La scène se répète au Royaume-Uni, jusqu’à la caricature : plutôt que de protéger les victimes, la police et la justice choisissent désormais de les accuser. Une dérive inquiétante qui illustre la peur panique des autorités britanniques d’aborder frontalement le rôle de l’immigration massive dans l’explosion de la criminalité.
L’affaire de « Sophie de Dundee »
Dernier exemple en date : celui de Mayah Sommers, surnommée « Sophie de Dundee ». Cette jeune Écossaise a été arrêtée et inculpée pour « possession d’armes offensives » après avoir brandi une hache et un couteau pour protéger sa sœur face à un migrant bulgare, Fatos Ali Dumana, qui les poursuivait et les filmait. Plutôt que d’interroger les agissements d’un individu connu pour se présenter sur les réseaux sociaux comme un « gypsy gangster », tatouages à l’AK-47 à l’appui, la police a préféré criminaliser deux adolescentes terrorisées.
Ce renversement moral n’est pas un cas isolé. Les médias britanniques, à l’image du Daily Mail, se sont empressés de présenter Dumana comme une victime, occultant soigneusement ses publications violentes et misogynes. Symptomatique, l’article concerné ne permettait même pas aux lecteurs de commenter : preuve que le débat public est verrouillé dès qu’il touche à l’immigration et à l’insécurité.
Le précédent des gangs de Rochdale et Rotherham
Ce mécanisme de déni est ancien. Pendant des années, les viols collectifs commis par des gangs majoritairement d’origine pakistanaise ont été dissimulés sous l’expression euphémisée de « prostitution juvénile ». Les adolescentes violées étaient parfois arrêtées pour ivresse, leurs pères interpellés lorsqu’ils tentaient de les protéger. Dans les commissariats, on préférait traiter les victimes de « white trash » plutôt que d’admettre la dimension communautaire des crimes.
Un ancien procureur, Nazir Afzal, a même révélé qu’une circulaire du Home Office, en 2008, incitait les forces de l’ordre à considérer que ces jeunes filles « avaient fait un choix éclairé » en matière sexuelle – autrement dit, à fermer les yeux.
Pourquoi une telle complaisance ? Parce que, selon les propres mots de Nigel Farage, la classe politique britannique vit dans la peur d’« aliéner la totalité de l’électorat musulman », en croissance rapide. Résultat : les autorités se montrent intraitables avec des citoyens qui se défendent, mais tétanisées dès qu’il s’agit de s’attaquer aux réseaux criminels liés à l’immigration.
Le contraste est saisissant : une femme qui utilise du spray au poivre contre un agresseur risque d’être arrêtée, tandis que les gangs qui se livrent à des fusillades à la kalachnikov continuent d’opérer. La police conseille même aux habitants de ne plus porter de bijoux dans la rue ou d’éviter de sortir la nuit. Autrement dit, c’est à la population de s’adapter au crime, non aux criminels de craindre la loi.
Une inversion des valeurs
Cette inversion du rapport victime-bourreau atteint désormais tous les secteurs : citoyens accusés de « racisme » pour avoir dénoncé des violences, mères de famille qualifiées d’« extrême droite » parce qu’elles s’opposent à l’installation de migrants dans leur quartier, ou simples passants arrêtés pour avoir protégé une statue de Winston Churchill des dégradations de Black Lives Matter.
Pendant ce temps, les statistiques officielles, pourtant minimisées, révèlent une surreprésentation écrasante des étrangers dans les crimes sexuels : +71 % par rapport aux Britanniques, et jusqu’à vingt fois plus pour certains profils (Afghans, Érythréens).
Au Royaume-Uni comme ailleurs en Europe occidentale, la question est désormais claire : jusqu’à quand les gouvernements continueront-ils à sacrifier la sécurité de leurs citoyens pour ne pas « stigmatiser » l’immigration extra-européenne ? Faudra-t-il attendre que les populations locales se fassent justice elles-mêmes, face à des élites paralysées ?
Le cas de « Sophie de Dundee » démontre au moins une chose : grâce aux réseaux sociaux, la vérité finit par émerger malgré le verrouillage médiatique. Mais reste une interrogation brûlante : Londres choisira-t-elle enfin la voie de la fermeté – massives expulsions incluses – ou continuera-t-elle à criminaliser les victimes pour préserver un statu quo intenable ?
YV
Photo : DR
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