De James Watson à Jean-Eudes Gannat, la vérité devient un crime

Au bar des Brisants, à la pointe de Léchiagat, le vent d’ouest entre comme un chat sauvage. Il pousse la porte sans frapper, fait vaciller les verres, tord les journaux. Par la baie, je devine le grand élévateur à bateaux, ce monstre bleu qui dresse dans le ciel sa carcasse métallique et semble soulever les chaluts comme des jouets d’enfant. C’est là, dans ce décor de sel et de rouille, que j’ai appris la mort de James Watson. Le vieil homme s’est éteint dans un hospice de Long Island, à quatre-vingt-dix-sept ans, dernier survivant du trio qui découvrit, en 1953, la structure de l’ADN.

James Dewey Watson, fils de Chicago, enfant maigre et impatient, entra à quinze ans à l’université, obtint son doctorat à Indiana, puis rejoignit le Cavendish Laboratory de Cambridge. Là, dans un désordre de maquettes et de calculs griffonnés, il rencontra Francis Crick, Anglais hautain, dandy et lumineux. Ensemble, ils levèrent le voile sur la double hélice, le fil torsadé de la vie, cette architecture parfaite qui permet au vivant de se reproduire, de se copier, de durer. L’humanité, sans le savoir encore, venait de franchir le seuil du sacré.
Watson avait vingt-cinq ans. Il entra aussitôt dans l’histoire des sciences, à la fois comme pionnier et comme trublion. Son livre The Double Helix, publié en 1968, fit scandale par son ton libre, presque insolent : on y sentait un jeune homme ivre de savoir et d’ambition, moquant ses rivaux, oubliant ses égaux. Il fut le premier biologiste à écrire comme un romancier, et c’est peut-être là que commença sa chute : il avait brisé la solennité du temple.

Dans les décennies qui suivirent, il devint professeur à Harvard, dirigea Cold Spring Harbor, transforma ce laboratoire de Long Island en un centre mondial de génétique. On lui doit la découverte du rôle de l’ARN messager, des mécanismes de régulation des gènes, et plus tard la direction du Human Genome Project, qui déchiffra le code de notre espèce. L’homme aurait pu mourir comblé. Il mourut banni.

Car Watson commit, à la fin de sa vie, le crime majeur de notre temps : dire le réel sans enrober ses aspérités morales. En 2007, dans un entretien au Sunday Times, il déclara, sur un ton de scientifique plus que de polémiste, qu’il doutait de « l’égalité des intelligences » entre groupes humains, constatant que les tests montraient des écarts persistants. Il n’affirmait pas une hiérarchie, il décrivait un fait. Ce fut assez pour que l’univers entier s’abatte sur lui.
En quelques jours, il perdit ses conférences, ses fonctions, son prestige. La Royal Society annula sa venue, Cold Spring Harbor le suspendit, la presse mondiale le traîna dans la boue. À quatre-vingts ans, le découvreur de la vie fut transformé en pestiféré du progrès. Dix ans plus tard, interrogé dans un documentaire, il confirma calmement : « Mes vues n’ont pas changé. » Ce fut sa condamnation définitive.

L’histoire des sciences retiendra son nom pour la double hélice, mais la mémoire des hommes, plus courte, le retiendra comme un maudit. Dans un monde dominé par l’idéologie égalitaire, il avait osé rappeler que la nature n’obéit pas à la morale. Ce n’était pas un cri de haine, c’était une observation. Mais nous vivons à une époque où la réalité, quand elle déplaît, devient un délit.

Watson n’est pas seul dans cette nuit. Avant lui, un autre Américain, Arthur Jensen, professeur à Berkeley, avait subi le même procès. En 1969, dans la Harvard Educational Review, il publia un article montrant que l’intelligence, mesurée par les tests, dépendait largement de facteurs héréditaires, et que les programmes d’égalisation sociale n’y changeaient rien. On le traita de raciste, on tenta de l’exclure, on fit exploser des bombes dans son université. Mais Jensen tint bon. Il mourut en 2012, respecté par ceux qui, malgré tout, continuent à chercher la vérité. Watson, lui, vécut assez vieux pour connaître l’époque où les chercheurs s’excusent d’exister.

Aujourd’hui, la biologie moléculaire et la génétique confirment ce que Jensen pressentait : les différences cognitives ont des bases génétiques mesurables. Les polygenic scores permettent de prédire une part du quotient intellectuel, de même que la taille ou la couleur des yeux. Ces résultats, traduits et discutés en Inde, au Danemark, en Pologne, sont soigneusement ignorés en France. Nos universités, engluées dans l’idéologie post-lyssenkiste, interdisent toute recherche sur l’hérédité des aptitudes humaines. Ici, le dogme vaut pour science : il est interdit de penser ce qui est, obligatoire d’imaginer ce qui devrait être.
On ne réfute pas les faits, on les efface.

L’ostracisme de Watson leur sert d’exemple. Il est devenu la mise en garde silencieuse qui plane sur chaque thèse, chaque colloque : ne dis pas ce que tu vois, dis ce qu’il faut croire.
Et cette consigne, naguère confinée aux laboratoires, s’étend désormais à la vie publique. Voyez Jean-Eudes Gannat, embastillé pour avoir simplement décrit ce qu’il voyait dans les rues de son village. Une vidéo de vingt-quatre secondes, tournée devant le supermarché de Segré, lui a valu une garde à vue, une mise en examen pour « incitation à la haine raciale », et une interdiction d’utiliser les réseaux sociaux. Il n’avait ni injurié ni appelé à la violence ; il avait filmé la présence de migrants afghans et exprimé le désarroi de voir son bourg se transformer. Pour ce regard sans apprêt, il fut conduit devant les juges.

De Long Island à Segré, du prix Nobel au militant local, c’est la même mécanique : quiconque nomme ce qu’il voit, fût-ce sans colère, doit être châtié. Le savant et le citoyen subissent le même interdit : décrire le réel, c’est déjà le contester. Watson perdit ses titres, Gannat sa liberté ; l’un et l’autre eurent pour crime d’avoir dit : « voici ce qui est ».

Nous sommes revenus au Lyssenkisme, cette épidémie soviétique qui tuait la science au nom du dogme. En Union soviétique, on marginalisait les biologistes qui affirmaient l’existence des gènes. Aujourd’hui, on efface les chercheurs qui rappellent la loi de l’hérédité, et l’on poursuit les citoyens qui témoignent du changement de leur rue. Même cause, même peur : celle que la vérité, lorsqu’elle se dresse, révèle la fragilité de l’utopie.

La France, jadis patrie de Descartes et de Pasteur, se distingue désormais par son silence. Aucune maison d’édition n’ose traduire les grands travaux contemporains sur l’intelligence humaine ; aucun média ne traite de ces questions sans y mettre d’avance les mots d’anathème : « complotiste », « raciste », « pseudoscience ». Dans nos universités, le réel s’étudie à condition de ne rien contredire. Il faut plaire pour exister. Et ce réflexe servile, que Spengler eût appelé la sénescence des civilisations, scelle notre déclin.

Watson mourut seul. Mais ceux qui l’ont condamné verront leur mémoire ternie par cette lâcheté collective. Ils seront jugés, non par les tribunaux, mais par la postérité, qui n’a pas de morale et ne garde que les faits. Un jour viendra où l’on rougira d’avoir censuré un savant pour avoir constaté une différence, comme on rougit d’avoir brûlé Giordano Bruno pour avoir parlé d’autres mondes.

Je songe à lui, ce soir, en regardant la mer du Guilvinec se retirer lentement. Le bleu du grand élévateur se reflète dans les flaques, pareil à un vitrail de métal. Je me dis que Watson, au fond, n’a jamais appartenu à son siècle. Il était de la race des chercheurs qui croient encore que le savoir doit dire la vérité, et non la servir.
Son nom rejoindra la lignée des bannis glorieux, des Jünger de la biologie, des hérétiques sans autel.

Et quand l’histoire, lassée des mensonges pieux, rouvrira les dossiers de la vérité, elle retrouvera ses mots, sobres et terribles : « C’est un fait. »

Balbino Katz, chroniqueur des vents et des marées

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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15 réponses à “De James Watson à Jean-Eudes Gannat, la vérité devient un crime”

  1. RVP dit :

    Un bel article, comme souvent.
    Mais par pitié, assez de Lechiagat, de bar des brisants et autres figures de style ampoulées! Ça devient lourdingue et pour tout dire, ça ne donne plus envie d’ouvrir la page pour lire le reste…ce qui est dommage.

  2. guillemot dit :

    Merci Monsieur pour cet article qui m’a fait connaitre Watson et Jensen , ces éminents chercheurs mis au ban de la science , tel Galilee, pour avoir énoncé des vérités non conformes à l’idéologie ambiante

  3. Balbino Katz dit :

    J’y habite, je ne peux pas inventer ce que je ne connais pas. En, plus, cela montre bien que j’écris une chronique, pas un article journalistique.

  4. Cougar dit :

    Au contraire, annoncez le Bar des Brisants et Lechiagat! Même si ça dérange RVP! Ca donne envie d’y aller et de s’y promener!

  5. Annie Quilichini dit :

    Entièrement d’accord avec vous! ça devient pénible et artificieux. Dommage car Balbino Katz a un talent extraordinaire et est si plaisant à lire. Autre remarque critique (mais positive…); citer Pasteur, cet imposteur, comme un de nos grands esprits…à revoir…

  6. Balbino Katz dit :

    Je regrette que mon style ne vous convienne pas. Je vous suggère de sauter l’introduction qui me place où je suis. Toutefois, je vais tenter de varier les lieux en fonction de mes promenades. L’ennui est que je passe pas mal de temps au bar des Brisants ou de l’Océan, de l’autre côté du port, c’est là où je lis les journaux qui m’inspirent. Cela dit, quand je serai en Argentine tien à partir du mois de février, je changerai forcément de crèmerie.

  7. Michel BERAUDO-MARCH dit :

    Parmi les proscrits, citons aussi en France le professeur Jérôme Lejeune, pionnier de la découverte de la trisomie, mis au ban pour avoir eu le malheur d’être opposé à l’avortement et à l’euthanasie.

  8. Occidentale dit :

    Monsieur Balbino Katz,

    Dans un monde croupissant de brutes, ce grand large marin pénétrant tonique noble passe par ce refuge poétique distingué par l’âme humaine comme un amer toujours à hauteur d’eau pour l’esprit.

    Merci

  9. kaélig dit :

    Pour ma part, ayant vécu 20 ans en bord de mer, connaissant bien Le Guilvinec et Léchiagat, j’adore le préambule de Balbino, sa description du décor soumis aux caprices de la méteo…C’est comme si j’y étais.
    Bien que biberonné aux sciences dures, j’ai toujours eu un faible pour la belle prose, la poésie voire l’ésotérique.
    Señor Balbino, ne changez rien.

  10. RVP dit :

    Ce n’est pas que le style ne me plaise pas, au contraire, j’ai toujours du plaisir à lire du bon français. C’est juste le côté répétitif qui finit par déranger! Effectivement allez à la taverne des Nautes ou chez Lulu la nantaise pour varier un peu😊

  11. Torr'Pen dit :

    Bravo pour votre enracinement marin et pour la dénonciation du post-lyssenkisme. Dahlet mad!

  12. Lemaître dit :

    Je déplore le lyssenkisme et la censure néo-soviétique actuelle. C’est un phénomène très grave. Je pense que tous les débats devraient pouvoir se tenir. Néanmoins, je reste extrêmement sceptique sur les thèses reliant race et intelligence. Le contexte étatsunien ne rend pas compte de la réalité mondiale. D’une part, il faut définir précisément ce qu’on appelle « intelligence », et comprendre aussi que la diversité des aptitudes humaines fait sans doute partie de la stratégie générale de l’espèce. Le fait qu’il existe des « gros cerveaux » ne fait pas toute l’affaire. J’observe d’ailleurs que l’Asie de l’Est (Chine, etc.) présente un meilleur QI que l’Occident. Enfin, il existe de nombreux peuples de race caucasienne formant des peuples à faible QI (Proche-Orient, Iran, Pakistan, Inde, etc.). En outre, l’expérience montre qu’il existe des individus très intelligents nés de parents ordinaires, et que les « gros cerveaux » n’ont pas tous une descendance à la hauteur. S’il n’est pas à exclure qu’il existe des aspects génétiques, les facteurs culturels me semble nettement plus convaincants. Les civilisations posant un interdit sur la science ou encourageant le fatalisme me semblent peu propices à favoriser l’éclosion de grandes intelligences.

  13. Balbino Katz dit :

    Votre commentaire, d’une tenue rare dans ce type de débat, mérite qu’on lui réponde non par la polémique mais par l’attention. Vous soulevez l’objection centrale de toute réflexion sur l’intelligence humaine : qu’est-ce que l’intelligence, et que prétend-on mesurer lorsqu’on en établit des différences collectives ?
    Les psychologues, depuis plus d’un siècle, ont tâché d’y voir clair. Spearman, d’abord, distingua les aptitudes particulières et le facteur général, le fameux g, qui sous-tend toutes les performances mentales. Jensen, Eysenck, Lynn ou Plomin n’ont fait qu’en prolonger la démonstration : les résultats aux tests cognitifs ne sont pas des caprices culturels, mais des indices solides d’une capacité de raisonnement abstrait, elle-même partiellement héréditaire. Les études sur les jumeaux, menées sur plusieurs générations, indiquent que cette part d’héritabilité oscille entre 50 et 80 %.
    Ainsi, la question n’est pas de savoir si certaines populations sont « supérieures », terme absurde, mais de constater que leurs moyennes diffèrent. Ces écarts ne sont pas des dogmes, mais des faits. On les retrouve, de manière constante, dans les sociétés multiraciales comme les États-Unis : groupes d’ascendance européenne, africaine, asiatique ou juive ashkénaze présentent des dynamiques propres, stables dans le temps, indépendantes des conditions sociales. Les travaux de Jensen et de Rushton ont montré que ces écarts résistent aux variables économiques, comme si quelque chose de plus profond, enraciné dans la biologie, affleurait sous la surface.
    Rien n’interdit, bien sûr, la naissance d’un esprit exceptionnel au sein d’une famille ordinaire : c’est la loterie génétique, aussi capricieuse qu’implacable. Galton l’avait pressenti ; la science moderne l’a confirmé. À l’inverse, les enfants des très doués tendent à revenir vers la moyenne : loi d’équilibre, comme celle qui ramène la vague à la mer. Cette oscillation, que Jensen appelait la « régression vers la moyenne », n’invalide pas l’étude des moyennes collectives ; elle en nuance simplement la portée.
    Vous notez aussi, avec justesse, que le terme de « race caucasienne » recouvre des mondes distincts : l’Iranien, le Balte, le Breton, l’Arabe ou le Pathan ne relèvent pas du même fonds génétique, ni du même héritage culturel. C’est pourquoi les chercheurs modernes ne parlent plus de « races » au sens du XIXᵉ siècle, mais de clusters ou ensembles génétiques corrélés à des zones écologiques et historiques. Leurs résultats n’en demeurent pas moins cohérents : certaines régions humaines se distinguent par un QI moyen plus élevé, d’autres par une moindre performance cognitive, et ces tendances, quoique non absolues, se vérifient à grande échelle.
    L’Asie orientale offre un exemple remarquable : les Chinois, Japonais et Coréens présentent, depuis les premières études comparatives, des QI moyens supérieurs de plusieurs points à ceux des Européens. Ces écarts ne traduisent pas une hiérarchie morale, mais une adaptation évolutive à des milieux exigeant une forte discipline collective et une anticipation abstraite. Les juifs ashkénazes, autre cas singulier, ont développé dans la diaspora un patrimoine intellectuel exceptionnel, probablement par la sélection cumulative de certaines aptitudes.
    Vous avez raison, enfin, de rappeler le rôle décisif de la culture. Nul ne nie que l’éducation, la nutrition, la stabilité familiale, l’effort, la foi même, puissent hausser ou affaiblir les potentialités d’un peuple. L’« effet Flynn » du XXᵉ siècle, cette hausse générale du QI observée dans les pays industrialisés, en témoigne : l’intelligence humaine n’est pas un chiffre gravé dans le marbre, mais une flamme qui se nourrit d’oxygène culturel.
    Cependant, la culture ne crée pas l’intelligence ; elle la fait croître. Elle agit comme la serre agit sur la graine. Les écarts moyens persistent, même dans des contextes identiques, ce qui laisse supposer un fondement biologique que la censure actuelle préfère ignorer. Il ne s’agit pas d’établir des castes mentales, mais de reconnaître que l’évolution a diversifié l’esprit humain comme elle a diversifié les visages et les climats.
    Refuser d’en parler, au nom d’une morale qui confond égalité de dignité et identité de nature, c’est se condamner à l’ignorance. La science n’est pas un tribunal, elle est un miroir. Et si certains redoutent d’y voir le reflet des différences humaines, ce n’est pas la faute du miroir, mais de leur peur.
    Balbino Katz
Chroniqueur des vents et des marées

  14. kaélig dit :

    « Semmelweis, le médecin qui voulait imposer le lavage de mains et qui termina fou »

    Et que dire du sort de ce médecin Hongrois Ignace Philippe Semmelweis qui dans le service de la maternité d’une clinique de Vienne voulu impôser à ses collègues autrichiens sortant dune salle de dissection le lavement de leurs mains avant d’aller accoucher les future mères dont 40% mourraient de la fièvre puerpérale alors que dans le service voisin géré par les sages-femmes la mortalité n’était que de 3 %.
    En proie à l’hostilité de ses « collègues » autrichiens gonflés d’orgueil et de suffisance (« Ce n’est pas un plouc de médecin hongrois qui va nous commander ») (Sommelweis avait un mauvais caractère) il fût viré de la clinique autrichienne et revint à Budapest où son gouvernement avisé pratiqua ses recommandations d’hygiène dans les hopitaux.
    Ironie du destin, il mourut à 47 ans de la fièvre purpérale (Staphylocoque A) suite à une blessure qu’il s’infligea avec un scalpel lors d’une dissection.
    Ce fût que bien plus tard que la pertinence, pourtant évidente, de ses mesures d’hygiène fût reconnue par le monde médical avec la découverte de l’existence des microbes par Louis Pasteur vers 1875.

  15. Del Monte dit :

    Balbino ! Quel magnifique prénom !

    Article très intéressant! Mais je rejoins ce que d’autres lecteurs soutiennent, s’échinent à souligner dans certains commentaires, et vous l’ai déjà moi-même plusieurs fois écrit, que votre effet de style qui consiste à vous localiser à chaque début d’article, a, pour certains d’entre nous, moi en particulier, un effet parfaitement répulsif… au point, que comme d’autres lecteurs, sans doute à tort, je finis par ne plus cliquer sur vos articles à cause de cela…

    Mais je vois, bonne nouvelle, au fil de vos réponses, que vous semblez prêt à réviser votre politique… Je pense que ce serait en effet, une excellente chose ! Peut-être un exercice pour vous un peu difficile, après vous être tellement ancré au Bar des Brisants entre autres lieux… Je ne doute pas, toutefois, que vous éprouverez aussi un plaisir renouvelé, à multiplier les accroches variées, pour capter l’attention des lecteurs.

    Bien amicalement à vous.

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