elles prirent les armes contre les institutions républicaines en octobre 1934, qu’elles ont lourdement fraudé pour remporter les élections de février 1936 et qu’elles ont mis l’Espagne à genoux par l’anarchie généralisée, avant que n’intervienne la résistance salvatrice d’une grande partie de la population, aidée par des militaires en juillet 1936.
Breizh-info.com : Votre livre est-il, d’une certaine manière, un acte de résistance mémorielle ?
Michel Festivi : Oui, absolument. Je suis intimement persuadé que la victoire culturelle et mémorielle, est un préalable indispensable à la victoire politique. C’est un long combat pour démonter tous les mythes des gauches, celui de la révolution française, celui de la non-résistance du PC « F ». La remise à l’endroit des mythes de la guerre d’Espagne, participe de ce combat.
Breizh-info.com : Vous affirmez que les méthodes révolutionnaires décrites (infiltration, contrôle policier, criminalisation de l’adversaire, lois mémorielles), sont toujours d’actualité. Où les voyez-vous à l’œuvre en Europe aujourd’hui ?
Michel Festivi : En Espagne c’est très clair, le gouvernement socialo-communiste impose une chape de plomb mémorielle absolue sur la période franquiste et la guerre civile, et impose comme me le dit souvent Pio Moa une vision soviétique. J’en donne plusieurs exemples dans mon ouvrage. S’agissant d’autres pays européens, il suffit de voir les tentatives d’interdiction de l’AFD en Allemagne, l’annulation des élections en Roumanie, ou les menaces de l’extrême gauche française d’un 3ème tour social dans les rues si d’aventure des partis patriotes venaient au pouvoir. Les gauches espagnoles dans les années 1930, ne faisaient pas mieux. La démocratie est confisquée dans nos pays européens, par une élite européiste et mondialiste, et par des juges non élus qui s’octroient le droit de décider que des lois voulues par le peuple ne seront pas promulguées, sous de faux prétextes juridiques. Commémorer Franco ou la période franquiste est interdit en Espagne par des lois punitives. Je donne des exemples dans mon livre.
Breizh-info.com : Vous citez une bibliographie souvent ignorée en France : quelles sont les trois références que tout lecteur français devrait découvrir en priorité :
Michel Festivi : Mis à part mes livres, je donnerai volontiers quatre références, si vous me le permettez. Tout d’abord le livre de Pio Moa, les mythes de la guerre d’Espagne, qui s’est vendu dans la péninsule à plus de 300 000 exemplaires et qui a été traduit en France et publié chez l’Artilleur, avec une préface remarquable, d’Arnaud Imatz.
La guerre d’Espagne, révolution et contre-révolution, 1934/1939, de Burnett Bolloten, publié chez Agone en 2014. La guerre d’Espagne revisitée, ouvrage collectif sous la direction d’Arnaud Imatz, publié en 1989 chez Economica. Enfin, un livre exceptionnel du journaliste Miguel Platon, publié cette année chez l’Artilleur, avec une traduction et une préface d’Arnaud Imatz, et de Stanley Payne, La répression dans l’Espagne de Franco 1939-1975, de la propagande mémorielle à la réalité historique. J’ajoute que je connais personnellement Arnaud Imatz, qui a préfacé ma biographie de Miguel Primo de Rivera. J’ai rencontré à trois reprises à Madrid, Pio Moa, qui m’a préfacé ce livre sur lequel nous parlons, j’ai fait publier l’un de nos entretiens dans la revue d’histoire européenne. J’ai fait également un entretien avec Miguel Platon, qui a été publié dans Lectures Françaises.
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