Du Royaume-Uni à la Suède, en passant par la France et l’Irlande, les faits divers s’accumulent, mettant en lumière une même faillite : celle d’États incapables de protéger leurs propres citoyens face à des criminels étrangers que l’on refuse de renvoyer chez eux.
Un peu partout en Europe, les mêmes drames se répètent, avec une régularité glaçante. Des crimes odieux, des victimes très jeunes, des coupables étrangers en situation irrégulière — et toujours la même réaction : des excuses bureaucratiques, des promesses d’enquête, puis le silence.
Les dirigeants, eux, préfèrent s’indigner des « tensions sociales » que de l’agression ou du meurtre qui les ont provoquées.
Royaume-Uni : le fiasco d’un système à bout de souffle
Dernier exemple en date : un migrant éthiopien, condamné pour agression sexuelle, a été libéré par erreur d’une prison anglaise au lieu d’être transféré vers un centre de rétention.
L’homme, arrivé illégalement quelques mois plus tôt par la Manche, avait été reconnu coupable d’avoir attaqué une adolescente de 14 ans dans une petite ville du sud de l’Angleterre.
Une fois relâché, il a erré plusieurs jours dans Londres avant d’être arrêté.
Ce nouvel épisode a provoqué un tollé outre-Manche : comment un délinquant sexuel étranger peut-il être libéré au cœur d’un pays saturé de caméras, de lois et de fonctionnaires ?
Le Premier ministre britannique a promis des sanctions, mais le mal est fait : la population n’y croit plus.
Les Britanniques voient surtout dans cette affaire le symbole d’un État débordé, plus soucieux d’éviter les polémiques que de protéger ses enfants.
Irlande : la colère d’un peuple étouffé
Quelques jours plus tard, c’est en Irlande qu’un nouveau scandale a éclaté : une fillette de dix ans aurait été violée par un demandeur d’asile africain débouté, en attente d’expulsion.
Le pays, d’ordinaire calme, a connu des scènes d’émeutes à Dublin.
Mais au lieu de reconnaître la gravité de la situation, le gouvernement s’est empressé de condamner les manifestants — comme si la colère populaire était plus grave que le crime qui l’avait déclenchée.
Pour beaucoup d’Irlandais, cette affaire est devenue le symbole d’un déni de réalité d’État, d’un pouvoir politique plus prompt à protéger des statuts administratifs qu’à défendre ses propres citoyens.
Suède : quand la justice déraille
En Suède, un autre drame a profondément choqué l’opinion.
Une jeune fille de seize ans, agressée par un réfugié érythréen, a dû se battre pendant des mois pour que son agresseur soit reconnu coupable.
Condamné à trois ans de prison, l’homme n’a pas été expulsé, la cour estimant que le viol n’était pas « assez grave » pour justifier un renvoi.
Cette décision surréaliste a soulevé une question simple mais terrible : « Si violer une mineure ne suffit pas à être expulsé, que faut-il faire de plus ? »
Elle révèle le désarmement moral d’un pays autrefois modèle de rigueur et d’ordre social, aujourd’hui paralysé par la peur de paraître « discriminatoire ».
France : la tragédie de trop
En France, le souvenir du meurtre de Lola, 12 ans, reste une plaie ouverte.
Sa meurtrière, une femme algérienne en situation irrégulière, aurait dû être expulsée depuis des mois. La loi, pourtant claire, n’a pas été appliquée.
Le crime a conduit à l’adoption d’un projet de loi sur le contrôle de l’immigration, finalement vidé de sa substance par les pressions des associations et des partis de gauche.
Résultat : des milliers d’étrangers condamnés continuent de circuler librement sur le territoire.
Et lorsque des drames surviennent, l’indignation médiatique dure 48 heures, avant de céder la place à l’oubli.
Une faillite morale et politique
Partout, le schéma se répète :
- Des criminels étrangers en situation irrégulière.
- Des victimes locales, souvent des enfants ou des jeunes femmes.
- Des États impuissants ou complaisants.
- Et des médias qui s’empressent de dénoncer « les amalgames » plutôt que d’interroger les causes.
Ce double standard détruit la confiance dans les institutions.
L’Europe, autrefois fière de ses valeurs, semble désormais accepter l’inacceptable au nom d’une tolérance devenue dogme.
On protège l’étranger fautif, on suspecte le citoyen en colère, on redoute le mot « expulsion » plus que le mot « viol ».
Europe trahit ses filles
Des noms comme ceux de Lola, de Meya en Suède, ou d’autres enfants anonymes d’Irlande ou d’Angleterre, rappellent une vérité dérangeante : la première mission d’un État est de protéger les siens.
Et quand un gouvernement préfère préserver sa réputation « morale » plutôt que ses enfants, il n’est plus qu’un gestionnaire moralement ruiné et surtout, il se transforme en bourreau vis à vis de son peuple.
Tant que les frontières resteront poreuses et que la justice se pliera à la peur du politiquement correct, les drames continueront. Et l’Europe comptera encore d’autres victimes, d’autres visages oubliés, d’autres familles à qui l’on expliquera que « le système a failli ».
Mais ce n’est plus le système qui faillit.
C’est la civilisation elle-même qui, par faiblesse ou par lâcheté, cesse de défendre ses filles.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine